Commentaires de livres faits par letty85
Extraits de livres par letty85
Commentaires de livres appréciés par letty85
Extraits de livres appréciés par letty85
-Oui, Enzo… Je mouille pour toi…
L’homme-koala commença à masser les lèvres du sexe de Sylvie, puis son clitoris, et la jeune française sentit des décharges électriques se propager dans tout son corps… Finalement, il la poussa doucement vers une botte de paille qui se trouvait dans l’enclos, et il retira d’un seul coup le jean de Sylvie. D’un doigt, il écarta alors un pan de sa petite culotte blanche…
-J’ai envie de te goûter, Sylvie. C’est ma façon de te remercier de t’être toujours si bien occupée de moi.
Il avança son beau visage bronzé vers la chatte de Sylvie, puis il déposa des baisers torrides sur son sexe frémissant. La jeune femme gémit doucement tant les lèvres de l’homme-koala lui donnaient du plaisir…
Et puis soudain, elle sentit sa langue douce et chaude se poser sur son clitoris… Il commença à lécher son tendre bourgeon comme s’il s’agissait d’une feuille d’eucalyptus, envoyant Sylvie au septième ciel…
POUR ADULTES
-C’est tellement bon… dit-elle en se léchant les lèvres et en tendant à nouveau son corps comme un arc.
Il la masturbait de façon merveilleuse, et ses doigts envoyaient des décharges de plaisir intenses dans tout le corps de la jeune fille.
-Je vais jouir si vous continuez… miaula-t-elle.
Le sourire de Franck s’agrandit, et il cessa de la masturber.
-Cela serait dommage, dit-il. Il faut faire durer le plaisir.
Il posa alors le rasoir BIC sur le sexe frémissant d’Emma. L’adolescente ne s’était jamais sentie aussi vulnérable de toute sa vie. Il commença à faire glisser la lame tranchante sur la chair douce et fragile de son pubis. Le rasoir coupait ses poils en faisant un bruit sec, et il chatouillait délicieusement la jeune fille. Ce que lui faisait Franck était tellement osé, tellement intime… Il continua à la raser, faisant glisser la lame sur le moindre centimètre de son sexe tandis qu’elle gémissait de plus en plus fort.
-Ta mère risque de rentrer à tout moment, dit-il en riant. Tu ne voudrais pas l’alerter avec tes gémissements, n’est-ce pas petite élève ?
-Non, professeur…
POUR UN PUBLIC AVERTI
Elle fit ce qu’il dit, allant et venant sur son sexe qui remplissait son vagin humide de la plus délicieuse des façons. La jolie rousse était en train de prendre son pied comme jamais… Elle n’aurait jamais imaginé qu’un homme pourrait lui procurer autant de plaisir…
Il continua à lécher et à sucer ses seins pendant plusieurs minutes tout en profitant du plaisir torride que sa petite chatte lui offrait. Puis soudain, il lui glissa quelque chose dans l’oreille :
-Maintenant, je vais jouir en toi, ma jolie.
Lisa frissonna de tous ses membres en entendant sa promesse.
-Vraiment ? demanda-t-elle timidement.
-Oui, vraiment. Je vais jouir en toi, et te faire un enfant.
Sa langue brûlante glisse sur mes cuisses, puis il la pose sur mon sexe. Il goûte alors à ma chatte comme un fruit mûr… La sensation de plaisir que je ressens est incroyable… Je n’ai jamais connu quelque chose d’aussi délicieux de toute ma vie… Mes membres se raidissent… J’ai l’impression que tout mon corps n’est plus que plaisir…
Il continue à lécher ma chatte, sa langue explorant le moindre recoin de mon sexe… Et puis soudain, il commence à sucer mon clitoris, et là, je sens qu’il va m’être très difficile de rester silencieuse. Je commence à gémir dans ma main, et Jessica bouge soudain dans son lit. J’ai peur de la réveiller, et cette angoisse décuple mon plaisir… L’adrénaline coule à flot dans mes veines tandis qu’il déguste mon clitoris…
Je saisis mon coussin, et je crie dedans tout en jouissant dans la bouche de John… L’extase que je ressens est presque surnaturelle. C’est un plaisir au-delà de tout ce que j’aurais pu imaginer… Je jouis, et jouis, et jouis encore, tandis que mon bel américain se régale de mes jus féminins…
Il s’enfonça encore plus dans son cul, la sodomisant délicieusement, enfonçant 5 centimètres, 10 centimètres, 20 centimètres de sa masse bleue et visqueuse dans son petit trou... Mei n’en pouvait plus de plaisir... Elle ignorait d’où venait exactement ce monstre, mais cela n’avait plus beaucoup d’importance à ses yeux. Tout ce qui comptait, c’était la volupté torride que ces tentacules lui procuraient...
STRICTEMENT POUR ADULTES
-Nathalie, dit-il de sa voix rauque. Je veux te faire l’amour et jouir en toi. Je veux te féconder, et je veux que tu portes notre enfant.
Nathalie gémit doucement.
-Je ne peux pas faire ça à mon époux…
-Si, tu le peux. Ton mari n’est qu’un avorton. Seul un vrai mâle comme moi peut te donner ce que tu désires.
Nathalie avança son visage vers les pectoraux du beau noir, et elle commença à les embrasser. Puis elle suça ses tétons, se régalant de son goût viril…
-Tu as raison, Tom… Mon mari ne peut pas m’offrir autant de plaisir que toi…
POUR UN PUBLIC AVERTI
-Tant que tu n’es pas mariée, tu m’appartiens.
-Bien, monsieur…
Il lui donna un coup de cravache sur le sein droit, et Emily poussa un cri. Il l’avait frappée avec une intensité parfaite, ni trop fort, ni trop faiblement. Juste assez pour qu’elle ressente une douleur délicieuse…
-Ton fiancé ne t’a jamais punie ? demanda-t-il en donnant un coup de cravache à son sein gauche.
Emily cria encore.
-Non… pleurnicha-t-elle. Jamais…
Il frappa à nouveau son sein droit, puis le gauche. A présent, sa poitrine portait des traces écarlates.
-Est-ce que tu aimes être punie ?
-Oui, monsieur… Je suis une vilaine fille…
POUR UN PUBLIC AVERTI
Claudia écarquilla les yeux. Ce spectacle semblait presque surnaturel. Il y avait quelque chose de terriblement obscène et érotique à voir cette jolie rousse et cette petite asiatique se faire défoncer par ces hommes-singes velus aux sexes titanesques… Ils les baisaient à fond tout en léchant leurs seins de leurs langues baveuses et en caressant leurs fesses de leurs mains énormes…
Les cris de terreur des deux jeunes femmes se transformèrent progressivement en un miaulement sensuel… Il ne leur fallut que deux minutes pour jouir sur les queues des monstres…
Elle le regarda un instant sans rien dire, et une énième larme coula sur sa joue. Puis elle sortit sa petite langue rose et commença à lécher le pénis monstrueux de l’homme-singe.
-Oui… fit-il en léchant ses grosses lèvres recouvertes de bave. Bonne petite esclave…
Elle continua à le lécher en réprimant un hoquet de nausée, puis elle ouvrit la bouche et fit son possible pour engouffrer son gland violacé entre ses lèvres. Elle y parvint finalement, et commença à le sucer tandis qu’il grondait de plaisir.
Pendant ce temps, l’autre homme-singe vint se poster derrière ses fesses de rêve. Claudia crû défaillir lorsqu’il frotta sa monumentale bite simiesque sur les jolies fesses blanches de Svetlana.
-Moi féconder toi ! cria-t-il en se léchant les lèvres. Toi prête ?
-Oui, maître…
EXCLUSIVEMENT RESERVE AUX ADULTES
Elle était sa prisonnière…
-Matt… Je… Je ne prends pas la pilule…
Il suça la lèvre inférieure de Linda, puis ses tétons bruns. Le corps de la jeune femme se raidit à nouveau… Comment faisait-il pour lui offrir tant de plaisir ?
-Je risque de tomber enceinte, continua-t-elle à dire tout en réprimant ses gémissements.
Le frère de sa meilleure amie continuait à l’embrasser, et elle sentait son pénis en érection se frotter contre sa fente humide de jeune pucelle. Il la titillait, la torturait, et c’était tellement émoustillant…
-Je veux jouir en toi, chuchota-t-il dans son oreille tout en poussant son pénis contre sa tendre ouverture. Je veux te faire un enfant.
POUR UN PUBLIC AVERTI
-Quelle bonne petite chatte… dit-il en ronronnant de plaisir.
Il posa sa main griffue sur son sein et le laboura doucement, laissant sur sa chair des marques écarlates. Clara eut légèrement mal, mais cette douleur était très agréable…
Il continua à baiser sa chatte avec sa langue tandis que Clara gémissait de plaisir… L’adrénaline coulait à flots dans ses veines, et la terreur qu’elle ressentait était indescriptible. Mais elle ne pouvait s’empêcher de ressentir un plaisir formidable à se faire lécher par cet homme-tigre à la langue si habile…
Il se releva soudain, la dominant de toute sa hauteur. Clara vit que ses pectoraux, ses abdominaux, ses biceps au pelage rayé avaient doublé de volume… Quant à son pénis en érection, il devait bien mesurer 40 centimètres à présent…
-Elle est aussi bonne qu’elle en a l’air, dit-il en faisant un clin d’œil à son acolyte.
-Je veux la goûter, moi aussi, répondit Pascal.
Il retira brutalement la petite culotte d’Ingrid, et la jeune allemande gémit très fort…
- Elle a une jolie petite chatte blonde… dit-il.
Il se pencha entre ses cuisses, et Ingrid ferma les yeux en sentant sa langue glisser sur le duvet soyeux de son pubis.
POUR UN PUBLIC AVERTI
-Tu es trempée, dit-il dans son oreille.
Le corps de l’adolescente se raidit comme un arc, et elle écarta grand les cuisses pour le père de son copain. Il fit alors glisser ses doigts sous sa petite culotte afin de les poser sur son fin duvet humide. Il caressa doucement son pubis aux poils si doux, puis il descendit le long de ses lèvres chaudes et moites jusqu’à sa douce fente…
-Est-ce que mon fils te fait ça ? demanda-t-il.
-Non, jamais… balbutia-t-elle en haletant.
-C’est dommage, continua-t-il. Je vais te montrer comment il devrait faire.
Soudain, le père de son petit ami enfonça son index dans le vagin de Laura, et il commença à la doigter doucement tout en caressant son clitoris de son pouce. Cette sensation était tellement intense, délicieuse, merveilleuse, que Laura du plaquer sa main sur sa bouche pour ne pas crier.
-Qu’est-ce que je suis en train de faire ? chuchota-t-il encore dans l’oreille de Laura.
-Vous êtes en train… de me masturber…
-Est-ce que ça te donne du plaisir ?
-Oui… Beaucoup de plaisir…
"La première fois que je suis tombée amoureuse,
c’était avec deux yeux bleus et un large sourire à
fossettes.
— Ton vieux t’adore, petite Danny, murmura-t-il.
N’oublie jamais, jamais ça, hein ?
Je ne l’ai jamais oublié. Et je n’avais jamais cru
pouvoir aimer un autre homme d’un amour aussi
fort que celui que j’éprouvais pour mon père. Mais
on change en grandissant, on commence à prendre
ses propres décisions et on devient par là même indépendant
et autosuffisant. On se détourne de ses
parents pour s’ouvrir aux autres. On commence à
expérimenter la vie au-delà de la bulle dans laquelle
on a grandi puis on noue des amitiés, des liens forts
et indestructibles.
Et on tombe amoureux… Une seconde fois."
-Oooh… fit la jeune fille.
-Tu as de très beaux seins, ma jolie. Laisse-moi les goûter.
Il se pencha vers sa poitrine et commença à lécher ses mamelons, puis ses tétons gonflés par le désir. Alexia jeta sa tête en arrière et le laissa la goûter sans protester. Elle adorait la sensation de ses lèvres et de sa langue sur sa chair frémissante…
-Est-ce que… Est-ce que vous allez me tuer, Seigneur loup-garou ? demanda-t-elle en haletant.
-Tout dépendra de tes talents, ma jolie.
Soudain, il la poussa sur un tapis de paille jonchant le sol près du petit lac. Il s’agenouilla alors près d’elle et écarta ses jolies cuisses. Puis il approcha son beau visage viril près de son sexe...
POUR ADULTES
La jeune femme ne pouvait quitter des yeux ce membre viril gigantesque… Elle était à la fois terrifiée, et fascinée par ce pénis issus de ses fantasmes les plus fous.
Le tyrannosaure poussa un cri qui déchira presque les tympans de la jeune princesse. Ce hurlement semblable à un coup de tonnerre semblait indiquer qu’il voulait copuler avec elle.
Elle n’avait pas le choix…
STRICTEMENT POUR ADULTES
La belle blonde commença à lécher la cuisse gauche de Lucie, et le beau brun sa cuisse droite. Des frissons de plaisir torrides parcoururent tout le corps de la jeune femme… Elle avait l’impression d’être le dessert de sa meilleure amie et de son petit copain, et leurs langues délicieuses lui procuraient une extase incomparable…
Les langues de Manon et Lorenzo finirent par se rejoindre sur le sexe de Lucie, et elles s’unirent une nouvelle fois en un baiser torride. Et puis Lorenzo lécha le pubis de Lucie, faisant glisser sa langue sur son fin duvet, tandis que Manon léchait les lèvres trempées de sa vulve. Lucie ne les quittait pas des yeux : elle adorait voir le beau visage angélique de sa meilleure amie s’enfoncer entre les lèvres de sa chatte, tandis que son copain brun et très sexy promenait ses lèvres ourlées sur son pubis et son clitoris…
-Je… je vais jouir… murmura-t-elle.
Il arrêta soudain de la lécher. Il était d’une cruauté sans bornes…
-Pitié ! Continuez, maître… J’allais venir…
-Tu dois attendre, comme une bonne petite servante que tu es, répondit son autre directeur en empoignant brutalement ses cheveux.
Il se pencha alors et l’embrassa passionnément, enfonçant sa langue chaude et humide dans la bouche de la jeune femme afin d’en explorer le moindre recoin. Elle ferma les yeux et s’abandonna à ce baiser sauvage…
Et puis le beau brun relâcha ses cheveux, et il alla chercher un martinet dans un recoin obscur de la cave.
POUR UN PUBLIC AVERTI
-Oui, monsieur…
Sa main s’abattit cruellement sur les fesses rebondies de l’adolescente, et elle dû se mordre la main pour ne pas crier.
Il la fessa une nouvelle fois, encore plus fort cette fois, et le son de la fessée retentit dans le salon.
-Ca t’apprendra à te comporter correctement, dit-il en continuant à la fesser.
Lisa ferma les yeux et mordit sa main encore plus fort. Les coups qui pleuvaient sur ses fesses étaient à la fois douloureux, et délicieux… Cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas reçu une bonne fessée, et elle avait oublié à quel point cela pouvait être agréable…
-Tu ne recommenceras pas ? demanda-t-il en fessant encore son joli cul empourpré.
-Non, monsieur, je vous obéirai maintenant.
-Est-ce que Cédric te fait ça ? demanda-t-il.
-Non… Il ne me touche plus…
Il posa deux doigts sur son clitoris excité et le caressa. Jessica gémit alors dans son oreille.
-Vous allez me faire jouir si vous continuez comme ça, dit-elle dans un souffle.
-C’est mon but, ma jolie. Puisque mon fils ne s’occupe plus de toi, je le ferai.
Il enfonça son index dans son vagin et il la doigta doucement, puis il porta son doigt à sa bouche pour goûter au jus de sa chatte.
-Quel délice, commenta-t-il. Jessica, j’ai très envie de te lécher.
POUR UN PUBLIC AVERTI
– Ta chatte est trop bonne, commenta-t-il.
Il enfonça alors sa grosse langue dans le petit trou d’Annie, et il la fit aller et venir à l'intérieur comme pour la baiser. Annie gémissait à chaque fois qu'il pénétrait son intimité. Elle commença alors à se caresser les seins tandis que le loup-garou se régalait de sa chair, et elle jouit dans sa bouche malgré la terreur qui l’étreignait… Son corps fut saisi de spasmes délirants, tandis qu'un orgasme monstrueux se déversait dans son corps comme un torrent tumultueux… Elle n'avait jamais ressenti une telle excitation, et l'adrénaline coulait à flots dans ses veines.
Il la rasa pendant deux minutes, prenant bien soin de sa petite chatte, comme si elle était un trésor…
-Regarde, Cynthia, ta petite chatte est presque entièrement rasée, maintenant.
Cynthia regarda la main ferme et puissante tenant le rasoir au-dessus de son sexe. Elle leva alors les yeux et admira le torse bronzé de Pascal, ses pectoraux si puissants, les muscles de ses bras qui roulaient sous sa peau à chacun de ses mouvements… Il plongea le rasoir dans l’eau du bain, puis il finit de raser les derniers poils de Cynthia. Ensuite, il mouilla sa main, puis il rinça le sexe imberbe de l’adolescente afin de retirer la mousse.
-Maintenant, ta chatte est prête, dit-il enfin.