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Extrait ajouté par Hope-S 2016-10-20T19:00:45+02:00

"Excusez-moi, je ne voudrais pas vous vexer. Ce n'est pas parce-que je méprise les religions qu'on peut dire que je ne les estime pas"

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Extrait ajouté par celia_cat 2016-08-08T11:16:05+02:00

Bérenger: Si cela s'était passé ailleurs, dans un autre pays et qu'on eût appris cela par les journaux, on pourrait discuter paisiblement de la chose, étudier la question sur toutes ses faces, en tirer objectivement des conclusions. On organiserait des débats, on ferait venir des savants, des écrivains, des hommes de loi, des femmes savantes, des artistes. Des hommes de la rue aussi, ce serait intéressant, passionnant, instructif. Mais quand vous êtes pris vous-même dans l'événement, quand vous êtes mis tout à coup devant la réalité brutale des faits, on ne peut pas ne pas se sentir concerné directement, on est trop violemment surpris pour garder tout son sang- froid. Moi, je suis surpris, je suis surpris, je suis surpris! Je n'en reviens pas.

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Extrait ajouté par celia_cat 2016-08-08T11:13:22+02:00

Jean, sans écouter Bérenger: A vrai dire, je ne déteste pas les hommes, ils me sont indifférents, ou bien ils me dégoutent, mais qu'ils ne se mettent pas en travers de ma route, je les écraserais.

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Extrait ajouté par Diable 2015-07-10T01:26:16+02:00

Le vieux monsieur

J’ai eu des amis asiatiques. Peut-être n’étaient-ils pas de vrais asiatiques…

Le patron

J’en ai connu des vrais.

La serveuse à l’Epicière.

J’ai eu un ami asiatique.

La ménagère, même jeu.

Je l’ai eu tout petit.

Jean, toujours hors de lui.

Ils sont jaunes ! jaunes ! très jaunes !

Bérenger, à Jean.

En tout cas, vous, vous êtes écarlate !

P.73

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Extrait ajouté par Diable 2015-07-10T01:25:07+02:00

Le logicien, au vieux monsieur.

Autre syllogisme : tous les chats sont mortels. Socrate est mortel. Donc Socrate est un chat.

Le vieux monsieur

Et il a quatre pattes. C’est vrai, j’ai un chat qui s’appelle Socrate.

Le logicien

Vous voyez…

p.46

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Extrait ajouté par asteroidcollision 2015-02-26T18:06:16+01:00

La culpabilité est un symptôme dangereux. C'est un signe de manque de pureté.

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Extrait ajouté par Didie6 2014-11-21T18:35:28+01:00

Les morts sont plus nombreux que les vivants. Leur nombre augmente. Les vivants sont rares.

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Extrait ajouté par Didie6 2014-11-21T18:35:17+01:00

Vous n'existez pas, mon cher, parce que vous ne pensez pas ! Pensez, et vous serez.

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Extrait ajouté par Didie6 2014-11-21T18:34:44+01:00

- Puisqu'il en est ainsi, c'est qu'il ne peut en être autrement.

- C'est du fatalisme.

- C'est de la sagesse.

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Extrait ajouté par Didie6 2014-11-21T18:34:34+01:00

Bérenger, venant de la gauche

Bonjour, Jean

Jean

Toujours en retard, évidemment ! (Il regarde sa montre-bracelet.) Nous avions rendez-vous à onze heures trente. Il est bientôt midi.

Bérenger

Excusez-moi. Vous m’attendez depuis longtemps ?

Jean

Non. J’arrive, vous voyez bien.

Ils vont s’asseoir à une des tables de la terrasse du café.

Bérenger

Alors, je me sens moins coupable, puisque…vous-même…

Jean

Moi, c’est pas pareil, je n’aime pas attendre, je n’ai pas de temps à perdre. Comme vous ne venez jamais à l’heure, je viens exprès en retard, au moment où je suppose avoir la chance de vous trouver.

Bérenger

C’est juste… c’est juste, pourtant…

Jean

Vous ne pouvez affirmer que vous venez à l’heure convenue !

Bérenger

Évidemment…je ne pourrais l’affirmer.

Jean et Bérenger se sont assis

Jean

Vous voyez bien.

Bérenger

Qu’est-ce que vous buvez ?

Jean

Vous avez soif, vous, dès le matin ?

Bérenger

Il fait tellement chaud, tellement sec.

Jean

Plus on boit, plus on a soif, dit la science populaire…

Bérenger

Il ferait moins sec, on aurait moins soif si on pouvait faire venir dans notre ciel des nuages scientifiques.

Jean, examinant Bérenger

Ça ne ferait pas votre affaire. Ce n’est pas d’eau que vous avez soif, mon cher Bérenger…

Bérenger

Que voulez-vous dire par là, mon cher Jean ?

Jean

Vous me comprenez très bien. Je parle de l’aridité de votre gosier. C’est une terre insatiable.

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