Commentaires de livres faits par lisandre
Extraits de livres par lisandre
Commentaires de livres appréciés par lisandre
Extraits de livres appréciés par lisandre
Un tel froid, c'est forcément une malédiction de majora!
- Tu parles d'un héros! Il se plaint dès que la brise se lève!
- Si je presse le pas... c'est justement pour éviter que tu ne traînasses trop !
( Asebi et Yû au début du livre)
Les mitrailleuses crachaient d'innombrables éclairs. Ce spectacle rappela des souvenirs terrifiant à Autolycus. Lors de leur dernière venue sur Terre, des engins semblables avaient abattu Cupidon.
Mais celui-ci ne possédait ni la puissance ni la détermination d'Emily. L'une après l'autre, les machines explosèrent en plein vol. Leurs carcasses en feu s'écrasèrent violemment, embrasant plantes et broussailles. Très vite, le désert fut jonché de débris rougeoyant et enflammés.
Autolycus secoua la tête de stupéfaction. Emily taillait leurs ennemis en pièce, pourtant il en venait toujours de nouveaux.
[spoiler]Captivé par la bataille aérienne, il ne remarqua pas que joël était en train de glisser./spoiler]
Maliki traversa le petit pont et savoura le bruit mat de ses pas sur le bois. Elle ralentit pour prolonger un peu l'instant et martela bien le sol de ses talons. Elle ramassa une graine d'érable et la lança dans l'eau, petit hélicoptère végétal, qui fut emporté par le courant, ravie de cette opportunité de partir s'ensemencer quelque lieu fort éloigné de son père biologique.
L'entrée de l'atelier se faisait par le côté, et Maliki passa devant une grande baie vitrée, derrière laquelle des élèves étaient déjà à l'oeuvre. Il s'agissait principalement de personnes âgées, qui se découvraient soudain du temps pour les loisirs, une fois à la retraite. Une vieille dame, qui avait plus de 80 ans, venait y travailler sur une immense peinture à l'huile, représentant un bouquet de fleurs, deux heures par jour...depuis plus de quatre ans.
Maliki entra et enfila une blouse tachée, pendue à une patère. Mme Élise, sa professeure, s'empressa de venir la saluer joyeusement, une tache de peinture bleue sur le bout du nez. C'était une femme pétillante mais posée, aux cheveux courts et au nez retroussé. De sa voix enjouée, elle pria Maliki d'aller chercher un chevalet et de prendre connaissance du thème de l'exercice du jour qui était écrit au tableau.
Tout le matériel dont Maliki avait besoin était à disposition dans la pièce d'à côté : pinceaux, crayons, fusains, pastels gras ou secs, gouaches, acryliques, peinture à l'huile ou aquarelle... Mme Élise n'avait pas lésiné sur les fournitures, et les artistes en herbe avaient l'opportunité de tester un grand nombre de techniques.
Maliki alla chercher une feuille de la dimension imposée par l'exercice, un format raisin. Puis elle opta pour un morceau de fusain et une boîte de pastels secs. Elle aimait bien cette technique, qui lui permettait d'avoir un trait bien texture, tout en gardant la possibilité de tout étaler au doigt pour obtenir des effets plus doux et des mélanges. Il était facile de superposer des couches de couleurs, et avec un peu d'acharnement et une bonne gomme mie de pain, on pouvait corriger facilement son dessin, contrairement à des techniques comme l'aquarelle qui ne laissait pas le droit à l'erreur.
Une fois bien installée, elle se mit à griffonner avec fougue.
Mme Élise l'observait. Elle avait remarqué que, lorsque la jeune fille dessinait, son esprit semblait à des milliers de kilomètres de là. Elle était en transe. C'est pourquoi elle ne l'interrompait que rarement dans ses créations, partant du principe que ses élèves étaient là pour expérimenter librement, avec un minimum de contraintes. Mme Élise se voyait comme un guide. Dans son atelier, il n'y avait pas de compétition, pas de note. C'était incompatible avec l'idée qu'elle se faisait de l'art, et c'était précisément cette liberté qu'appréciait Maliki. Si les passions commençaient à devenir une source d'angoisse, autant laisser tomber!
Pour sceller et signer leur création, les trois divinités offrirent la triforce au monde. Ce lieu est ensuite devenue la terre d'or.
Mais pour préserver ce symbole du pouvoir absolu des êtres malhonnêtes... les sages bâtirent le temple du temps et scellèrent solidement son entrée...
Seul ceux qui parviendront à réunir les trois pierres ancestrales et à jouer le chant du temps avec l'ocarina du temps pourront en ouvrir les portes.
- Un coup de main ?
- Je te signale que je suis une guerrière ! Et contrairement à Ganondorf, je n'ai pas un coeur de pierre !
Reyna la regarda dans les yeux ,l'air de vouloir mesurer si l'offre était sérieuse.
-Est-ce qu'il faudrait que je chante votre chanson bizarre, là,"Mamie met son armure" ?
-Seulement si tu y tiens. Par contre, on sera peut-être obligés de t'interdire de Capture-l'Etendard. J'ai l'impression que tu serais capable de jouer solo contre la Colonie toute entière et de nous battre quand même.
Malheureusement, elle était belle.
Attention, je ne parle pas d'une beauté "normale". Cette beauté-là, c'étaient ses soeurs qui en avaient hérité. Si Psyché avait été comme elles, ou même vaguement plus jolie, il n'y aurait pas eu de problème.
Mais à peine sortie de l'enfance que les réactions qu'elle suscitait passèrent de : " Quelle adorable petite fille !" à "Ouah! Par tous les dieux, quel canon !"
Elle ne pouvait pas ouvrir la fenêtre de sa chambre sans provoquer un attroupement dans la rue ; les types l'acclamaient et lui lançaient des fleurs. (Ne riez pas : une fleur en plein visage, ça fait mal !)