Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 908
Membres
1 014 229

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

On a beau tenter de se convaincre qu'une voiture ne peut pas causer de dommages a un mort et qu'il est plus simple de l'écraser que de la déplacer, on a quand même du mal a appuyer sur l'accélérateur. Putain d'éducation.

Afficher en entier

Lorsque je me réveillais, j'étais allongée sur le lit, Raphael penché au-dessus de moi.

- Tu as les nerfs fragiles pour une sorcière de guerre.

- Je vais le tuer, le découper en petits morceaux avec mes ongles et lui faire bouffer sa propre chair.

- Tu me rassures, je craignais que tu ne sois encore quelque peu énervée... dit-il en me caressant les cheveux.

- Qu'est ce que tu as décidé ? Tu me livres au Mortefilis ou tu me laisses m'occuper de Michael ?

- Ni l'un, ni l'autre, dit-il d'une voix ferme.

- Je dois le tuer, je dois le faire payer, dis-je en me redressant.

- Aller combattre Michael en Europe serait un véritable suicide, Rebecca.

- Tu ne comprends pas, répondis-je en tremblant de rage, il s'en est pris aux miens. Il s'est servi de moi, de mon erreur de gamine inconséquente, pour s'attaquer aux miens. Je suis responsable...

- Tu le tueras, déclara-t-il avec autorité, mais pas sur son terrain, pas maintenant.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Cherry2 2018-05-08T18:30:57+02:00

Beth à Rebecca:

- Tu plaisantes ?

- J'aimerais, répondis-je en soufflant.

- Comment c'est possible ?

- Aucune idée mais on est très très mal, fis-je d'un ton lugubre.

- C'est vrai que c'est surprenant mais tu ne crois pas que tu dramatises un peu, là ?

- Non.

- Non ?

- Non.

- Fait chier.

Afficher en entier

« — Tu l’as tué ? dis-je, stupéfaire.

— Il avait enfreint les règles et il t’avait attaquée. Deux bonnes raisons pour mériter la peine de mort, non ?

— Si tu le dis…

Certains mecs vous offrent des fleurs ou des chocolats. Raphael, lui, faisait la peau des vampires qui me taquinaient d’un peu trop près. Je ne savais pas si je devais trouver ça adorable ou complètement flippant. »

Afficher en entier

« — Chaque clan a ses règles, Beth, dis-je d’une voix calme. Si je ne m’abuse, les loups sont même champions dans ce domaine.

— Non. Nous, on ne se serait jamais permis de faire ça. On a trop le sens de l’hospitalité.

— T’as raison. Pas plus tard qu’hier, un de tes petits copains a menacé de me violer puis ensuite de m’égorger parce que j’étais entrée sur votre territoire. Maurane, elle, au moins m’a servi des petits gâteaux avant de tenter de me droguer avec son thé. »

Afficher en entier

-On ne se serait jamais permis de faire ça. On a trop le sens de l'hospitalité.

-T'as raison. Pas plus tard qu'hier, un de tes petits copains a menacer de me violer puis ensuite de m'égorger parce que j'étais entrée sur votre territoire. Mauranne, elle, au moins, m'a servi des petits gâteaux avant de tenter de me droguer avec son thé.

-Faut toujours que tu critiques, dit-elle en amorçant un sourire.

-Qu'est-ce que tu veux, c'est mon côté français, on n'est jamais content [...]

Afficher en entier
Extrait ajouté par niix7 2017-10-24T13:35:14+02:00

"Le meilleur moyen de ne plus avoir peur, c'est d'éliminer celui ou ceux qui ont provoqué cette peur."

Afficher en entier

Raphaël se mit à sourire. Quelques dixièmes de secondes plus tard, il se tenait derrière mon siège et me chuchotait à l'oreille :

- Oh Rebecca, que vais-je faire de toi?

Il posa sa main sur mon épaule et me broya l'omoplate. La douleur était intenable. J'envoyais un flux d'énergie pour lui faire lâcher prise etle projetais contre la cheminée.

- Qu'est que... dit Maurane, surprise.

J'entendis soudain un éclat de rire.

- T'as raison, Tyriam, cette gamine ne va pas servir à grand chose, si ce n'est à botter les fesses de Raphaël et, entre nous soit dit, je trouve ça déjà pas mal, fit Aligarh.

Afficher en entier

Je me demandais si je devais rouler ou non sur le cadavre. De toute façon je ne pouvais pas le contourner. La route bordée par les arbres était trop étroite et il était allongé en plein milieu de la chaussée. Mais ce n'est pas parce qu'on n'a pas le choix que ça rend les choses plus faciles. On a beau tenter de se convaincre qu'une voiture ne peut pas causer de dommages à un mort et qu'il est plus simple de l'écraser que de le déplacer, on a quand même du mal à appuyer sur l'accélérateur. Putain d'éducation.

Afficher en entier
Extrait ajouté par MaeliD 2017-06-30T16:10:08+02:00

J'etais devenu une tueuse patentée, Leonora et moi étions désormais liées de manière bizarre à un vampire (qui, soit dit en passant, était incroyablement sexy), mon ex allait débarquer dans moin d'un mois accompagné d'une horde de suceurs de sang, ma meilleure amie s'était engagée dans une liaison à haut risque avec un muteur et avait du se transformer en garde du corps pour un jeune Alpha peu coopératif, et un démon croyait qu'il existait une sorte de lien métaphysique et sexue entre nous. Alors rentrer à la maison et dévorer la dernière saison de Mon oncle Charlie, avec un énorme paquet de chips, me sembla tout à coup la meilleure chose à faire...

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode