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Linda Lê

Auteur

58 lecteurs

Activité et points forts

Thèmes principaux

ajouté par Lilou 2010-06-17T19:28:57+02:00

Biographie

Ecrivain viêtnamien

[Littérature étrangère]

Née en 1963

Fille d'un père ingénieur originaire du nord et d'une mère appartenant à une famille aisée naturalisée française, Linda Lê vit entourée de toute sa famille à Dalat. Mais très vite, toute cette petite tribu rejoint Saïgon en 1969 pour fuir la guerre. La jeune fille suit des études au lycée français et dévore Victor Hugo et Balzac. En 1977, elle s'exile en France, au Havre, avec sa mère, ses trois soeurs et sa grand-mère. En 1981, elle monte à Paris pleine d'ambition, suit les cours de khâgne au lycée Henri IV, puis s'inscrit à la Sorbonne. Solitaire, elle lit beaucoup et commence à écrire. Son premier roman, 'Un si tendre vampire' paraît en 1986 alors qu'elle est à peine âgée de vingt-trois ans. En 1992, 'Les Evangiles du crime' est unanimement salué par la presse pour son exceptionnelle originalité. En 1993, elle publie son cinquième roman 'Calomnies' et en 1995, 'Les Dits d'un idiot'. Plusieurs romans suivent dont 'Les Trois Parques' et 'Voix' qui paraissent en 1998, 'Lettre morte' en 1999 puis 'Le Complexe de Caliban' et 'Conte de l'amour Bifrons' en 2005. Elle signe en 2007 le roman 'In Memoriam'. Deux ans après, elle publie un recueil de textes critiques sur différents écrivains, 'Au fond de l'inconnu pour trouver du nouveau'. Riche d'une double culture, Linda Lê écrit dans un français exigeant, précis et économe jusque dans ses effets baroques.

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Note moyenne : 6.5/10
Nombre d'évaluations : 10

1 Citations 44 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Linda Lê

Sortie France/Français : 2016-01-07

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par Tandarica 2022-06-13T08:17:35+02:00
Un si tendre vampire

Phillipe Ledoux veut devenir écrivain. le vampire (cf. page 57 : « Il avait trouvé l'âme soeur, mais son âme soeur tenait du vampire ») c'est Louis de Lambre, l'imposteur qui transformera Phillipe en nègre. Il y a aussi Xavière Vincent, jeune fille en fleure d'à peine dix-sept ans et sa mère, veuve, Marthe, toutes les deux les proies du même vampire sentimental.

C'est un beau premier roman qui traite de l'ambivalence de l'écriture à la fois comme imposture romanesque et comme acte salvateur (cf. le journal intime, page 96).

Que dire de plus sans trop dévoiler ? Un style élégant et un ton ironique permettent de belles mises en abyme sur la création littéraire. Page 52 on peut lire ainsi : « Tout a été dit, il ne nous reste qu'à ressasser les refrains de quelques chansons tristes. Seuls les êtres et les intérêts, l'argent, l'amour et autres vétilles, qui les agitent, me bouleversent encore. »

Au détour de la page 64, je découvre un peintre que je ne connaissais pas : Gustave Caillebotte.

Même si mon roman préféré de Linda Lê reste « Les trois parques » j'ai encore passé un agréable moment en sa compagnie.

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Commentaire ajouté par Tandarica 2022-06-13T08:23:34+02:00
Chercheurs d'ombres

Invoquant des chercheurs d'ombres, Linda Lê nous invite, comme à son habitude, à fréquenter les salles obscures, ainsi qu'à lire et à relire des livres forts comme des alcools qui brûlent pour purifier. Cette fois-ci, le cinéma prend une part plus importante. J'ai ainsi revu grâce à elle "Une femme dangereuse" de Raoul Walsh, et toujours grâce à l'hommage qu'elle rend à Ida Lupino, je suis tombé(e) sur un artiste d'origine roumaine (vous vous imaginez quelle joie pour moi) Jean Negulesco, réalisateur, en 1948, de "La femme aux cigarettes" (Road House). Elle revient aussi sur Cioran dans "Le pouvoir de l'absence" (p.101-109), plus précisément sur une correspondance de celui-ci avec Constantin Noica, qu'elle confronte à "cinquième impossibilité" de Norman Manea. Des avis pertinents, motivés et illuminant les âmes chercheuses de bonheur dans la culture qui tranche dans le vif comme un bistouri.

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Commentaire ajouté par Tandarica 2022-06-13T08:40:29+02:00
Conte de l'amour bifrons

Lire ce conte, c'est accepter une mission bien précise: "va tu ne sais où et rapporte tu ne sais quoi". Pour ce faire, il est préférable de ne pas "redouter l'inconnu comme la peste" (p.11). Comme toutes les rencontres amoureuses, celle entre Ylane et Ivan est mémorable, cela d'autant plus que "c'était deux ans avant que nous la retrouvions en butte à la présence envahissante du cousin dévoreur de tripes" (p. 38).

Quoi de plus simple que de mettre en scène des personnages qui lisent pour écrire sur des livres? L'intertextualité marque cette oeuvre, comme nombre de livres de Linda Lê: l'une de ses formes est la célébration de la force rédemptrice du travail des traducteurs pour lesquels Linda Lê serait plutôt un modèle de vocabulaire et de finesse. S'agissant des noms, je ne citerai que les Oeuvres de Felisberto Hernandez, Osamu Dazai, ou Isidore Ducasse, comte de Lautréamont.

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Commentaire ajouté par Tandarica 2022-06-13T08:52:21+02:00
Fuir

Le narrateur sans nom de Linda Lê est un gredin de quarante ans qui raconte son passé tragique depuis sa naissance dans un pays étranger qu'il fuit ensuite pour cause de guerre pour se réfugier en France.

Renié par ses parents, il est accueilli par une tante sans-le-sou chez laquelle il grandit, plutôt mal jusqu'à ses dix-huit ans quand (pour une raison qu'il convient de ne pas dévoiler) il fuit vers le Sud. À vingt ans il fait un mariage de raison avec Tanh, la fille du Docteur (qui bien sûr n'est pas médecin, mais un personnage peu fréquentable).

Dans le présent de la narration, il est poursuivi (depuis un mois) par un Japonais, clochard attendrissant qui parle un français « recherché ». C'est un « vagabond au visage de moine et au corps de vermine » (p. 9) qui « traîn[e] cahin-caha deux valises lourdes » (p. 7).

Parmi les autres personnages (tous paumés, en fin de compte, tous à fuir) on peut encore nommer le Maître, un percepteur qui entra dans la vie du narrateur vers l'âge de douze ans, qui était « fragile comme une porcelaine en coquille d'oeuf » (p. 47) et aura une très mauvaise influence sur son élève, ainsi que Vinh, le frère de son épouse, qui finira dans un asile de fous.

Dans les meilleurs moments, le narrateur se qualifie de « bohème qui ne comprenait rien à la poésie de l'errance » (p. 149), mais la plupart du temps c'est en ces termes qu'il s'exprime : « je n'aimais pas la vie et elle me le rendait bien. Je rêvais de l'assassiner et elle m'avait tué. J'avais des arrière-pensées peu louables et elle m'avait condamné pour délit d'intention ». (p. 171)

Je ne vais pas dévoiler la fin : il faudra lire ce roman pour savoir ce qu'il arrive au Japonais et par voie de conséquence au narrateur.

Encore une fois, j'ai beaucoup aimé le style de Linda Lê.

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Marina Tsvétaïeva : Comment ça va la vie ?

Dans ce livre bref et passionnant, rappelant ceux de la collection Gallimard Découvertes, bien qu'en noir et blanc, vous pouvez découvrir, en plus du parcours de cette poétesse russe au destin tragique, devenu objet émouvant d'étude et d'admiration de Linda Lê, dans l'œuvre de laquelle elle est presque omniprésente, un fac-similé avec la calligraphie de cette dernière.

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Commentaire ajouté par Tandarica 2022-06-13T09:15:20+02:00
Solo

L'idéal c'est de se lancer dans la découverte de l'univers de Linda Lê, en commençant par ses derniers romans.

Ici, il s'agit d'un recueil de nouvelles écrit à l'âge de vingt-six ans et de son troisième livre après les romans Un si tendre vampire (que je viens seulement de commander : longtemps introuvable, car Linda Lê elle-même avait pris ses distances avec ses premiers écrits en les écartant même de sa bibliographie) et Fuir.

Dans Solo, les personnages sucent le sang de leurs proches ou se font sucer le sang par eux, mais restent des vampires au sens figuré. C'est surtout de SOLITUDE qu'il est question. Tous les personnages se caractérisent par cet état d'âme, particulièrement exacerbé dont le symbole évident reste la marionnette Solo (cf. la toute première nouvelle).

Il y a encore dans ce livre l'image du pays étranger, on le devine à mi-mot le Vietnam (dont Linda Lê est originaire), d'où la question du langage : le français, précis et à la limite de l'érudition (cela deviendra vite jubilatoire dans les livres suivants) contre le vietnamien qu'elle a abandonné et dans lequel elle a écrit des lettres maladroites et d'une politesse cérémonieuse à son père. Celui-ci, qu'elle pense avoir laissé mourir au Vietnam, la tourmente sans cesse.

Ces nouvelles sont brèves et regroupées en quatre parties aux titres révélateurs : Les doublures, Les complices, le soliste, Les revenants.

Linda Lê n'a eu de cesse de faire évoluer la précision de la langue qu'elle manie avec maestria et ses écrits sont pour moi d'indispensables nourritures livresques, à l'image de ce proverbe égyptien qu'elle cite ici, page 59 : « Je te nourris pour te former des rondeurs, mais tes os pointent vers moi et me font peur ».

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Commentaire ajouté par Tandarica 2022-06-13T09:42:16+02:00
Écrire, écrire, pourquoi ?

Pour ceux qui ne connaissent pas encore Linda Lê je conseille ce livre. C'est une brève rencontre de 2010 avec la romancière qui parle de son travail, de ses obsessions et de ses auteurs préférés, comme : Marina Ivanovna Tsvetaïeva, poétesse russe (1892-1941), Stig Dagerman, écrivain et journaliste suédois (1923-1954), Ingeborg Bachmann, poétesse, romancière et nouvelliste autrichienne (1926-1973) ou Georg Trakl, poète lyrique autrichien (1887-1914).

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Des écrivains à la bibliothèque de la Sorbonne, tome 4

Reçu, un peu en avance, en guise de cadeau pour la fête des mères, parce que je suis une inconditionnelle de Linda Lê.

Ce court ouvrage collectif, dont chaque texte est précédé par une (si belle !) photo de l'autrice ou de l'auteur, est un livre qu'on peut qualifier de livre de commande. En effet, « depuis 2017, la Maison des écrivains et de la littérature invite des autrices et des auteurs à jouer au « Livre en question », en écrivant un texte librement inspiré par la bibliothèque interuniversitaire de la Sorbonne (BIS) ».

Dans la préface, Laurence Bobis, rappelle la force de ces textes rédigés entre 2020 et 2021 : « Malgré les circonstances, ces cinq textes sont des messages d'espoir ou des invitations à ne pas désespérer. » (p. 8), tandis que Sylvie Gouttebaron, nous propose une définition ludique de la bibliothèque : « La bibliothèque est un jeu de patience, mais aussi un jeu de l'oie – sans puits ni prison –, une marelle, un labyrinthe (c'est connu) – sans autre destination ou issue que la satisfaction d'un désir de savoir, de connaître toujours recommencé, jamais exaucé –, tous jeux aussi tentants que le diable gisant dans chaque détail insoupçonné de ses méandres en relief, véritablement habités. » (p. 11)

C'est Linda Lê qui a eu l'honneur d'ouvrir le bal, avec « La langue de l'éternel questionnement » (pp. 15-30). Pour elle, les livres s'enchaînent les uns aux autres et elle extirpe de l'oubli et de la BIS, grâce à Iouri Tynianov, un certain Alexandre Griboïedov, auteur malheureux d'un pièce de théâtre intitulée « Le Malheur d'avoir trop d'esprit ». Linda Lê fait remarquer que : « Le fil qui relie Nadejda Mandelstam à Iouri Tynianov, puis à Pouchkine et à Griboïedov, c'est l'évocation des temps troublés. » (p. 25). Elle mentionne « à la BIS, deux thèses consacrées à Griboïedov, en 1907 et en 1965 » (p. 26). Selon elle, « Chez Griboïedov, la langue de l'éternel questionnement oscille entre le cynisme des uns et l'effacement des autres » (p. 29), car « il ne reste aux « purs » qu'à battre en retraite » (p. 28). Ainsi, pour elle, « La question demeure : le livre en question serait-il une énigme à résoudre, l'objet d'une enquête qui mène à un autre livre ? » (p. 30)

Arno Bertina, s'est penché (pp. 31-46), quant à lui, à la BIS, sur la question « Des tracts et des affiches ». D'entrée de jeu il affirme que : « Mondialement célèbre, ce lieu est éminemment labyrinthique, insaisissable » (p. 31), et constate que le rôle de conservation d'une bibliothèque est « d'opérer un tri drastique entre ce qui relève du savoir, de la culture et ce qui est pauvre, circonstanciel, non autorisé » (p. 34).

Muriel Pic, dédie son « Manicules (à la BIS) » à la mémoire de Jacques le Brun. Elle relate sa longue expérience de lectrice en s'intéressant notamment à l'ensemble des annotations et plus particulièrement aux stigmates laissés par certains lecteurs. Pour la définition des manicules on peut retenir le passage suivant : « La manicule est une petite main que dessinaient jadis les lecteurs sur les joues pâles des livres, à distance de l'axe vertical des textes qui va du blanc de tête au blanc de pied, et distribue les mots de gauche à droite sur toute la surface du rectangle d'empagement. C'est un geste de lecture pour indiquer ce qui a retenu l'attention, doit être gardé en mémoire ou sera commenté plus tard. La manicule est une trace en forme de petite main que l'on trouve dans les marges des manuscrits et des incunables à partir du neuvième siècle. Elle a l'index pointé sur une phrase articulée par une bouche imaginaire, dont les deux hémi-lèvres se touchent en forme d'arc de cupidon. Tout texte a son propre visage, ses propres mimiques, sa propre tache de naissance. Grâce à elle, on comprend qu'un livre a été pris en main. Un lecteur fait signe sur la surface diaphane du parchemin. Une motion intérieure affleure sur la peau animale, chèvre, mouton, veau » (pp. 50-51), tandis que pour les stigmates, on retiendra surtout ceci : « Il est remarquable que les ouvrages portant les marques de lecture les plus sauvages aient trait à des sujets politiquement délicats. C'est en tout cas le constat que l'on peut faire si on ouvre l'armoire des livres détérioré de la Sorbonne, sachant qu'il n'y a pas de limite à la fantaisie dans le domaine de la destruction des livres. le plus frappant a été pour moi d'y trouver l'ouvrage d'Annette Wieviorka littéralement dévoré sur les bords par je ne sais quel animal anonyme soudain doué d'une haine qu'ignorent en temps normal les bêtes » (pp. 87-88).

On se souviendra que les fantômes sont aussi des « revenants » avec le magnifique texte de Jean-Christophe Bailly (pp. 101-118).

Dans le dernier texte « Comme un cygne » (pp. 119-130), Jean-Marie Gleize nous parle de poésie, et plus amplement d'Alphonse de Lamartine.

La dernière phrase est sublime : « Il pourrait n'être pas absurde de dire qu'il s'agit, dans cette « Mort de Socrate », de quelque chose comme le suicide de la philosophie par absorption d'un poison qui n'est autre que le chant romantique, le chant des cygnes ou des signes, la très suave ciguë de l'harmonie poétique et religieuse. » (pp. 129-130)

Un court recueil donc avec des auteurs (à l'exception de Linda Lê) inconnus pour moi qui a été aussi l'occasion de garnir généreusement de futures listes de livres à lire. Un bel hommage à ce lieu d'exception qu'est la BIS !

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Commentaire ajouté par Tandarica 2022-06-13T10:07:16+02:00
Œuvres, Tome 1

Comment vous convaincre tout simplement de la nécessité de lire ces Oeuvres ? Je peux vous rappeler que Linda Lê signe un merveilleux texte de présentation, qui marque par sa justesse, que Romain Rolland lui-même a sauvé ces récits, que je peux vous garantir d'y trouver beaucoup de l'âme « roumaine » que je défends souvent ici. Finalement, les premières lignes de la note de l'éditeur le font mieux que moi : « Combien de lecteurs, même réputés cultivés, au nom de Panaït Istrati froncent un sourcil circonspect : oui, le nom en question leur dit quelque chose ; non, ils n'ont pas lu… Et si l'on se risque à leur assener qu'il s'agit là d'un grand écrivain français du vingtième siècle et même d'un des premiers génies de ce siècle tout court, ils prennent l'air de celui à qui on ne la fait pas et laissent dire… Alors, qu'ils lisent ! ».

Voilà pourquoi cette réédition s'imposait.

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Commentaire ajouté par Tandarica 2022-06-13T10:18:03+02:00
Œuvres, Tome 2

Ce second volume poursuit les récits d'Adrien Zograffi, peut-être s'agit-il du plus émouvant, le plus autobiographique. Voir en particulier "Mes départs" sur l'adolescence vagabonde du héros, de sa ville natale de Brăila, avec ce qu'on appellerait aujourd'hui ses petits boulots, jusqu'à son arrivée à Alexandrie. La suite : "Le pêcheur d'éponges", "La Maison Thüringer", "Le Bureau de placement" et "Méditerranée".

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Christian Bourgois : 13 livres

Pocket : 2 livres

Christian Bourgois Editeur : 2 livres

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