Jean-Paul Nozière

Ce n'est pas que je n'ai pas aimé, c'est que c'est trop pessimiste.Serte les idées sont malheureusement vrai..Mais ce n'est pas pour ça qu'il faut inventer de pareille dystopie...Un livre trop triste et réaliste à mon gout.Par contre c'est très bien écrit !

:)

Une belle histoire d'intégration par la musique, ce langage universel qui établit un pont entre ceux que les différences séparent.

Encore une relecture de mon enfance, mais cette fois-ci, pas aussi plaisante.

Plus jeune, j'avais réellement apprécié ce livre. Et je n'arrive pas à comprendre comment.

Ce livre est lourd et lent. J'avais l'impression de ne jamais avancer.

Les personnages, eux, ne sont pas attachants. Au niveau de la construction du récit, le découpage des moments entre chaque personnage m'a complètement perdue.

Pour dire, je n'ai même pas réussi à finir ce livre alors qu'il est court.

1,5/5

Une succession de neuf nouvelles "écolo" qui donnent à réfléchir, même si elles ont plus de 15 ans, elles sont presque toutes encore d'actualité. La dernière est celle qui a le plus mal vieillie mais dans le bon sens, puisque les sacs plastiques ont quasiment tous disparus...

Ma nouvelle préférée est "Je suis la vigie et je crie " qui est glaçante et, malheureusement, toujours aussi vraie.

Ce livre décrit bien les problèmes écologiques actuels et dénonce bien comment les hommes sont entrain de donner le coup de grâce à notre belle planète... J'ai adoré, chaque nouvelle est réaliste et bien écrite avec un peu de suspense et d'humour ! Je recommande pour les avides d'écologie !

Une petite histoire pleine de rebondissements et qui nous tient en haleine, parfaite pour des enfants.

Une aventure d'amour et d'amitié qui a le goût de l'urgence, du changement et des adieux.

Pauline, Hicham et Thomas, 14 ans, vivent la fin d'une époque, celle de leurs vacances fin août, début septembre au bord du fleuve.

La descente en canadienne de la Loue leur apparaît alors comme la consécration d'une vieille promesse, la création d'un souvenir auquel se raccrocher pour surmonter leurs avenirs incertains ainsi qu'un cadre intime propre à la confession.

Parce que dans ce melting pot de religions et de milieux sociaux, tout le monde à ses soucis, plus ou moins inavouables, plus ou moins insurmontables. Eh oui ! Même la fille RAS (Rien à Signaler)...

En bref, une belle histoire jeunesse même si l'épilogue m'aura laissée sur ma fin.

Autant la couverture est très chouette, autant l'histoire l'est aussi terriblement. Une belle découverte avec ce cadeau que m'a envoyé Sylvie que je remercie vivement. J'ai encore ce récit en tête et je pense que je m'en souviendrais longtemps. C'est noir, triste et meurtrier à souhait!

Au golf du Val-des-Sources vit Victor Sanga dans la maison des pendus attenante au golf où il est chef jardinier. Marie, Joseph, Maxime et Tony font partis du personnel de ce golf. Marcus et Lucie vont être invité à loger avec Victor. Le trio d'un côté et le clan des 4 de l'autre dans le même espace! Victor a quelques secrets bien cachés et l'histoire va bien évidemment partir en vrille…

"Il était content que Marcus accepte. Le jeune homme serait une compagnie. Il en ferait un chasseur. Marcus était différent des autres. Aucun d'entre eux n'aurait pleuré en écoutant TransMongolia. Au contraire. Ils auraient ricané en pensant "de la musique de nègres"…

La première scène du récit va nous faire remonter le temps pour découvrir pourquoi Victor se trouve dans la cabane de chasse, mort. Les personnages sont hauts en couleur et atypiques. On découvre au fil de la lecture des révélations sur chacun. Une histoire à la fois triste, sombre où jalousie et vengeance ont leurs places aussi. J'ai beaucoup aimé découvrir ce roman et toujours sans lire le résumé en amont, le mystère est plus plaisant.

Ce livre est une pepit au debut je voulais juste le feuilleter et puis apres je l'ai pris et g adoré c trop triste.Spoiler(cliquez pour révéler)Jean alain et le policier me font trop de peine,je me dis que toute sa vie a changé en meme pas 5secondes c vrmt triste et vrai

Louis est un petit garçon comme les autres. Il vit dans une cité minière car son père est mineur. Il va à l'école, rend des menus services à Mme Jeanne qui tient un bar et sympathise avec les clients, dont un professeur de musique dit "Monsieur Doremi". Son existence est tranquille et ordinaire. Enfin, c'est ce qu'il pensait avant les dérives de la Seconde guerre mondiale. Fils de Hannah et d'Abraham, un couple venu de Pologne, il découvre qu'il est juif. Il ne sait rien de cette religion qui va le stigmatiser auprès des gens qu'il connaît. Le climat délétère de la période n'arrange rien. Louis côtoie les collaborateurs, les résistants, la Gestapo. Ses parents s'inquiètent de la situation générale. Ils craignent les nouvelles rétorsions contre les juifs et se sentent en danger. Louis voit les injustices, les différences. Son monde s'effondre. L'ouvrage est intéressant mais triste. Or, la réalité l'a bien été à l'époque. Dans tous les cas, le devoir de mémoire est respecté. Le jeune lecteur constate l'absurdité de cette guerre du passé et des motifs à la fois affreux et absurdes. J'ai bien aimé ce roman qui prend son titre du "Temps des cerises", la fameuse chanson de la mère de famille, qui sert d'alerte en cas de péril. En revanche, j'ai beaucoup moins apprécié la fin. On ne sait pas du tout ce que devient le héros. Le lecteur doit décider d'inventer selon son imagination et cela laisse sur la faim. C'est dommage parce que ça gâche le ressenti général.