Un jour, un mot, une phrase, pour toujours: Mon cahier de vie
Auteur
- Armand Henderyckx (Écrivain)
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Classement en biblio - 2 lecteurs
extrait
Prends patience, ne sois pas trop dur envers toi-même, ce n’est facile pour personne. Rassure-toi, tu n’auras rien à étudier par cœur ni à comprendre. Il n’y aura ni de bons ni de mauvais points. À la fin, tu auras le plus beau des certificats, celui d’être allé jusqu’au bout. Pas de panique à bord, mets ton gilet et lance-toi à l’eau.
Nage aussi loin que tu le pourras et j’espère un jour t’apercevoir à nouveau. Te souviens-tu comment tu étais le soir au moment de te coucher ? Tu craignais la nuit et ses dangers possibles cachés dans le noir. En me lisant, certaines peurs peuvent remonter.
Chaque jour, tu découvriras un nouveau texte à lire. Parfois, tu découvriras également une page vide afin que tu puisses y écrire aussi les réflexions intimes qui semblent importantes à tes yeux.
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Je viens de terminer non pas le roman, mais le cahier de vie « Un jour, un mot, une phrase, pour toujours »
que nous propose Armand Henderyckx …
Ce cahier nous offre des citations profondes, des réflexions, des pistes de méditations, des axes de questionnements…Il aborde des thèmes très forts comme ceux de l’amour, de la séparation, de la mort, des addictions, des problèmes et des comportements liés à ceux de notre époque.
L’auteur a jugé bon de nous préciser lui même qu’« il n’était pas là pour nous faire la morale et encore moins pour nous apprendre à vivre », un « défaut » que l’on retrouve trop souvent dans les livres de développement personnel.
Et c’est vrai qu’à chaque page, j’ai plus eu le sentiment de retrouver un ami, un confident, quelqu’un qui me comprenait, qui m’encourageait, qui ne considérait pas mes faiblesses, mes difficultés comme des handicaps.
Ce cahier peut aider ceux qui le souhaitent à faire la paix avec leur enfant intérieur, à retrouver les joies simples de l’existence comme jouer dans les flaques d’eau, monter sur une table… à vivre intensément l’instant présent.
Si on se sent parfois un peu bousculé par certaines thématiques, on se sent beaucoup plus souvent écouté, aidé, soutenu, épaulé, réconforté, compris tant l’écriture est bienveillante...
Au fil de ce cahier il y a pour plus de 3 mois d’accompagnements, le but étant d’en lire une page par jour,
Bien sûr dans le cadre d’un service presse, je n’ai pas pu y consacrer personnellement autant de temps mais ce n’est que partie remise !
Ce cahier m’a déjà fait un bien fou, je vous le conseille vivement et peut être, un jour, qui sait, nous retrouverons nous ensemble à sauter dans les flaques d’eau ?
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Activité récente
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Résumé
Je ne suis qu'un vulgaire écriveur arrivé à l'âge de la retraite.
CHAQUE MATIN AU RÉVEIL, LE RIDEAU S’OUVRE
" Tout le talent de l’acteur consiste à faire éprouver aux spectateurs des émotions qu’il ne ressent pas lui-même. "
(Sacha Guitry)
Aujourd’hui, n’est-ce pas une belle journée pour vivre ?
Chaque matin au réveil, tu tournes une nouvelle page de ton histoire. À peine les yeux ouverts, voilà que le rideau s’écarte. Les projecteurs sont déjà tous allumés et les spectateurs s’impatientent. Il te reste une minute pour avaler une tasse de café. Aujourd’hui, ils sont revenus nombreux pour observer ton jeu d’acteur. Te montreras-tu à la hauteur du rôle que tu as choisi d’interpréter ? Deviendras-tu meilleur et plus aimant qu’hier ? La vie est un magnifique spectacle, certains se contentent de regarder et d’autres participent en te donnant la réplique. Que ta parole soit juste.
Je constate que tu t’arrêtes parfois de vivre pour observer d’un air triste les épisodes déjà tournés. Certes, tu as connu des fiascos dans ta carrière, mais pourquoi te plaindre de tes échecs ? Tu devrais, au contraire, les remercier d’avoir fait de toi ce que tu es devenu, un acteur pleinement conscient de sa place dans la société. Comme nous tous, tu n’as obtenu qu’un rôle secondaire. N’oublie pas que chacun d’entre nous est unique.
Chaque matin, au réveil, tu découvres tes nouvelles scènes de vie à tourner. Te voilà prêt à endosser un costume différent pour incarner ton personnage du jour. Je compte sur toi, fais en sorte que les autres se sentent importants et aimés. Tu as fini par comprendre que c’est en donnant que l’on reçoit. Ne regrette pas ton passé, c’est ici, et maintenant que tu tournes ton nouveau film. C’est le tien, montre que tu en es fier.
Le soir, à l’heure du coucher, c’est l’heure de retirer les bobines du film pour les regarder. Tu pourras ainsi analyser les séquences du jour dans lesquelles tu apparais et revoir les plans que tu as ratés. Te repasser la pellicule en accéléré te permettra peut-être demain de devenir meilleur qu’aujourd’hui.
La nuit, quand les lumières sont éteintes, je t’entends parfois sangloter dans ton lit. Je constate que tu regrettes certaines images du jour. Si cela t’arrive encore, demande pardon à la personne à qui tu as causé du chagrin. Va la trouver et parlez-en.
Contente-toi de ne regarder que les images d’aujourd’hui. Celles d’hier ont été envoyées aux archives du temps et le film de demain n’est pas encore tourné. Comment pourrais-tu les imaginer ? C’est peine perdue, la réalité est changeante à chaque instant !
Assume tes actes, si tu as commis des fautes, c’est à toi de les réparer et de demander pardon. Sur la balance de ta vie, ne scrute pas ton passé. Un jour, son poids t’apparaîtra plus lourd que celui de ton avenir restant. Tu ne peux vivre en parfait équilibre que si tu vis toujours au présent.
Prends soin de toi, tu le mérites. N’attends pas demain pour commencer à vivre. La vie c’est ici, et maintenant. Ne perds pas ton temps à espérer un jour meilleur. Fais d’aujourd’hui une journée magique. N’oublie pas d’épingler ces trois mots un peu partout dans ta demeure. Pourquoi ne pas en faire un mantra du cœur ?
SOIS HEUREUX MAINTENANT
Un jour, le réalisateur de notre film, criera : « Coupez, c’est dans la boîte. Éteignez les projecteurs. On rentre à la maison. »
Lors du premier confinement, une voix intérieure m'avait fait comprendre qu'il était l'heure pour moi de mettre tous mes mots sur papier. Et aussi étrange que cela puisse paraître, je n'ai jamais fait face à la leucosélidophobie. Je ne connais pas le syndrome de la page blanche.
Depuis, j'ai publié cinq romans et ce cahier de vie dont je vous livre un texte. L'idéal serait de n'en lire qu'un par jour pendant plus de trois mois.
Mes lectrices et mes lecteurs aiment ce que j'écris, le souci, c'est d'être auto-édité. Je manque de visibilité sur la toile et je suis absent des librairies. Vous pouvez m'aider en partageant de temps en temps mes publications.
Merci beaucoup.
Soyez heureux maintenant.
Un vulgaire écriveur.
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