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- Tu as raison, moi aussi il faut que j'y aille. Je dois passer prendre Léo à l'école, l'aider à faire ses devoirs, lui préparer son goûter, avant de la déposer chez Beth.
- Je pourrais peut-être t'embaucher à plein temps, dis-je en plaisantant. Tu serais mon Tony Michelli attitré.
- Tu sais comment ça a fini entre Tony et sa patronne ?
- Ouais, mais non, fis-je en grimaçant.
Afficher en entierJe parcourus rapidement le document. L’écriture de Kathryn était penchée vers la droite et ses lettres étaient en forme de pattes de mouche. Un graphologue vous dirait sûrement qu’elle se projette dans le futur et qu’elle est atteinte de diverses névroses, moi, je dirais simplement qu’elle mourra dès qu’elle croisera ma route et que je me fous de sa personnalité ou de ses problèmes existentiels.
Afficher en entier- Grolwey, debout !
Il ouvrit les yeux et se mit à hurler.
- Y a pas à dire, vous faites de l'effet aux hommes, m'dame, fit Linus d'un ton sarcastique.
Afficher en entier- [...]C'est pour ça qu'ils n'ont pas pu se défendre et que je ne parviens pas à capter leur énergie.
- Tu plaisanres ?
- J'aimerais, répondis-je en soufflant.
- Comment est-ce possible ?
- Aucune idée mais on est très mal, fis-je d'un ton très lugubre.
- C'est vrai que c'est surprenant mais tu ne crois pas que tu dramatises un peu, là ?
- Non.
- Non ?
- Non.
- Fait chier.
Afficher en entierIl y avait un piège. Avec les vampires, il y avait toujours un piège quelque part. J’étais bien placée pour le savoir.
— Disons que tu vas devoir me faire confiance sur ce point, fit-il d’un ton suave.
La dernière fois qu’un vampire m’avait demandé de lui faire confiance, ça avait brisé ma vie, je n’étais pas vraiment certaine de vouloir remettre ça.
— Je ne crois pas que ça pourra fonctionner,
Raphael.
— Pourquoi ?
— Je n’ai pas du tout l’intention de devenir ta marionnette, ni que tu me fasses le moindre chantage.
— Manipuler une sorcière de guerre, c’est comme jongler avec de la nitroglycérine, ça finit toujours par vous exploser au visage. Je suis beaucoup trop expérimenté pour m’y risquer. Tu n’as rien à craindre à ce sujet.
Nos visages étaient désormais si proches l’un de l’autre que le vent posa une mèche de ses cheveux sur mon front.
— Alors je vais y réfléchir, Magister, fis-je avec un rictus. Mais je tiens à te dire que si tu me trahis, je n’aurais de cesse de te tuer.
— Cela va sans dire… répondit-il en souriant.
— Oui, mais c’est mieux en le disant.
Afficher en entierJe les regardai d'un peu plus près. Ils portaient tous les deux des costumes noirs très bien coupés, de marque européenne, Hugo Boss ou Armani, ainsi que des chemises blanches. On aurait dit les "Men in Black".
Afficher en entier-mais vous vous croyez ou ,en democatie , on ne vote pas ,on ne conteste pas ,on obeit continua de hurler Gordon. Beth courba le dos mais parvins tout de meme a lever la tete
Afficher en entierDiscussion entre Beth et Rebecca :
— Tu plaisantes ?
— J’aimerais, répondis-je en soufflant.
— Comment c’est possible ?
— Aucune idée mais on est très très mal, fis-je d’un ton lugubre.
— C’est vrai que c’est surprenant mais tu ne crois pas que tu dramatises un peu, là ?
— Non.
— Non ?
— Non.
— Fait chier.
Afficher en entier— Manipuler une sorcière de guerre, c’est comme jongler avec de la nitroglycérine, ça finit toujours par vous exploser au visage. Je suis beaucoup trop expérimenté pour m’y risquer. Tu n’as rien à craindre à ce sujet.
Afficher en entierSoudain, il posa sa main glacée sur mon bras nu et je craquai. La rage et toutes les émotions que j’avais contenues jusqu’à présent réveillèrent la magie. Elle le submergea comme une lame de fond gigantesque et il se mit à tomber en hurlant sur la moquette blanche.
— Rebecca, arrête de jouer avec Hector, ordonna Raphael de sa voix inimitable.
— Je ne l’ai pas fait exprès, il m’a touchée et… mais je ne voulais pas lui faire de mal, dis-je sincèrement.
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