Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 956
Membres
1 014 489

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par clary-bouquineuse 2016-07-05T18:47:03+02:00

Mal : Une voiture sera là dans 15 min.

Anne : On va où ?

Mal : Surprise.

Anne : Je n’aime pas les surprises. On va où ?

Anne : Réponds ou je te ferai très mal pendant ton sommeil. J’ai besoin de savoir comment m’habiller, tout ça.

Mal : Reste nue.

Anne : … Essaie encore.

Mal : Resto en ville. Mets une jupe.

Mal : STP ?

Anne : Tes désirs sont des ordres.

Mal : Haha, j’aimerais bien !

Afficher en entier
Extrait ajouté par clary-bouquineuse 2016-07-05T18:40:35+02:00

Lorsqu’ils arrivèrent au refrain, je souriais tellement que j’en avais mal au visage. À la fin de la chanson, nous nous levâmes pour les applaudir. Jimmy fit une petite révérence en riant. Un petit groupe posté sur le côté de la scène nous lançait des regards noirs. Je n’avais pas la moindre idée de ce qu’il pouvait nous reprocher.

— Lui, c’est Adrian, le manager du groupe, et les autres sont des types de leur maison de disques, m’expliqua Evie d’une voix glaciale. Je te conseille de les éviter au maximum.

— Adrian est un connard, renchérit Lena en se rasseyant sur une des boîtes. Mais c’est un excellent manager.

C’était un homme d’âge mûr, qui portait une chemise élégante et une épaisse chaîne en or autour du cou.

— Il était là hier soir ?

— Non. (D’un petit geste nerveux, Evie ramena ses cheveux derrière ses épaules.) On ne s’entend pas, lui et moi. Il préférerait que le groupe se concentre sur la musique plutôt que de perdre du temps avec les filles.

— Ce n’est pas comme si ta relation avec David ne lui avait pas inspiré tout l’album, ironisai-je.

— Tout à fait d’accord. Il devrait me remercier ! répliqua Ev en riant. S’il te fait chier, parles-en à Mal. Il réglera le problème.

Afficher en entier
Extrait ajouté par clary-bouquineuse 2016-07-05T18:32:03+02:00

— Laisse tomber. Ignore-le, lui conseillai-je. Ben, sors d’ici.

Ce salopard remua les sourcils à mon attention.

— Tout de suite, ordonnai-je.

— Bien sûr, Anne. Pas de problème.

Il referma la porte en m’adressant un clin d’œil.

— Calme-toi, Mal. Le méchant monsieur est parti.

— Je suis calme, grinça-t-il en me tenant contre lui.

— Il plaisantait. C’était juste pour t’emmerder.

— Tu n’as pas vu la façon dont il te regardait ? Il était sérieux, ce con. (Mal me serra plus fort.) Ce petit merdeux est parfois pire que Jimmy. J’aurais dû lui casser la gueule.

— Et si tu mettais en sourdine l’homme des cavernes qui est en toi ? Tu es très agressif ce soir.

— Je n’aime pas que les gens disent des trucs sur toi. Tu n’as pas à subir ça.

— C’est très gentil de ta part, mais je n’ai pas besoin que tu te battes pour moi.

— C’est comme ça qu’on fonctionne depuis qu’on est gosses, tous les quatre.

D’une main, Mal remonta la fermeture de ma robe. Puis il me transperça d’un regard dur.

— Tu n’avais pas envie d’un plan à trois, si ?

— Généralement, je préfère un pénis à la fois. Ça fait partie de mes défauts.

— Parfait.

Afficher en entier
Extrait ajouté par clary-bouquineuse 2016-07-05T18:30:23+02:00

— Je n’approche jamais ma bite des gens qui sont méchants avec mes amis.

— Alors ta bite a bon goût.

Afficher en entier
Extrait ajouté par clary-bouquineuse 2016-07-05T18:10:33+02:00

Sa bouche planait au-dessus de la mienne. L’excitation tiraillait tout mon corps. Je n’allais rien faire pour l’arrêter. Rien du tout. J’étais vraiment nulle.

— Alors, déjà de l’eau dans le gaz ?

Jimmy Ferris arriva sur le balcon, un petit sourire méprisant aux lèvres – sa marque de fabrique. J’aurais pu l’embrasser pour son apparition providentielle. Sauf que c’était justement un baiser qui m’avait foutu dans cette merde.

— Tu cherches à semer Lena ? demanda Mal calmement.

Jimmy ramena ses cheveux en arrière. Son regard glissa sur moi avant de se poser sur les lumières de la ville. Si ça ce n’était pas une non-réponse, je n’en avais jamais vue.

— C’est ce que je pensais, ricana Mal. (Toute sa nervosité s’était évaporée. Ouf.) Tout va bien pour nous, mec, t’inquiète. On était en train de choisir les prénoms de nos futurs enfants. Anne veut que ce soit Malcolm Junior pour un garçon, mais j’ai refusé. C’est une mauvaise idée. Aucun enfant ne devrait être obligé de vivre dans l’ombre de son paternel.

— C’est très généreux de ta part, ironisa Jimmy.

— Tu trouves aussi ? Être parent, c’est savoir faire des sacrifices.

Mal glissa sa main sur ma nuque, frottant mes muscles douloureux.

— Détends-toi, m’ordonna-t-il. C’est mauvais pour le bébé.

— Je ne suis pas enceinte.

— Ah, merde, c’est vrai. On n’est pas censés le dire. Désolé, ma puce.

Il se donna une tape sur le front. J’aurais été heureuse de la lui infliger moi-même.

— T’inquiète, me rassura Jimmy. On est amis depuis qu’on est gosses. Je sais reconnaître quand il part dans un délire.

J’espérais qu’il disait vrai.

— On parle bébés ? lança David en nous rejoignant sur le balcon, sa femme dans une main et une bière dans l’autre, Ben sur leurs talons.

Le regard empli de fierté, Mal me caressa le ventre. Si j’avais des rondeurs, elles avaient plus de chances d’être dues à mon penchant pour les sucreries qu’à une quelconque activité destinée à la procréation.

— Je ne suis pas…, commençai-je.

— On n’a pas envie de le crier sur les toits, m’interrompit Mal. On ne voudrait surtout pas voler la vedette aux jeunes mariés.

— Vous n’avez pas perdu de temps, remarqua David en souriant.

— Mes petits gars sont d’excellents nageurs, répliqua Mal avec un clin d’œil.

— Vous ne pourriez pas être déjà au courant, tête de nœud. (Jimmy croisa les bras et s’appuya contre une des baies vitrées.) La science, ça te dit quelque chose ?

— Un vrai mec sait quand sa nana est en cloque, Jimbo. Tu ne peux pas comprendre.

— Un vrai mec, hein ?

Se redressant, Jimmy s’avança lentement vers Mal. Son sourire aurait effrayé un requin. Merde, ils souriaient tous les deux. D’où venait ce besoin bestial qu’éprouvaient les hommes de se battre pour s’amuser ?

— Pas de baston le soir de mon mariage, intervint Ev.

— Et les gifles, on peut ? rétorqua Mal, arquant son bras en direction de Jimmy.

— Arrête. (J’attrapai sa main, que je ramenai à mon côté avant qu’il ne cause des dégâts.) Et Jimmy a raison. Quarante-huit heures, c’est un peu tôt pour savoir. Non pas qu’on soit en train d’essayer, m’empressai-je d’ajouter.

Mal me lança un regard de chien battu.

— Je n’arrive pas à croire que vous vous liguiez contre moi. Ça me fait vraiment de la peine, Anne. Tu es bien placée pour savoir que ma semence est d’une qualité supérieure.

— Tu n’imagines pas combien de temps je pourrais tenir sans entendre parler de ton sperme, lâcha Ben en secouant la tête.

— Fais pas la gueule, mec. Je comprends que mon sperme dominant te donne le sentiment de ne pas être à la hauteur. Rien de plus naturel.

Jimmy se couvrit le visage et poussa un long gémissement.

— Vous auriez dû me laisser lui en coller une. Personne ne veut qu’on lui mette un peu de plomb dans le crâne ?

— Je me dévoue pour l’attacher, proposa Ben.

— Achevez-le, renchérit David.

Afficher en entier
Extrait ajouté par clary-bouquineuse 2016-07-05T18:05:45+02:00

Jimmy Ferris se tenait près de la cheminée. On aurait pu croire qu’un peintre l’avait placé là. Ce mec était une œuvre d’art vivante. Cheveux sombres coiffés en arrière, regard bleu soutenu, il était grand et fin comme son frère David, mais à la fois plus charmeur et plus dur. Plus intense, si c’était possible. Fréquenter Evie avait peut-être adouci David. En tout cas, le regard de Jimmy n’était pas celui d’un amoureux transi.

Les œillades noires qu’il jetait à la jeune femme postée près de lui étaient tout sauf amicales. Le nez en l’air, cette dernière l’ignorait superbement. Je doute que j’aurais réussi à feindre l’indifférence avec autant de conviction. Jimmy Ferris avait beaucoup de charisme. De nombreuses rumeurs circulaient sur ses activités depuis sa sortie de cure de désintoxication. Vu sa carrure, je parierais sur de la muscu. Ben était costaud, tendance bûcheron. Jimmy, lui, donnait l’impression d’avoir beaucoup transpiré pour arriver à ce résultat.

— Jimbo, lança Mal en me laissant de la place à côté de lui. Je te présente Anne, ma copine. Anne, voici Jim.

Jimmy m’adressa alors le même mouvement de menton que ses collègues. La poignée de mains secrète. Je l’imitai, et il me sourit. Un peu. Un sourire flottant.

Mal se pencha tout près de mon visage.

— Ah non. Pas le regard pervers. Il n’est que pour moi, celui-là. Ta théorie sur les chanteurs, c’est des conneries.

— Ravie de te rencontrer, Jimmy, déclarai-je, poussant mon prétendu petit ami sur le côté.

— Elle te fait encore son regard de psychopathe ? demanda Jimmy.

Les rock stars étaient vraiment des commères.

— Le désir n’a pas de date de péremption, Jimbo. Salut, Lena. Tu es magnifique.

Mal tendit sa main libre à la jeune femme. En un clin d’œil, l’attitude glaciale de cette dernière se réchauffa sensiblement. Bizarre…

— Mal. Comment vas-tu ? lui demanda-t-elle, serrant légèrement ses doigts avant d’avancer la main dans ma direction.

Ses cheveux bruns lui tombaient sur les épaules et des lunettes rouges extravagantes trônaient sur son nez.

— Tu dois être Anne. Enchantée. Mal m’a beaucoup parlé de toi.

— Ah oui ? fis-je en lui retournant son sourire.

— Il n’avait que ton nom à la bouche aujourd’hui pendant les répèt.

— C’est la femme de ma vie, soupira Mal en entourant mes épaules de son bras.

— Tu vois ? Tu es la femme de sa vie.

Lena m’adressa un sourire bienveillant. Manifestement, il n’y avait que Jimmy qu’elle détestait.

— Ou plutôt celle de sa semaine, railla Jimmy.

Avec un petit soupir, Lena tourna la tête vers lui. Il n’en fallut pas davantage.

— Désolé, c’était nul de dire ça, s’excusa-t-il avec un sourire las.

— Ma puce, Lena est ce qu’on appelle dans le business une « baby-sitter », m’expliqua Mal. Si tu es un gros con qui fait n’importe quoi, tu embauches une fille géniale comme Lena pour te suivre partout et s’assurer que tu ne ruines pas l’image de ta maison de disques.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Ivynea 2021-05-02T09:40:11+02:00

-Tu veux que je t'en pose, des limites ? Et si tu commençais par me foutre la paix ? Ça te cas, ça, comme limite ? Tout ça ne te regarde absolument pas, espèce de petit con prétentieux !

Il ouvrit la bouche pour répliquer mais je poursuivis sur ma lancée :

- Tu ne sais rien de moi et tu penses que tu peux débarquer comme ça et m'analyser pour t'amuser ? Eh bien non. Va te faire foutre.

Le silence se fit alors à l'intérieur. Un silence affreux, total. Les gens nous regardaient à travers les baies vitrées avec des drôles de têtes. La bouche de Lauren formait un "O" parfait.

- Merde, murmurai-je.

- Anne ?

Quelle mouche m'avais piqué ? Lauren m'invitait à une soirée sympa et je me défoulais sur un invité. L'heure était venue pour moi de disparaître.

- Lâche ma main, s'il te plais.

- Anne, regarde-moi.

Jamais.

- Allez, dans les yeux.

Doucement, à contrecoeur, je me tournai vers lui. Le plus lent des sourires Oural ses lèvres parfaites.

- C'était nickel, ça ! Je suis super fier de toi, putain !

- T'es dingue.

- Non.

- Si, t'es vraiment dingue.

- C'est ce que tu pense maintenant, mais prends le temps de réfléchir à ce que je t'ai dit.

Je me contentais de secouer la tête en silence.

- J'ai été ravi de faire ta connaissance, Anne. On va se revoir très vite, affirma-t-il.

Puis il déposa un baiser sur le dos de ma main, avant de la relâcher. Je distinguai une lueur dans son regard. Une lueur dont je n'avais aucune envie de connaître le sens. Et qui ne disais rien qui vaille.

- Je te promets, conclut-il.

Afficher en entier
Extrait ajouté par And95 2021-02-22T00:55:09+01:00

_ Bon. Allons-y.

_ Mmmh, oui. J'ai quelque chose dans mon pantalon que je voudrais te montrer. (Ses doigts maladroits commencèrent à triturer la ceinture de son jean.) Regarde, c'est très important.

Je lui pris la main et la serrai très fort.

_ C'est super. Tu me montreras à l'hotel, d'accord ?

_ D'accord, se résigna-t-il eb soupirant _ autour de lui, tout n'était qu'émanations de Whisky.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Melodie-26 2020-07-07T16:05:22+02:00

« - …T’as pas encore compris? C’était prédestiné, nous deux.

-Euh… (Je glissai mes mains sous mes cuisses. J’avais besoin de quelques instants pour absorber ses paroles.) C’est ce que tu as conclu pendant que tu m’attendais?

-Ouais… Regarde. C’était la merde, je t’ai rencontré chez Davie et Ev et tu m’as fait rire. J’ai eu envie de passer plus de temps avec toi, puis David m’a foutu dehors parce que j’avais vu un bout de sein de sa femme, alors j’ai dû, m’installer chez toi. J’ai eu envie de coucher avec toi mais on a cassé le lit en sautant dessus, alors tu as été obligée de squatter le canapé avec moi. J’avais envie qu’on fasse l’amour, mais comme tu t’emmerdais sur le chemin du retour tu m’as sauté dessus. Tu vois? Prédestiné.

J’éclatai de rire.

-Tout ça est très beau, mais je ne suis pas convaincue.

-C’est le destin, Anne. C’est écrit dans les étoiles. C’est comme ça.

-T’es dingue. »

Afficher en entier
Extrait ajouté par Melodie-26 2020-07-07T16:04:58+02:00

« Pourquoi les badboys avaient-ils cet effet-là sur les femmes?

Il fallait à tout prix trouver un remède. »

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode