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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-07-06T14:29:50+02:00

MONSIEUR PAPILLON   Ah ! il a une légère grippe !   MADAME BŒUF, tendant un papier au Chef.   Tenez, il le dit dans son télégramme. Il espère être de retour mercredi… (Presque défaillante.) Donnez-moi un verre d’eau… et une chaise…   Bérenger vient lui apporter, au milieu du plateau, sa propre chaise sur laquelle elle s’écroule.   MONSIEUR PAPILLON, à Daisy.   Donnez-lui un verre d’eau

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-07-06T14:27:48+02:00

JEAN   Non. J’arrive, vous voyez bien.   Ils vont s’asseoir à une des tables de la terrasse du café.   BÉRENGER   Alors, je me sens moins coupable, puisque… vous-même…   JEAN   Moi, c’est pas pareil, je n’aime pas attendre, je n’ai pas de temps à perdre. Comme vous ne venez jamais à l’heure, je viens exprès en retard, au moment où je suppose avoir la chance de vous trouver.   BÉRENGE

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Extrait ajouté par anonyme 2012-04-23T20:12:25+02:00

Acte III :

DUDARD : Le mal, le mal ! Parole creuse ! Peut-on savoir où est le mal, où est le bien ? Nous avons des préférences, évidement. Vous craignez surtout pour vous. C'est ça la vérité...

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Extrait ajouté par anonyme 2012-04-23T20:09:01+02:00

Acte premier :

LE LOGICIEN : Vous avez des dons, il suffisait de les mettre en valeur.

JEAN : Le peu de temps libre que vous avez, mettez-le donc à profit. Ne vous laisser pas aller à la dérive.

LE VIEUX MONSIEUR : Je n'ai guère eu le temps. J'ai été fonctionnaire.

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Extrait ajouté par Biquet 2011-11-04T16:59:49+01:00

Acte III

Bérenger

Cela en avait bien l'air pourtant. Si vous aviez vu dans quel état... l'expression de sa figure...

Dudard

C'est parce que c'est vous qui vous trouviez par hasard chez lui. Avec n'importe qui cela se serait passé de la même façon.

Bérenger

Devant moi, étant donné notre passé commun, il aurait pu se retenir.

Dudard

Vous vous croyez le centre du monde, vous croyez que tout ce qui arrive vous concerne personnellement ! Vous n'êtes pas la cible universelle !

Bérenger

C'est peut (être juste. Je vais tacher de me raisonner. Cependant le phénomène en soi est inquiétant. Moi, à vrai dire, cela me bouleverse. Comment l'expliquer ?

Dudard

Pour le moment, je ne trouve pas encore une explication satisfaisante. Je constate les faits, je les enregistre. Cela existe, donc cela doit pouvoir s'expliquer. Des curiosités de la nature, des bizarreries, des extravagances, un jeu, qui sait ?

Bérenger

Jean était très orgueilleux. Moi, je n'ai pas d'ambition. Je me contente de ce que je suis.

Dudard

Peut-être aimait-il l'air pur, la compagne, l'espace... peut-être avait-il besoin de se détendre. Je ne dis pas ça pour l'excuser...

Bérenger

Je vous comprends, enfin j'essaye. Pourtant, même si on m'accusait de ne pas avoir l'esprit sportif ou d'être un petit-bourgeois, figé dans un univers clos, je resterais sur mes positions.

Dudard

Nous resterons tous les mêmes, bien sur. Alors pourquoi vous inquiétez-vous pour quelques cas de rhino cérite ? Cela peut-être aussi une maladie.

Bérenger

Justement, j'ai peur de la contagion.

Dudard

Oh ! N'y pensez plus. Vraiment, vous attachez trop d'importance à la chose. L'exemple de Jean n'est pas symptomatique, n'est pas représentatif, vous avez dit vous-même que Jean était orgueilleux. A mon avis, excusez-moi de dire du mal de votre ami, c'était un excité, un peu sauvage, un excentrique, on ne prend pas en considération les originaux. C'est la moyenne qui compte.

Bérenger

Alors cela s'éclaire. Vous voyez, vous ne pouviez pas expliquer le phénomène. Eh bien, voilà, vous venez de me donner une explication plausible. Pourtant, il avait des arguments, il semblait avoir réfléchi à la question, muri sa décision... Mais Bœuf, Bœuf, était-il fou lui aussi ?... et les autres, les autres ?...

Dudard

Il reste l'hypothèse de l'épidémie. C'est comme la grippe. Ça c'est déjà vu des épidémies.

Bérenger

Elles n'ont jamais ressemblé à celle-ci. Et si ça venait des colonies ?

Dudard

En tout cas, vous ne pouvez pas prétendre que Bœuf et les autres, eux aussi, ont fait ce qu'ils ont fait, ou sont devenus ce qu'ils sont devenus, exprès pour vous ennuyer. Ils ne se seraient pas donné ce mal.

Bérenger

C'est vrai, c'est sensé ce que vous dites, c'est une parole rassurante... ou peut-être, au contraire, cela est-il plus grave encore ? (On entend des rhinocéros galoper sous la fenêtre du fond.) Tenez, vous entendez ? (Il se précipite vers la fenêtre.)

Dudard

Laissez-les donc tranquilles ! (Bérenger referme la fenêtre.) En quoi vous gênent-ils ? Vraiment, ils vous obsèdent. Ce n'est pas bien. Vous vous épuisez nerveusement. Vous avez eu un choc, c'est entendu ! N'en cherchez pas d'autres. Maintenant, tachez tout simplement de vous rétablir.

Bérenger

Je me demande si je suis bien immunisé.

Dudard

De toute façon, ce n'est pas mortel. Il y a des maladies qui sont saines. Je suis convaincu qu'on en guérit si on veut. Ç a leur passera, allez.

Bérenger

Ça doit certainement laisser des traces ! Un tel déséquilibre organique ne peut pas ne pas en laisser...

Dudard

C'est passager, ne vous en faites pas.

Bérenger

Vous en êtes convaincu ?

Dudard

Je le crois, oui, je le suppose.

Bérenger

Mais si on ne veut vraiment pas, n'est-ce pas, si on ne veut vraiment pas attraper ce mal qui est un mal nerveux, on ne l'attrape pas, on ne l'attrape pas !...Voulez-vous un verre de cognac ?

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Extrait ajouté par Roxye 2010-12-13T17:03:50+01:00

Dans la ville, la rhinocérite gagne peu à peu. Bérenger, venu annoncer à Jean la contamination d'un de leurs collègues, M. Boeuf, constate que son ami devient " de plus en plus vert ".

BÉRENGER.

Laissez-moi appeler le médecin, tout de même, je vous en prie.

JEAN.

Je vous l'interdis absolument. Je n'aime pas les gens têtus (Jean entre dans la chambre Bérenger recule un peu effrayé, car Jean est encore plus vert, et il parle avec beaucoup de peine Sa voix est méconnaissable.) Et alors, s'il est devenu rhinocéros de plein gré ou contre sa volonté, ça vaut peut-être mieux pour lui.

BÉRENGER.

Que dites-vous là, cher ami ? Comment pouvez-vous penser.

JEAN.

Vous voyez le mal partout. Puisque ça lui fait plaisir de devenir rhinocéros, puisque ça lui fait plaisir ! Il n'y a rien d'extraordinaire à cela.

BÉRENGER.

Évidemment, il n'y a rien d'extraordinaire à cela. Pourtant, je doute que ça lui fasse tellement plaisir.

JEAN.

Et pourquoi donc ?

BÉRENGER.

Il m'est difficile de dire pourquoi. Ça se comprend.

JEAN.

Je vous dis que ce n'est pas si mal que ça ! Après tout, les rhinocéros sont des créatures comme nous, qui ont droit à la vie au même titre que nous !

BÉRENGER.

À condition qu'elles ne détruisent pas la nôtre. Vous rendez-vous compte de la différence de mentalité ?

JEAN, allant et venant dans la pièce, entrant dans la salle de bains, et sortant.

Pensez-vous que la nôtre soit préférable ?

BÉRENGER.

Tout de même, nous avons notre morale à nous, que je juge incompatible avec celle de ces animaux.

JEAN.

La morale! Parlons-en de la morale, j'en ai assez de la morale, elle est belle la morale ! Il faut dépasser la morale.

BÉRENGER.

Que mettriez-vous à la place ?

JEAN, même jeu.

La nature !

BÉRENGER.

La nature ?

JEAN, même jeu.

La nature a ses lois. La morale est antinaturelle.

BÉRENGER.

Si je comprends, vous voulez remplacer la loi morale par la loi de la jungle!

JEAN.

J'y vivrai, j'y vivrai.

BÉRENGER.

Cela se dit. Mais dans le fond, personne...

JEAN, l'interrompant, et allant et venant.

Il faut reconstituer les fondements de notre vie. Il faut retourner à l'intégrité primordiale.

BÉRENGER.

Je ne suis pas du tout d'accord avec vous.

JEAN, soufflant bruyamment.

Je veux respirer.

BÉRENGER.

Réfléchissez, voyons, vous vous rendez bien compte que nous avons une philosophie que ces animaux n'ont pas, un système de valeurs irremplaçable. Des siècles de civilisation humaine l'ont bâti!…

JEAN, toujours dans la salle de bains.

Démolissons tout cela, on s'en portera mieux.

BÉRENGER.

Je ne vous prends pas au sérieux. Vous plaisantez, vous faites de la poésie.

JEAN.

Brrr...

(Il barrit presque.)

BÉRENGER.

Je ne savais pas que vous étiez poète.

JEAN, (Il sort de la salle de bains.)

Brrr...

(Il barrit de nouveau.)

BÉRENGER.

Je vous connais trop bien pour croire que c'est là votre pensée profonde. Car, vous le savez aussi bien que moi, l'homme...

JEAN, l'interrompant.

L'homme... Ne prononcez plus ce mot !

BÉRENGER.

Je veux dire l'être humain, l'humanisme…

JEAN.

L'humanisme est périmé! Vous êtes un vieux sentimental ridicule (Il entre dans la salle de bains.)

BÉRENGER.

Enfin, tout de même, l'esprit...

JEAN, dans la salle de bains.

Des clichés! vous me racontez des bêtises.

BÉRENGER.

Des bêtises !

JEAN, de la salle de bains, d'une voix très rauque difficilement compréhensible.

Absolument.

BÉRENGER.

Je suis étonné de vous entendre dire cela, mon cher Jean! Perdez-vous la tête ? Enfin, aimeriez-vous être rhinocéros ?

JEAN.

Pourquoi pas ! Je n'ai pas vos préjugés.

BÉRENGER.

Parlez plus distinctement. Je ne comprends pas. Vous articulez mal.

JEAN, toujours de la salle de bains.

Ouvrez vos oreilles !

BÉRENGER.

Comment ?

JEAN.

Ouvrez vos oreilles. J'ai dit, pourquoi ne pas être un rhinocéros? J'aime les changements.

BÉRENGER.

De telles affirmations venant de votre part... (Bérenger s'interrompt, car Jean fait une apparition effrayante. En effet, Jean est devenu tout à fait vert. La bosse de son front est presque devenue une corne de rhinocéros.) Oh! vous semblez vraiment perdre la tête (Jean se précipite vers son lit, jette les couvertures par terre, prononce des paroles furieuses et incompréhensibles, fait entendre des sons inouïs.) Mais ne soyez pas si furieux, calmez-vous ! Je ne vous reconnais plus.

Eugène Ionesco, Rhinocéros (1959), in Théâtre, III, éd. Gallimard.

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Extrait ajouté par x-Key 2010-12-01T18:10:58+01:00

Il y a des choses qui viennent à l'esprit même de ceux qui n'en ont pas.

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Extrait ajouté par x-Key 2010-12-01T18:10:58+01:00

Tous les chats sont mortels, Socrate est mortel donc Socrate est un chat.

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Extrait ajouté par Ann1975 2010-08-03T21:56:04+02:00

Acte I

Une petite ville tranquille, un dimanche matin. Deux hommes, Bérenger, un employé de bureau timide et velléitaire, et son ami Jean, personnage imbu de sa personne, sont à la terrasse d'un café. Jean reproche à Bérenger son manque de personnalité. Bérenger se défend à peine.

Soudain un rhinocéros traverse bruyamment la grand-place. Les habitants du quartier ( une ménagère, un vieux monsieur, un logicien, le patron du café, la serveuse …) ont suivi sa course et commentent, interloqués, le passage de l'animal. Puis ils retournent à leur occupation.

Bérenger aperçoit alors la jeune Daisy, une de ses collègues de bureau, dont il est amoureux. Mais il est trop timide pour lui déclarer sa flamme. Il éprouve aussi un complexe d’infériorité vis à vis de Dudard, un autre collègue, avec lequel il ne s’estime pas en mesure de rivaliser.

A une table voisine, un vieux monsieur discute avec un logicien. Ce dernier lui explique ce qu’est un syllogisme : «Tous les chats sont mortels. Socrate est mortel. Donc Socrate est un chat».

Apparaît alors, toujours aussi bruyamment, mais en sens inverse, un second rhinocéros. La serveuse laisse tomber son plateau, et la ménagère apparaît effondrée, en tenant dans ses bras son chat que le rhinocéros a écrasé.

Une discussion futile s’engage entre Jean et Bérenger. Ils se posent trois questions : Etait-ce le même rhinocéros ? Avait-il une ou deux cornes ? Etait-ce un rhinocéros d’Asie ou d’Afrique ?

Le ton monte, les deux amis s’emportent. Finalement, Jean s’en va, furieux. Le logicien y va de son commentaire :" il se peut que depuis tout à l’heure le rhinocéros ait perdu une de ses cornes ». Bérenger, lui regrette de s’être disputé avec Jean.

Acte II

Le lendemain matin, dans le bureau où travaille Bérenger. Sont présents , Daisy, la jolie dactylo, Botard, l’instituteur en retraite, Dudard, le sous-chef du bureau, et Monsieur Papillon, le chef de service. M. Bœuf, l’un des employés est absent. Tout le monde commente, incrédule, ce qui s’est passé la veille. Soudain apparaît Mme Bœuf , hébétée. Elle a été pourchassée par un rhinocéros en lequel elle a reconnu son mari.

Surgit alors un nouveau pachyderme. Mme Bœuf reconnaît son époux. Elle s'évanouit; on s'affaire pour la ranimer. Revenue à elle, elle s’enfuit en grimpant sur le dos du rhinocéros.

Les habitants de la ville sont de plus en plus nombreux à se métamorphoser en rhinocéros . Ils détruisent l’escalier. Les employés de bureau sont bloqués. Ils ne doivent leur salut qu’aux pompiers qui ne savent plus où donner de la tête. Ils les font descendre par une grande échelle posée contre la fenêtre.

Bérenger rend visite à son ami Jean. Ce dernier est souffrant et tient des propos effrayants. Il préconise un retour à l’état animal et critique l’espèce humaine. Puis il se métamorphose lui-même en rhinocéros sous le regard affolé de Bérenger.

Acte III

Bérenger est allongé sur le divan de sa chambre. Les rhinocéros continuent leur vacarme dans la rue. Il a un bandeau autour de la tête. Il tousse lui aussi, mais lutte pour résister à la maladie. Entre Dudard, son collègue qui vient prendre de ses nouvelles. Ils discutent de ce curieux phénomène. Bérenger, lui d’ordinaire si apathique, paraît inquiet. Dudard au contraire minimise la situation : Si épidémie il y a , elle n'est pas mortelle.

Incidemment, Dudard informe Bérenger que leur chef, M. Papillon, s’est lui aussi transformé en rhinocéros. Bérenger est indigné : « Il avait le devoir de ne pas succomber ». Dudard reproche à son collègue son intolérance et lui demande de faire preuve de compréhension.

Entre alors Daisy, un panier sous le bras. Elle se montre surprise de la contrariété de Bérenger. Elle lui apprend que Botard est lui aussi devenu rhinocéros. Il a même déclaré : «Il faut suivre son temps. »

Daisy a apporté de quoi déjeuner, bien qu’il ne soit pas facile de trouver des provisions. Dudard est invité à rester , mais il préfère retrouver le troupeau de rhinocéros, indiquant que «son devoir est de suivre ses chefs et ses camarades ».

Daisy et Bérenger restent seuls. Bérenger serre Daisy dans ses bras. Ils font des projets. Mais le téléphone sonne. On entend des barrissements. Bérenger se précipite vers son poste de radio. On ne parle que de ça. Rien ne peut plus empêcher Daisy d’aller les rejoindre. «Que veux-tu qu'on y fasse ? Il faut être raisonnable, tâcher de s'entendre avec eux. "

Bérenger lui parle de sauver le monde. Elle lui répond qu'il est fou. Il lui parle d'amour. En vain. Elle s'en va. Bérenger reste seul devant sa glace. Que faire ? Il hésite un instant se demandant s’il ne doit pas lui aussi les suivre. Mais il décide de résister. Il restera un homme, le dernier des hommes.

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Extrait ajouté par x-Key 2010-12-01T18:10:58+01:00

Sur un texte burlesque un jeu dramatique ; sur un texte dramatique, un jeu burlesque.

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