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Commentaires de livres faits par ronnie

Extraits de livres par ronnie

Commentaires de livres appréciés par ronnie

Extraits de livres appréciés par ronnie

date : 24-01-2017

C'est par la répétition des gestes que nous arrêtons la course du monde. Comme lorsqu'on tient la main d'un enfant pour éviter qu'il ne se perde.
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«-Tenez, dit Beauchamp, puisque nous voilà sur la route, allons un peu voir M. de Monte-Cristo, il vous distraira ; c'est un homme admirable pour remettre les esprits, en ce qu'il ne questionne jamais ; or, à mon avis, les gens qui ne questionnent pas sont les plus habiles consolateurs.

- Soit, dit Albert, allons chez lui, je l'aime. »
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«Souvent, les mots abstraits inspirent des phrases plus explicatives et invitent à développer des idées ou des réflexions, alors que les phrases ayant des mots concrets éveillent davantage des sensations, des émotions, des situations précises. Elles font plus images et ouvrent l'univers de la fiction. (…) il s'agit seulement d'être conscient du niveau où l'on se situe et que l'on éveille chez le lecteur ».
p.46-47
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“I think about more than ‘now’ when I look at you…I can’t wait for every tomorrow with you…”
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“Cause when I look to the sky something tells me
you’re here with me
And you make everything alright

And when I feel like I’m lost something tells me
you’re here with me
And I can always find you when you are here”

-Train-
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D'abord, le son de nos propres pas fut le seul bruit que nous entendîmes puis le passage s'élargit et le hennissement d'un cheval, le faible ronflement d'un moteur à vapeur, le clapotis de l'eau et le cris aigu d'un bébé qui ne trouvait le sommeil nous parvinrent de différentes directions, chacun délimitant à sa façon l'obscurité qui nous entourait.
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─ On doit embarquer dans ce… bateau ? s’enquit-Zarya peu rassurée.
─ Ce n’est certes pas la Pertuisane III, je dois l’admettre, répondit Tabatha, avec fierté. Cependant il est très fiable, tu peux me croire.
Zarya était persuadée du contraire. En apercevant deux matelots chaussés de bottes de caoutchouc amarrer le navire au quai d’embarquement, elle était prête à jurer que ce vieux rafiot à voile prenait l’eau. Plus qu’elle s’approchait et plus que le bateau semblait misérable.
─ On va couler, j’en suis convaincue, chuchota-t-elle à Jonathan pour ne pas se faire entendre par Tabatha.
─ Bah ! Je ne suis pas inquiet pour toi. Je sais avec certitude que tu nages très bien.
─ Et qui t’as dit ce détail ? fit-elle surprise.
Il hésita quelques secondes en continuant évoluer progressivement parmi les personnes qui, deux par deux, se dirigèrent vers le navire.
─ Je t’ai vu une fois ou deux à la piscine du Temple.
─ Ah oui !?
─ En fait, trois ou quatre fois, je ne sais plus, se confia-t-il, en camouflant un rire en coin.
Elle s’arrêta net de marcher, étonnée par cette confidence. Tabatha et un vieil homme, qui les suivaient de près, les heurtèrent de plein fouette. La jeune gothique ne se retourna même pas, trop médusée par les paroles révélatrices de Jonathan.
─ Tu ne m’avais jamais dit que tu m’espionnais, dit-elle en fronçant les sourcils tout en camouflant un petit sourire de fierté.
─ Si c’est vraiment de l’espionnage que l’on parle ici, dit-il avec une voix enjôleuse, et si tu as bien suivi tes cours et j’en suis convaincu, alors tu dois savoir que l’on garde pour soi, même sous la torture.
─ Y a-t-il d’autres endroits que tu m’as… observé secrètement, sans que je ne te voie ?
─ Euh, je ne sais pas trop, dit-il qui semblait chercher dans ses souvenirs récents. Peut-être que… non, ça ne compte pas, puisque j’étais là avant ton arrivée…
─ Où ça ? s’empressa-t-elle de l’interrompre, visiblement intriguée.
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- On doit embarquer dans ce… bateau ? Zarya peu rassurée.
- Ce n’est certes pas la Pertuisane III, je dois l’admettre, répondit Tabatha, avec fierté. Cependant il est très fiable, tu peux me croire.
Zarya était persuadée du contraire. En apercevant deux matelots chaussés de bottes de caoutchouc amarrer le navire au quai d’embarquement, elle était prête à jurer que ce vieux rafiot à voile prenait l’eau. Plus qu’elle s’approchait et plus que le bateau semblait misérable.
-On va couler, j’en suis convaincue, chuchota-t-elle à Jonathan pour ne pas se faire entendre par Tabatha.
- Bah, je ne suis pas inquiet pour toi. Je sais avec certitude que tu nages très bien.
- Et qui t’as dit ce détail ? fit-elle surprise.
Il hésita quelques secondes en continuant évoluer progressivement parmi les personnes qui, deux par deux, se dirigèrent vers le navire.
-Je t’ai vu une fois ou deux à la piscine du Temple.
-Ah oui ?
-En fait, trois ou quatre fois, je ne sais plus, se confia-t-il, en camouflant un rire en coin.
Elle s’arrêta net de marcher, étonnée par cette confidence. Tabatha et un vieil homme, qui les suivaient de près, les heurtèrent de plein fouette. La jeune gothique ne se retourna même pas, trop médusée par les paroles révélatrices de Jonathan.
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nouvel extrait

Cylia se dirigea vers le couloir en s’installant à dix mètres des statues. Elle scruta les alentours pour être certaine qu’elle était seule, se concentra sur le bibelot puis le fit léviter de nouveau, mais cette fois lentement, vers l’extérieur de la Chambre. Dès l’instant que l’objet ensorcelé franchissait le seuil de la porte, un horrible craquement se fit entendre. L’adolescente, les yeux exorbités, constata que les multiples têtes des hydres s’étaient retournées vers le bibelot. Rapidement, Cylia repoussa l’objet à l’intérieur. Les deux monstres se rendormirent aussitôt au grand soulagement de l’adolescente.
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nouvel extrait

Quelques instants plus tard, alors que Phil montait les marches en sifflotant un air joyeux, une ombre était tapie derrière l’escalier en colimaçon et attendait patiemment que celui-ci soit rendu en haut pour enfin sortir de sa cachette. Ceci fait, l’adolescente au trait sévère se dirigeait, à pas feutré, vers la porte double de la Chambre des objets maléfiques avec un plan maléfique en tête. Cylia Ekin s’arrêta près des deux statues gigantesques endormies et les fixait de ses yeux malins en pensant à ce que Malphas lui avait dit antérieurement :

JP Goyette :)
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nouvel extrait

Alors que Zarya pénétra dans l’immense salle en terre battue, accompagnée de son groupe, elle remarqua un grand type au cheveu ébouriffé bleu au centre du terrain, en train de discuter avec la professeure Katyn Masanari. Contrairement à la première fois que la jeune gothique avait vu l’oncle d’Elliott dans le monde des druides-gaïens, celui-ci portait un pyjama jaune à rayures longitudinales rouge cerise et chaussé d’affreuses pantoufles de feutre grossièrement brodées. Mais aujourd’hui, il était vêtu d’un habit ample vert foncé portant un nœud papillon large et coloré. En se dirigeant vers l’une des chaises qui étaient installées pour le cours, elle aperçut Elliott fouillant dans une grosse valise près des tribunes.

JP Goyette :)
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(p. 197)

Deux hommes descendaient les marches étroites qui menaient au sous-sol d’une maison de campagne. L’un d’eux transportait un grand miroir, tandis que l’autre, visiblement très nerveux, s’essuyait le front avec la manche de son manteau noir. Rendus en bas de l’escalier de pierre, ils traversèrent une petite pièce convenablement meublée et s’arrêtèrent devant une porte solidement verrouillée.

— Crois-tu qu’il va venir ? demanda celui qui transpirait.

— J’en suis certain !

L’homme qui tenait le miroir rectangulaire au cadre d’or sculpté dans sa main droite étira son bras libre pour frapper à la porte, lorsque son compagnon l’interrompit de nouveau :

— Le patron sait ce qu’il fait, n’est-ce pas ?

— Sans aucun doute.

— Ça peut se révéler très dangereux ?

— Pas pour lui, répondit l’homme au miroir d’un air impatient. Mais ça pourrait l’être pour toi, si tu continues à me poser ces questions stupides. Allez, laisse-moi frapper à la porte.

L’autre obéit.

Une immense pièce, faiblement éclairée par des centaines de chandelles noires, apparut. À l’intérieur, des personnes vêtues d’un manteau noir de style monacal, avec de larges manches et un capuchon remonté sur la tête, gardaient un silence funèbre. Tandis que ses yeux s’habituaient à la pénombre, l’homme qui portait l’étrange miroir s’avança au centre de la pièce, où trônait un autel en pierre. Personne ne lui prêtait attention, à part l’homme qui se trouvait au centre.

— Vous avez une heure de retard ! grogna le chef du groupe, alias « l’inconnu du parc ». Finalement, je vois que vous avez réussi à mettre la main sur le Miroir des onirismes !

— Oui, patron, répondit l’homme en le déposant près de l’autel. Les agents de sécurité du musée ne se sont pas montrés très coopératifs... mais nous avons tout de même réussi à le prendre.

— Que Dieu ait leur âme ! ajouta le froussard en riant bêtement.

Le chef le regarda sans le moindre sourire et reporta son attention sur le miroir.

— Le voici, enfin ! s’exclama-t-il en s’avançant vers le mystérieux objet.

Sans le toucher, le mage noir leva un bras et dit d’une voix grave :

— Elevatio perpetualis !

Le miroir lévitait à présent au pied de l’autel de pierre. L’homme se tourna vers le groupe et déclara :

— Dans quelques minutes, il sera minuit. Notre hôte devrait bientôt nous honorer de sa présence. Je vous demande donc de bien vouloir retourner à votre place, mesdames et messieurs.

Sur ces paroles, les gens se placèrent comme prévu, avec une totale soumission, pendant que l’inconnu du parc s’allongeait nonchalamment sur l’autel, les deux bras de chaque côté du corps.

Les douze coups de minuit sonnèrent. Au même moment, une odeur de soufre se répandit dans la pièce.

— Ça sent mauvais, fit remarquer le trouillard.

— Tais-toi ! chuchota son compagnon en lui donnant un coup de coude dans les côtes. Il est ici, imbécile !

Tous se tournèrent et virent la silhouette d’une immonde bête de l’enfer qui faisait plus de deux mètres de hauteur et avait une longue queue dentelée. Un démon noir de pied en cap, avec des yeux globuleux blancs, regardant les humains présents d’un air indifférent. C’était Malphas ! Il était au fond de la pièce, flottant à la hauteur du plafond. Certaines personnes reculèrent instinctivement d’un pas, tellement la surprise était grande. Pour la plupart d’entre elles, c’était la première fois qu’elles voyaient de leurs propres yeux un démon d’aussi près. Quant au mage noir qui était couché sur l’autel, il le regardait avec contentement.
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(p. 194)

Quelques instants plus tard, le groupe d’amis se retrouva près de la rivière Argolide, à deux kilomètres à l’est du Temple des Maîtres Drakar. Ils étaient à la recherche d’un ingrédient puissant et primordial que madame Barsac n’avait pas dans sa boutique.

— Je crois que nous sommes arrivés, dit Olivier.

— Tu as raison ! Madame Barsac a mentionné ce gros rocher en forme de tête de troll, approuva Zarya en montrant du doigt le rocher près d’un gros arbre centenaire.

— Allons, les garçons, dit Karine, c’est à vous de jouer maintenant.

— Pardon ! lança Jeremy en regardant Olivier. Mais c’est votre compétition, les filles !

— Voyons, les garçons, dit Karine avec un sourire envoûtant, soyez gentlemen ! Vous ne voudriez certainement pas que nous éclaboussions nos beaux vêtements...

— Mais... mais..., balbutia Jeremy, qui ne pouvait résister au magnifique sourire de Karine.

— Je crois qu’on n’a pas vraiment le choix, dit Olivier en regardant Abbie, qui lui adressait un sourire tout aussi ensorceleur.

— Tu as raison, vieux.

D’un geste parfaitement synchronisé, les deux garçons roulèrent le bas de leur pantalon jusqu’à mi-cuisse et pénétrèrent dans une eau tiède et limpide.

— Et que doit-on chercher ? questionna Olivier en retroussant ses manches. Un petit poisson multicolore ?...

— Ou peut-être un coquillage blanc comme celui-ci, dit Jeremy, en prenant un dans sa main pour le leur montrer.

— Vous devez trouver un serpent médèsen des eaux, dit Élodie d’un air placide.

— QUOI ! lancèrent les garçons en regardant autour d’eux avec de grands yeux écarquillés.

— En fait, ce sera plus simple de vous laisser trouver par lui ! poursuivit Élodie d’un air malicieux en regardant son frère.

— On doit seulement lui soustraire son venin, spécifia Karine en leur montrant un petit pot de verre.

— Ne vous en faites pas, les gars, continua Élodie, son venin est très puissant certes, mais il n’est pas mortel. Il est juste un peu... paralysant...

— Paralysant ! s’exclama Jeremy. Alors là, tu me rassures !

— Mais si je peux vous donner un petit conseil, suggéra Élodie, le mieux serait de ne pas vous faire mordre.

— Ha ! Ha ! Tu es vraiment tordante, la sœur.

Jeremy et Olivier se postèrent dos à dos et restèrent aux aguets.

— Et à quoi ressemble ce serpent ? demanda Olivier, toujours concentré.

— Il est fait sur le long...

— Ne me dis pas que c’est un serpent fait sur le long ! l’interrompit ironiquement Jeremy.

— Oui, et il est rouge avec des taches jaunes sur le crâne si tu veux savoir, précisa Élodie.
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(p. 257)

Zarya s’avança d’un pas calme, en regardant du coin de l’oeil Jonathan, qui décroisa les bras en voyant la jeune fille en noir se détacher ainsi du groupe. Zarya était vêtue d’une robe noire qui descendait au genou et Jonathan admira ses magnifiques cheveux noirs et ses yeux perçants bleu électrique que, même à cette distance, il voyait briller. Le jeune homme était sous l’emprise d’une force qui lui était inconnue. Les battements de son coeur s’accélérèrent et il ne pouvait plus détacher son regard de Zarya. Celle-ci était à présent devant le cristal, sous le regard attentif de Gabriel et, surtout, de Jonathan, et elle attendait le signal du professeur pour commencer son test.

— Quand vous serez prête, mademoiselle Adams ! lui dit le professeur Razny.

Zarya prit une position confortable, bien ancrée au sol, un pied devant l’autre et les mains tendues devant elle. Elle effaça tout ce qui l’entourait et se concentra. Cependant, elle ne pouvait oublier la présence de Jonathan qui la surveillait attentivement, ce qui lui donna un regain d’énergie. Le cristal se mit à changer de couleur, commençant par le rouge, suivi rapidement par le bleu, puis le vert... et bientôt le jaune. C’est alors qu’un phénomène étrange se produisit... C’était déjà arrivé à la Récré-A-Thèque, alors que Zarya livrait son combat de psychiforce contre Devon Ekin: le Fortitudo. Ses cheveux se soulevèrent, comme si elle touchait un objet saturé d’électricité statique. « Le phénomène se répète », se dit Gabriel qui était maintenant debout. Les gens tout autour se demandaient ce qui se passait. Les cheveux de la jeune fille flottaient et, pourtant, il n’y avait pas le moindre courant d’air dans la salle. Jonathan avait avancé d’un pas pour mieux observer le phénomène avec ses yeux de mage. Gabriel et lui regardaient l’aura de Zarya qui était à présent trois fois plus grande que la normale. C’est alors que Zarya déploya toute sa force intérieure et le cristal, qui était toujours jaune, devint blanc: un blanc immaculé qui éclaira la pièce comme les rayons du soleil, sous les yeux ébahis d’Abbie et de ses amis. Zarya, qui était entrée en transe, poussa son pouvoir de concentration à son paroxysme. Un vrombissement sourd emplit la salle. C’est à ce moment-là que... crac ! le dragon de marbre qui tenait le cristal se fissura sur toute sa longueur. Le bruit fit sortir Zarya de sa transe...
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date : 31-05-2012
Victor a toussé et a expectoré un jet de salive teintée de rouge.
-Je sais que tu as reçus deux balles dans le buffet,
lui ai-je fait remarquer, mais c'est limite tue-l'amour de te voir cracher
du sang à tout bout de champ.
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Voici un petit extrait :

Aujourd’hui, alors que la pleine lune jeta une lueur crépusculaire sur la pyramide de ce lieu reculé, une fumée blanche à peine visible surgit de nulle part et, sur un léger « pop ! », un homme aux cheveux foncés et au visage redoutable en émergea. Les yeux noirs de Malphas regardaient les ruines du vieux village abandonné au milieu d’une forêt d’où les arbres étaient dénués de feuilles et d’une végétation complètement rabougrie et desséchée. Maintenant, il se dirigeait vers cette vieille construction qui devait sûrement être l’endroit où le chef du village résidait jadis. En gravissant les trois marches de pierre usées du bâtiment, son expression lugubre fit bientôt place à un sourire de satisfaction, tandis qu’il s’arrêtât devant deux grandes portes de métal, dont l’une tenait à peine sur ses gonds. En pénétrant, la vision du sinistre personnage mit quelques secondes à s’habituer à la pénombre du hall. Finalement, réalisant qu’il était trop obscur pour faire un pas de plus, il fouilla dans sa poche, sortit un petit cristal transparent qu’il frotta avec sa main et qui, aussitôt, se mit à éclairer. Il s’engagea dans un couloir étroit et humide en se laissant guider par le bruit des murmures qui se percuta sur les parois recouvertes de calcaire très fin leur donnant ainsi un aspect lisse. C’est alors que l’imposante silhouette de Malphas, vêtue d’une cape noire, s’immobilisa au pas de la porte, balayant du regard l’endroit couvert d’une antique poussière et aperçut une vaste pièce, d’où la lueur des torches révéla une trentaine de personnes assemblées, debout, autour d’une table de pierre.

JP Goyette :)

Une fois par deux mois, je vais vous donner un extrait :)
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