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La fiction a trop souvent donné de la France l'image d'une nation frivole où les clins d’œil entendus et les tapes coquines sur les fesses faisaient partie des des manières acceptables - autant d'idées préconçues à bannir tout de suite si vous tenez à éviter les problèmes. Pour la plupart, les jeunes filles ne sortent jamais sans chaperon, de jour comme de nuit. Ne fondez pas votre conduite sur des suppositions fantaisistes, ou vous vous attirerez de sérieux ennuis.
Au début de 1942, le seul camp de la mort spécialisé de l'empire nazi était Chelmno. Ce qui n'empêcha nullement les nazis de poursuivre leur orgie destructrice. Car, à la différence de ceux qui travaillent dans un système moins extrême, qui commencent par des préparatifs minutieux pour ensuite seulement passer à l'action, les nazis se lancèrent dans la déportation des Juifs avant qu'aucun des systèmes imaginés pour les détruire n'eût été testé ni même convenablement mis en place.
L'horreur de Dunwich elle-même survint entre Lamas et l'équinoxe en 1928, et le docteur Armitage fut l'un des témoin de son monstrueux prologue. Il avait appris, entre-temps la grotesque visite de Wateley à Cambridge, et ses efforts frénétiques pour emprunter ou copier le Necronomicon à la Widener Library de Harvard.
- Comment t'expliquer ?
Il se tourna vers elle, fit une légère pause, et commença à parler.
- C'est une longue histoire... Avant tout, je voudrais que tu me fasses confiance; ce que tu as vécu ces derniers jours devrait te convaincre plus facilement que d'autres que je dis la vérité. Pour répondre à ta question en un mot, je suis venu du futur ...
- Du futur...? s'écria Kazuko
S'il est un uniforme que la femme revêt traditionnellement en temps de guerre, c'est bien celui d'infirmière. Religieuses ou civiles ces femmes avaient déjà conquis leurs lettres de noblesse pendant la Grande Guerre, apportant dans tout ce sang et toute cette horreur la pieuse image de la douceur et de la compassion. Toutefois, les infirmières de la Grande Guerre ne sont pas envoyées en avant des lignes, où seuls se trouvent les brancardiers, qui subissent d'ailleurs de lourdes pertes. Elles sont en arrière du front, dont le tracé est presque toujours délimité, permettant au "hôpitaux" de campagne de fonctionner au plus près des premières lignes sans être sous le feu de l'ennemi.