Yasutaka Tsutsui

J'ai acheté ce livre parce que la couverture et le résumé me plaisaient, et parce que je n'ai encore pas trop lu d'auteur japonais, à part en manga. J'ai bien aimé le style d'écriture plutôt concis, qui nous entraîne dans une série d'événements de manière décousue mais entraînante. Certains événements étaient plutôt dérangeants et intéressants par la même occasion. J'ai bien aimé la petite dose d'inexpliqué par rapport à l'existence et au fonctionnement de l'enfer (au sens littéral) dans lequel se retrouvent les personnages. J'aime beaucoup le thème de l'enfer ou de la vie après la mort alors j'étais plutôt satisfaite sur ce point même si j'attendais encore plus d'originalité. J'ai aussi aimé la diversité de caractères des personnages. Néanmoins, vu la petite taille du livre, les personnages n'étaient selon moi pas assez marquants pour en faire une très bonne lecture.

Je suis certaine que cette histoire m'aurait davantage plue si j'avais été plus jeune mais là, je ne lui ai pas trouvé grand chose de grisant. Je ne dis pas que c'était une mauvaise expérience de lecture mais rien que le fait qu'il m'ait fallu 3jours pour lire les 100 pages du livre montre que je n'était pas captivée pour cette lecture.

Voici l'un des plus beaux livres que j'ai lu durant mon adolescence, "La Traversée du Temps" par le grand Yasutaka Tsutsui.

Et quel beau voyage, quel voyage magnifique!

C'est aussi ma seconde relecture, avec une nouvelle réédition cette fois-ci. Cela m'a fait drôle d'ouvrir le livre bien des années après. J'avais des frissons chaque fois que je tournais les pages.

Le film d'animation inspiré lui aussi du livre a vu le jour, et j'adore!

L'histoire est celle d'une jeune écolière japonaise, Kazuko, qui mène une vie banale et tranquille, sans aléas particuliers.

Un beau jour, alors qu'elle et ses deux fidèles amis Goro et Masaru sont de corvée de nettoyage de la salle de sciences, elle respire sans le vouloir une odeur, un parfum doux de lavande. Inhalant à pleins poumons, elle finit par s'évanouir. Et ce, depuis ce jour, une série d'évènements incongrus va se produire, la projetant dans le temps et l'espace!

En effet, Kazuko se découvre un pouvoir bien étrange, un pouvoir qu'elle seule détient: celui de voyager dans le temps, de revenir en avant ou en arrière à son gré!

Un pouvoir bien bizarre donc, saugrenu et inhabituel qui va la faire passer pour folle aux yeux de ses amis...

J'ai vraiment aimé la plume fluide et agréable de l'auteur! Ça se lit tout seul, en une semaine vous l'avez fini!

Spoiler(cliquez pour révéler)La chute, la fin de l'histoire m'a fait monté les larmes aux yeux: en fait, ce pouvoir, Kazuko le doit à son ami Masaru, alias Ken Soghor, qui vient du futur! Il lui déclare son amour et lui promet un jour de revenir, sous la forme de quelqu'un d'autre...A la toute toute fin, Kazuko ne se souvient plus de lui mais respire encore ce parfum de lavande dans le jardin des parents de Masaru (en réalité, ce ne sont pas ses vrais parents). Elle pense "Un jour, quelqu'un viendra". Elle se fait la promesse qu'un jour, quelqu’un viendra, quelqu'un la trouvera. Et elle, elle l'attendra. Masaru?

Je l'ai fermé et fini avec regret, tellement j'ai adoré et je ne me suis pas ennuyé!

Comme le dit la couverture : "Le roman culte des adolescents japonais".

Je dirais même : à n'importe quel âge on peut le lire!

N'hésitez plus : foncez le lire, vous ne le regretterez pas!

Je n'ai pas aimé. Je trouve le roman très mal rythmé, le sujet très mal maîtrisé et surtout les personnages horriblement ennuyeux et problématique (idée de la femme complètement obsédé de sexe et tous les personnage ne pensent qu'à ça).

Le pire reste le sexisme constant du livre et qui empire de page en page, avec à son apothéose une tentative de viol où rien ne va.

Je ne recommande pas ce livre et je ne vois pas ce qu'il a d'un thriller psychologique comme l'annonce la 4ème de couverture.

Soyons honnêtes, je n'avais pas aimé le premier tome mais je voulais le fin de l'histoire.

Déjà, c'est toujours aussi sexiste mais maintenant on a le droit à une homophobie très prononcée.

Je n'ai pas réussi à vraiment rentrer dans l'histoire et les batailles m'ont laissé de marbre.

Je ne vois pas en quoi ce livre est un thriller non plus.

Je ne recommande pas.

Au prestigieux Institut de recherche psychiatrique de Tokyo, Kosaku Tokita et Atsuko Chiba mettent au point une nouvelle méthode pour soigner les maladies mentales, et notamment la schizophrénie : Kosaku Tokita, un génie, en créant un appareil qui enregistre les images des rêves et permet également d'entrer dans ceux d'autrui, l'appareil PT (PsychoTherapie) ; Atsuko Chiba en étant une thérapeute particulièrement - en fait surhumainement - habile, et la premier à utiliser, avec succès, l'outil. Pour ces réalisations, ils sont sélectionnés pour le prix Nobel.

Pendant ce temps, à l'intérieur de l'Institut, une bataille fait rage pour le pouvoir et le prestige. Inui, le vice-président, a manqué dans sa jeunesse le prix Nobel après le vol de ses travaux, et il veut saisir cette nouvelle opportunité. Il est assisté par le brillant, ambitieux et très beau Morio Osanai.

Les gens commencent à s'interroger sur la sécurité de l'instrument : comment cette capacité d'accéder au subconscient des gens pourrait-elle être utilisée contre eux, maintenant que la technologie le permet ? Les thérapeutes pourraient-ils finir par être atteints des troubles de la personnalité de leurs patients ?

Et qui est Paprika, en plus de l'objet de désir de tous les personnages principaux ? Le public aimerait le savoir, et le lecteur le découvrira rapidement.

Puis, l'utilisation de l'appareil révèle des capacités inattendues et le chaos s'installe dans le monde. Rêves et réalité commencent à se mélanger. Des scènes épiques, dans lesquelles le subconscient des personnes présentes, y compris celui de simples passants, projettent dans la réalité les créatures et les scènes de leurs cauchemars, se produisent.

L'écriture est simplement descriptive, le ton parfois moqueur, et l'auteur se révèle vraiment opérant dans les moments de délire réjouissant. Ce commentaire se rapporte aux deux tomes.

Au prestigieux Institut de recherche psychiatrique de Tokyo, Kosaku Tokita et Atsuko Chiba mettent au point une nouvelle méthode pour soigner les maladies mentales, et notamment la schizophrénie : Kosaku Tokita, un génie, en créant un appareil qui enregistre les images des rêves et permet également d'entrer dans ceux d'autrui, l'appareil PT (PsychoTherapie) ; Atsuko Chiba en étant une thérapeute particulièrement - en fait surhumainement - habile, et la premier à utiliser, avec succès, l'outil. Pour ces réalisations, ils sont sélectionnés pour le prix Nobel.

Pendant ce temps, à l'intérieur de l'Institut, une bataille fait rage pour le pouvoir et le prestige. Inui, le vice-président, a manqué dans sa jeunesse le prix Nobel après le vol de ses travaux, et il veut saisir cette nouvelle opportunité. Il est assisté par le brillant, ambitieux et très beau Morio Osanai.

Les gens commencent à s'interroger sur la sécurité de l'instrument : comment cette capacité d'accéder au subconscient des gens pourrait-elle être utilisée contre eux, maintenant que la technologie le permet ? Les thérapeutes pourraient-ils finir par être atteints des troubles de la personnalité de leurs patients ?

Et qui est Paprika, en plus de l'objet de désir de tous les personnages principaux ? Le public aimerait le savoir, et le lecteur le découvrira rapidement.

Puis, l'utilisation de l'appareil révèle des capacités inattendues et le chaos s'installe dans le monde. Rêves et réalité commencent à se mélanger. Des scènes épiques, dans lesquelles le subconscient des personnes présentes, y compris celui de simples passants, projettent dans la réalité les créatures et les scènes de leurs cauchemars, se produisent.

L'écriture est simplement descriptive, le ton parfois moqueur, et l'auteur se révèle vraiment opérant dans les moments de délire réjouissant.

Ce commentaire concerne les 2 tomes, l'histoire entière.

Un livre qui serait juste passable s'il n'y avait pas également des propos écœurants qui le rendent mauvais. Paprika, c'est un livre publié en 1993 par un japonais qui, à l'époque, avait déjà 59 ans. De là, je vous laisse deviner tous les propos sexistes et inventions sur la pensée féminine que contient ce livre. Paprika est un personnage très porté sur le sexe et qui tombe systématiquement amoureuse de tous les hommes "charismatiques" (ou qui ont juste du pouvoir) qu'elle rencontre. Au point de se dire, au moment de se faire violer "oh ba je vais en profiter pour évacuer mes frustrations sexuelles!" (je vulgarise sa pensée mais c'est clairement dit). Et elle et son cliché de gros geek immature sont sensé être nominés pour un prix Nobel? Super. Bref, tous les autres personnages sont des clichés, le cliché de l'homme d'affaire, le cliché du chef de police. On a même le cliché immonde des méchants qui sont des homosexuels avides de sexe... Ça ne vole pas haut et le scénario n'améliore pas tout ça. On enchaîne des "enquêtes" de la détective des rêves avec en fond un complot à l'hôpital et des problèmes que l'on voit venir a des kilomètres.

Je ne recommande donc pas du tout ce livre.

Un petit roman sympathique avec des personnages attachants. Une fin pleine d'émotion, comme à chaque fois avec ce type d'œuvre. Il ne me reste plus qu'à voir le film.

Kazuko, élève de 3ème, fait l'expérience d'un voyage dans le temps pour le moins extraordinaire et perturbant. Décontenancée par ses pouvoirs, elle tente d'apprivoiser son quotidien, avec le souci d'anticiper les drames menaçant ses camarades de classe, Goro et Mazaru. Une situation qui, vous vous en doutez, donnera lieu à de drôles de péripéties...

C'est une lecture jeunesse courte et agréable, et il ne faut pas en demander plus. Les personnages ne sont pas très fouillés, ce qui n'empêche pas les interactions et un petit suspense qui donne envie d'avancer. On apprécie la sensibilité de la jeune fille, mais aussi son énergie à mener à bien cette aventure.

J'ai passé un moment fort sympathique en sa compagnie, sans prise de tête. On retrouve dans ce récit de l'humour, des bons sentiments, un peu de poésie.

De plus, ce roman a inspiré un film d'animation dont on a très envie de découvrir les images, pour être à nouveau transporté.