Sylvie Testud
Auteur
Activité et points forts
Thèmes principaux
Classement dans les bibliothèques
Quelques chiffres
Note moyenne : 6.79/10Nombre d'évaluations : 71
2 Citations 56 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
J’ai d’abord vu le film que j’ai adorée puis j’ai lu le livre. Et bien que j’aie préféré le film, j’ai passé un bon moment avec le livre
Avec ce roman l’autrice (actrice) nous raconte avec beaucoup d’humour, une histoire qui bien que précisée n’étant pas la sienne y ressemble fortement.
La plume de l’autrice est fluide, proche du langage parlé, pétillante et surtout très drôle.
En bref, j’ai passé un bon moment avec ce livre et je vous conseille de voir le film si vous ne l’avait pas vue et que vous avez apprécié le livre.
J’ai mis 3.5/5.
Afficher en entierUn roman qu'on ne lâche pas. Distrayant, pas prise de tête, simple et sans prétention. Ça fait du bien.
Afficher en entierJ’aime l’auteure en tant que comédienne et aujourd’hui je l’aime aussi en tant qu’écrivaine. Dans ce roman elle y raconte la vie, les petites bêtises qu’on fait enfant mais qui sont si touchantes. Gamines est un livre très touchant et rempli de douceur, ça fait du bien à l’âme ce genre de roman. Il y a juste ce qu’il faut de mélancolie et de nostalgie pour le rendre beau. L’histoire est simple, trois gamines, trois sœurs, dont le père les a abandonnées, cette histoire raconte cette absence, ce manque dans leurs vies et bien qu’elles soient très soudées, il y a toujours ce vide en elle, ce « il » qu’est leur papa. A l’âge adulte elles sont épanouies, elles vivent leurs vies sans lui, elles ont appris à grandir sans papa, jusqu’au jour où elles font sa connaissance, commence alors une histoire d’amour familiale.
Il y a une belle philosophie empreinte d’humour dans ce roman et c’est ce qui m’a le plus touché.
Afficher en entierCe livre a boulversé ma vie. Incontestablement. Comme si chaque mots faisait écho avec ma peine, Sylvie Testud à sublimement apaiser nos maux.
Afficher en entierAu début je me suis dis : cette histoire n'a rien à voir avec le résumé. Et puis au fur et à mesure des pages j'ai compris, et je me suis dis : l'auteur a tout compris et nous fait tout comprendre. Simplement beau, tragique à la fois, et touchant.
Afficher en entierGamines
Emouvant. C'est le premier mot qui m'est venu à l'esprit lorsque j'ai fini ce roman. Gamines c'est l'histoire de 3 soeurs : Corinne, Sybille et Georgette.Les 3 fillettes vivent avec leur mère, leur père étant parti lorsque Sybille n'avait que deux ans. Depuis tout le monde l'appelle "Il" avec la peur qu'il revienne un jour. Dans ce court roman écrit avec une écriture et des mots simples c'est Sybille qui nous conte leur histoire, de leur enfance à l'âge adulte. Une Sybille qui est la plus frondeuse de la fratrie et qui, bien souvent, pousse ses sœurs à aller de l'avant. Dans cette famille de femmes où la mère est d'origine italienne, entourée de la famille de celle-ci dont le frère qui tient son rôle de protecteur, on ne s'ennuie pas une seconde. Entre moments drôles et plus intimes nous apprenons à les connaître, surtout Sybille à laquelle je me suis attachée. Des phrases courtes, beaucoup de dialogues nous immerge dans leur quotidien. Malgré les mésententes, les incompréhensions, les batailles, on sent tout l'amour qui unit cette famille.
Je connaissais Sylvie Testud en tant qu'actrice, que j'aime beaucoup et avec ce roman je découvre l'autrice et sa plume. Un roman qui m'a touchée en plein coeur. Il y a une adaptation cinématographique que j'ai bien envie de voir.
Afficher en entierJ'ai abandonné la lecture au bout de 10 pages,les anecdotes le style ne m ont pas emballée ,mais parce que j aime beaucoup la personnalité de Sylvie Testud je continuerai cette lecture..un jour.. bonne actrice, piètre écrivain.
Afficher en entierEn dépit des bonnes intentions de ce recueil, j'ai trouvé cette compilation de lettres peu originale. De rares récits sortent vraiment de l'ordinaire, comme ceux de Sophie Blandinières, Rokhaya Diallo, Mathias Malzieu ou encore Thibaud de Montaigu, mais beaucoup demeurent hélas sans surprise ni grande émotion.
Afficher en entierpermet de découvrir l'auteur en dehors du cinéma
Afficher en entierj'ai décidé que je ne lirais que les lettres dont l'auteur m'intéressait. D'où une première fournée.
Albert Algoud, ancien prof, pour évoquer une coïncidence inattendue.
Jul (je ne sais pas qui c'est précisément), pour la meilleure des lettres que j'aurais lues dans cet ouvrage. Elle n'est pas construite puisque c'est une énumération, mais elle est tellement attachante et nous montre quelqu'un qui s'attache.
Plantu, pour ses planches vivifiantes.
Sylvie Testud : l'exposé sur le chewing-gum et ce prof inventif qui distribue, comme d'autres les remarques, des exposés à faire en 48 heures (c'était signifiant avant Internet).
Bernard Werber : lettre trop courte et trop auto-centrée.
J'en avais fini de mes choix, et me suis dit qu'il fallait faire un second round. D'où :
Charles Berling : gros bof.
Nicolas Beuglet : enfant, il lisait des livres dont vous êtes le héros !
Nicolas Mathieu : lettre pas vraiment passionnante.
Peut-être ferai-je bientôt un 3ème round, pour les auteurs qui suscitent le moins ma curiosité...
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Sylvie Testud
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Biographie
Sylvie Testud naît le 17 janvier 1971 à Lyon[1] dans une famille modeste d'origine italienne d'une mère comptable et d'un père qui les abandonne lorsqu'elle a deux ans. Elle passe son enfance et adolescence dans le quartier populaire lyonnais de la Croix-Rousse
En 1985, alors âgée de 14 ans, elle a une révélation pour le métier d'actrice en voyant Charlotte Gainsbourg dans son rôle de jeune fille complexée à laquelle elle s'identifie, dans le film L'Effrontée de Claude Miller. Elle prend alors des cours de théâtre à Lyon avec le comédien et metteur en scène Christian Taponard. En 1989, elle s'installe à Paris pour suivre des études d'histoire, ainsi que des cours d'art dramatique aux cours libres du Cours Florent, puis au Conservatoire national supérieur d'art dramatique pendant 3 ans, avec Jacques Lassalle et Catherine Hiegel pour professeurs.
Au début des années 1990, elle obtient ses premiers petits rôles au cinéma, puis des longs métrages comme L'Histoire du garçon qui voulait qu'on l'embrasse de Philippe Harel (1994), Le Plus bel âge..., de Didier Haudepin (1995) ou encore Love, etc. de Marion Vernoux (1996).
En 1997, Sylvie Testud connaît un premier grand succès au cinéma en Allemagne avec le film Au-delà du silence de Caroline Link, pour lequel elle apprend la langue allemande, la clarinette et la langue des signes. Elle est récompensée comme meilleure actrice aux Prix du Film allemand (l'équivalent allemand du César de la meilleure actrice). En 1998, elle joue son premier grand rôle au cinéma français et connaît son premier grand succès en France avec le rôle de Béa dans Karnaval, le premier long-métrage de Thomas Vincent, pour lequel elle est nommée au César du meilleur espoir féminin et reçoit le Prix Michel Simon. Elle commence alors une importante carrière d'actrice avec une préférence pour le cinéma d'auteur.
En 2000, sa prestation dans La Captive de Chantal Akerman (adaptation du roman La Prisonnière de Marcel Proust) lui vaut une nomination au prix de la meilleure actrice du Prix du cinéma européen. En 2001, elle obtient, pour sa deuxième nomination, le César du meilleur espoir féminin pour son interprétation biographique remarquable de Christine Papin, une des sœurs Papin, dans Les Blessures assassines de Jean-Pierre Denis, une histoire d'une jeune domestique qui souffre de psychose paranoïaque et qui avait défrayé la chronique en 1933 dans une affaire de meurtre de son employeuse avec la complicité de sa sœur Léa.
En 2003, Testud inaugure une carrière parallèle de romancière en publiant une biographie de sa vie d'actrice sous le titre Il n'y a pas beaucoup d'étoiles ce soir, aux éditions Pauvert.
En 2004, elle obtient un second César, cette fois celui de la meilleure actrice, ainsi que le Prix Lumière de la meilleure actrice et l'Étoile d'or du cinéma français pour le meilleur premier rôle féminin grâce à sa performance dans le film Stupeur et tremblements d'Alain Corneau, une adaptation du roman biographique éponyme de la romancière à succès Amélie Nothomb, où elle joue le rôle de cette dernière en proie aux difficultés et à la différence de culture entre le monde professionnel japonais et le monde occidental belge dont elle est originaire. Pour ce rôle, elle a dû apprendre ses répliques en japonais grâce à une méthode phonétique.
Le 15 février 2005, Sylvie Testud donne le jour à son fils Ruben.
Afficher en entier