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– Génial ! Alors, on dîne et on baise après ? Ou alors on baise et on dîne après ?
– Difficile pour une jeune fille simple comme moi de choisir entre deux offres si alléchantes.
On joue à pile ou face.
– Face tu me donnes ton choix, pile je choisis ton choix. C’est gagnant à tous les coups pour toi.
Il me fit un clin d’œil.
– Au passage, j’adore quand tu utilises « léchant » dans la conversation. Vilaine fille.
Afficher en entier– [...] Mais je ne vais pas te faire l’amour.
– Pourquoi pas ?
– Parce qu’il faut avant ça que je te baise de toutes mes forces jusqu’à avoir l’impression d’être une bête sauvage.
– Oh ! je veux bien ça aussi.
Il me souleva à nouveau, me poussant à passer mes jambes autour de sa taille, et se tourna vers le mur.
– On garde le lit pour quand on fera l’amour. Mais là, je vais te prendre contre le mur.
Afficher en entier– Tu sais, quand j’étais gamin, on avait de vrais joueurs de football. Ils portaient des casques en cuir et n’avaient pas de trêve de milieu de saison. C’est quoi, ces tapettes qui ont besoin d’une semaine de repos en plein milieu du championnat ?
– Quand tu étais gamin, ils inscrivaient le score au silex sur une plaque de granit.
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Delilah : Tu es bon avec les mots, mon ami.
Brody : Je suis bon avec la langue ? Quand vas-tu me donner la chance de te le montrer ?
Delilah : C'est tentant. Mais je pense que je préfère les hommes qui sont intéressé par plus que mes orifices.
Brody : Je bande juste parce que tu as utilisé le mot << orifice >> .
J'éclatai de rire. Le chauffeur me regarda dans le rétroviseur. Je lui montrai mon téléphone en guise d'explication. Mais il s'en foutait.
Deliah : Bonne nuit, Brody
Ce type était capable de me faire rire et de me coller le feu en même temps. Et j'adorais ça.
Brody : Rendez-vous dans tes rêves.
Aucun doute là-dessus...
Afficher en entier- J'aurais bien dit que c'était un plaisir de vous revoir, mais je n'aime pas mentir.
Easton sourit. Il avait l'air d'aimer mes invectives. Avant que je puisse partir, il m'attrapa la main.
Afficher en entierIl hocha la tête et s'approcha du canapé. Il me prit la main et me regarda dans les yeux.
- Je peux être exclusif avec toi. De toute façon, t'imaginer avec quelqu'un d'autre me rend complètement dingue. J'insiste sur l'exclusivité. Et nous allons sortir ensemble. Il va falloir que tu sois un peu patiente avec moi sur la question de relation. Il y a longtemps que je n'en ai pas eu une. Je vais probablement merder et t'emmerder, mais j'aimerais vraiment essayer.
Afficher en entierBrody Easton s''était insinué dans ma vie comme un ver dans un fruit et il m'avait apporté la paix. Un drôle de paradoxe...
Afficher en entierLes portes commençaient à se refermer. Brody lança sa main pour les maintenir ouvertes, se pencha et m'embrassa sur le joue. Sa bouche s'attarda un instant, puis il se pencha un peu plus avant de me murmurer à l'oreille :
- Je ne me fais pas confiance. Il faut que je maintienne un peu d'espace entre toi et moi. Sinon, notre amitié risque de ne pas bien se terminer.
Afficher en entier– Et pourquoi tu n’as rien dit ? Elle t’a pourri dans tous les médias.
– Je devais me sentir mal de l’avoir rejetée.
– Donc, tu n’as vraiment rien contre les femmes dans les vestiaires ?
– Je n’aime pas que toi tu t’y trouves.
Il m’attira à lui.
– Pourquoi ?
– Parce que la seule queue que j’ai envie que tu voies, c’est la mienne.
– C’est curieusement gentil, ce que tu viens de dire.
– Je suis un mec curieusement gentil. Maintenant, tais-toi et embrasse-moi.
J’étais assise sur lui, mon torse contre le sien.
– Je suis au-dessus de toi, là. Tu m’as dit que ce ne serait peut-être pas ta position favorite avec moi.
– On va s’en assurer.
Afficher en entier– Alors, on va la jouer comment cette fois-ci, Easton ?
– Vous avez pensé à moi, cette semaine, pendant que vous étiez à Boston ?
Je levai un sourcil.
– Je vois que vous vous tenez informé…
– Admettez que vous avez pensé à moi et je vous facilite la tâche aujourd’hui.
– Je suis prête pour l’interview et vos petits délires exhibitionnistes. Pas la peine de me rendre les choses plus faciles. Vous pouvez les rendre aussi dures que vous voulez.
Je fis un geste en direction de Nick pour qu’il commence à tourner.
Le visage d’Easton s’éclaira et il fit promptement tomber sa serviette à ses pieds.
Nous étions en direct :
– Bien. Félicitations pour cette nouvelle victoire. Et pour votre touchdown.
– Merci.
Je soutins son regard pendant quelques secondes, puis effrontément, baissai les yeux, scrutant sa virilité
avec insistance.
– Ça a été une course pour "très courte" . Une "dizaine de centimètres" , pas plus ?
– Oh non ! C’était beaucoup plus. Je dirais au moins "trente centimètres" .
– Je crois que "la statistique" exacte est bien de "dix centimètres" . Vous, les hommes avec vos exagérations de pêcheurs…, le réprimandai-je.
Le sourire narquois d’Easton devint moins narquois, tout à coup. Il paraissait même un peu offusqué.
Cela me fit plaisir. Visiblement, pas à lui.
– Expliquez-moi ce que vous avez changé au cours de la deuxième mi-temps ? Durant la première moitié du match, vous sembliez avoir des difficultés avec vos passes. Wren Jacobs a même fait échouer deux tentatives de passes à Daryl Breezy. Aviez-vous du mal à vous mettre "en train" ?
Les yeux d’Easton se rétrécirent :
– Non. Je n’ai eu aucun problème à me mettre en train ; j’avais juste un problème de protection. Le coach a fait quelques changements à la mi-temps, qui ont bouché les trous de ma défense. Une fois correctement "protégé" , je n’avais plus de problème pour "pénétrer leur défense" .
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