Bryan Perro

Je me suis arrêtée au chapitre 65. Faut il préciser que j'ai beaucoup aimée ce livre, qui, pour moi, redonne un élan aux contes interdits.

Vraiment extraordinaire comme récit,j'ai beaucoup adoré se livre d'horreur avec ses scènes dure,violentes et sanglantes...j'ai également très apprécié la façon comment l'histoire était raconté et que le récit se déroulait. En plus le bouquin se lit assez rapidement et la compréhension du texte est facile à comprendre...en plus les personnages sont bien bâti et vraiment excellent,ils s'accorde très bien avec le scénario. Je conseil vraiment se conte interdits qui est juste trop excellent,qui m'a fait passer un bon moment de lecture à dévorer se roman.

J'ai beaucoup apprécié le livre "La bête du Gévaudan" de Bryan Perro, dans la collection Contes Interdits. Son style d'écriture est très original, mais après quelques chapitres, je me suis légèrement lassé. Le récit semblait suivre un même rythme malgré les atrocités qui y étaient décrites. Toutefois, à partir du chapitre 54, l'auteur m'a beaucoup surpris... C'est un livre qui m'à fait beaucoup réfléchir sur le comportement des gens et parfois même sourire

C'est le premier roman de Bryan Perro que j'ai lu et j'espère pas le dernier

C'est un coup de coeur pour moi !

Je n'attendais rien de particulier de ce livre mais lorsque j'ai su immédiatement que ça allait être un coup de coeur.

Ce livre change beaucoup de ce que je lis habituellement. Le protagoniste nous tutoie et casse le quatrième mur, nous implique dans l'histoire. De plus tout à une explication... vraiment tout, j'ai trouvé ça incroyable !

Les chapitres courts, l'écriture et la montée en puissance de l'horreur font que l'on dévore le livre (d'où le fait que je l'ai fini en deux jours).

De plus, on peut deviner certains noeuds de l'histoire juste en étant attentif à ce que nous raconte le narrateur, je n'avais jamais été autant tiraillée par l'impression d'avoir oublié un détail dans ma lecture auparavant.

Ce commentaire ne fait pas honneur au lire autant qu'il le devrait mais il est difficile de mettre des mots sur ce que j'ai ressenti sans spoiler. L'auteur s'amuse réellement avec le lecture en le faisant devenir acteur de l'histoire, une expérience que je n'oublierai jamais et qui place le livre en coup de coeur.

Âme sensible s'abstenir, ce livre est réservé à un public averti de plus de 18 ans comme tous les COntes Interdits mias si vus réunissez ces conditions, foncez... Arriverez-vous à lire le livre jusqu'au bout ? ;)

Je crois que je n'ai pas dévoré un contes interdits aussi vite depuis très longtemps.

Le rythme des chapitres courts et abrasifs font qu'on ne peut s'arrêter, on veut inévitablement lire la suite. La manière dont l'histoire est racontée, c'était comme des lettres unilatérales, j'ai adoré.

Ce que j'ai également fortement apprécié dans ce livre, c'est tous les clins d'oeil à des éléments de culture, de faits divers malheureusement macabres de la France et du point de vue de l'étranger. Sans vouloir spoiler, pour ceux qui apprécient les true crime etc, vous allez adorer toutes les références aux criminels et crimes qui ont marqué l'histoire française des faits divers.

Pour les personnes qui peuvent avoir du mal avec l'écriture québécoise mais veulent découvrir l'univers des contes interdits, celui-ci est une bonne entrée en matière.

L'écriture est particulière. On aime ou on aime pas. J'ai eu du mal au début, et puis j'étais lancée. Mais au bout d'un moment j'étais contente de le finir et que ca s'arrête. Je vois ce que l'auteur voulais faire, ce qu'il voulais procurer, mais chez moi ca n'as pas pris. Livre qui n'étais pas a la hauteur des autres. Pas assez de details malsain et glauques...

J’apprécie beaucoup la Légende de la Bête du Gévaudan et je suis partie avec l’idée que cette lecture serait plutôt sanglante, bestiale et sauvage … et j’ai été surprise ! Dans le bon sens clairement.

Ici le narrateur accompagne Kévin, un adolescent un peu maladroit, à la vie médiocre, un père alcoolique et une mère dépressive. On se pose un millier de questions sur l’identité du narrateur, et Kévin aussi d’ailleurs, qui vient jusqu’à douter de sa santé mentale. On retrouve ce côté sanglant, brutal, avec des détails propres aux Contes Interdits, mais que j’ai quand même trouvé moins hard que d’autres qui m’ont donné des hauts-de-coeurs. Ici, c’est surtout l’ambiance qui s’installe au fil du roman qui est pesante, intrigante : on veut savoir qui est cette fameuse Bête ! On se demande jusqu’où elle ira et j’ai fait facilement le lien avec l’horreur grandissante de la population du Gévaudan lors des attaques de 1764.

Autre détail qui m’a surprise, la durée des (nombreux) chapitres. Sur liseuse, chaque chapitre faisait 2 minutes, facilitant le “encore un chapitre et au lit”, mais au final je l’ai lu d’une traite en 2 heures.

J’ai trouvé le twist unique, je n’ai que très rarement vu cela et j’ai beaucoup aimé ne pas avoir l’explication/révélation bateau à laquelle on pourrait s’attendre sur un conte qui revisite ce mythe.

[chronique insta : apackofbooks]

J'ai bien aimé le concept plutôt original. Bien que cette interprétation de la bête du Gévaudan ne soit pas ma préférée, ce livre reste un bon moment de lecture à mon goût.

Pas habituée à ce style dans un conte interdit, c'est assez rafraichissant même si ça ne m'a pas permis de rentrer pleinement dans le récit. Ca a également rendu le personnage principal plat, sans me permettre de rentrer dans l'empathie.

Spoiler(cliquez pour révéler)C'est la bête qui nous parle, du moins elle parle à Kévin une grande partie de l'histoire, elle se déplace de corps en corps comme un parasite et jette son dévolu sur l'adolescent pour le corrompre. Il va d'abord tuer lentement son paternel, prendre de la drogue et aiguiser son agressivité. Tout se termine par une tentative de fusillade dans une crèche ; le "héros" meurt, tué par balle par la directrice, permettant à la bête de s'approprier l'âme du lecteur.

J’ai pas du tout aimé la plume de l’auteur. Les chapitres font 2 pages chacun et le point de vu est très particulier on dirait une bêtes qui parle dans la tête d’une personne s’appelant Kevin