Miyuki Eto
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Note moyenne : 7.4/10Nombre d'évaluations : 522
0 Citations 255 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Mouais, finalement, quand on lit des chapitres sur la persécutions, les tromperies et les vacheries de l'adolescence, la mienne a pas été si pire que ça finalement.
Afficher en entierJe sais si d'autres on remarqué, mais toutes les personnes qui font appel à la fille des enfers, c'est des femmes. Ça sonne pas une cloche?
Afficher en entierLa seule relation professeur à élève que j'ai jamais aimé, c'est celle fictive de Harry Potter et Severus Rogue.
Afficher en entierOuf, on a vraiment notre lot de débiles profondes. Une qui se fiche des conséquences d'un usage excessif du courrier des enfers, et une autre bête comme ses deux pieds avec les garçons.
Afficher en entierAouch, les choses dérapent vraiment dans ce quartier... Je l'ai toujours su. L'humanité est horrible.
Afficher en entierLa spirale de la haine ne se brisera malheureusement jamais, même sans la fille des enfers. Spoiler(cliquez pour révéler)e trouve juste un peu down que les méchants n'ont pas été punis comme il faut à la fin.
Afficher en entierJ'ai bien aimer sauf le tome 4, j'ai une grosse erreur d'impression dessus entre 2 histoire qui son exactement les même au début et à la fin, d'autre qui non pas de fin ou encore qui non pas de début 🤔
Quelqu'un a eu le même problème ? 🫤
Afficher en entierhttps://leslecturesdecyrlight.home.blog/2023/01/08/la-fille-des-enfers-t-1-miyuki-eto/
La Fille des Enfers peut être contactée via un site Internet accessible seulement à minuit. Elle conduira alors la personne désignée en Enfer, mais celle qui a souhaité vengeance y sera également menée à sa mort. Marché équitable ou non ?
Ce manga est apparemment un… shojo d’horreur ? C’est possible ? Parce que je dirais shojo, de très loin, et d’horreur… Ça se discute. D’accord, il est question de l’Enfer, d’une sorte de pacte avec le Diable, de vengeance, et il y a quelques scènes où les personnages se décomposent (très élégamment), mais on ne peut pas dire que ce soit effrayant.
Je dirais plutôt que c’est assommant. Ce tome se compose de cinq chapitres, ou plutôt devrais-je dire de la même histoire x5. On change les personnages, on change le thème, mais il n’empêche que l’intrigue est toujours la même. Une ingénue se retrouve confrontée / témoin d’une vile injustice, elle entend parler de la Fille des Enfers, elle pactise, et bim, la vengeance s’opère.
Et bien sûr, on a des victimes très très gentilles, et des antagonistes très très méchants. Pas de nuances, pas de profondeur, rien. Dès la deuxième historiette, j’étais lassée. Le modèle ne dévie absolument pas. On aurait pourtant pu se focaliser sur le point de vue d’Enma, sur le fait que, malgré la contrepartie qu’elle impose aux pactisants, elle a à cœur de faire régner la justice, mais non, c’est juste sous-entendu.
Je regrette d’avoir acheté trois tomes d’un coup (heureusement, c’était de l’occasion…). Peut-être que le schéma variera-t-il un peu par la suite, mais je n’ai pas grand espoir. En l’état, passez votre chemin ou essayez l’anime, il paraît qu’il est mieux.
Afficher en entierhttps://leslecturesdecyrlight.home.blog/2023/01/12/la-fille-des-enfers-t-2-miyuki-eto/
La Fille des Enfers est de retour dans ce deuxième tome pour accomplir de nouvelles vengeances. Pour la contacter, le principe est toujours le même : se connecter à minuit précise sur son site Internet, et inscrire le nom de la personne que l’on souhaite condamner. Le prix à payer ? Sa propre damnation.
Rien de nouveau sous le soleil, si ce n’est que de subtiles variations et changements d’angle sont à relever dans ce tome, en comparaison du premier où les histoires étaient littéralement les mêmes. Ces infimes différences ne sauvent cependant pas le manga de la redondance.
On a déjà plus que fait le tour du sujet, et son traitement, même s’il évolue un peu, n’en demeure pas moins inintéressant, en plus d’être discutable. Je m’interroge notamment sur la pertinence de faire appel à la Fille des Enfers dans le chapitre sur le patinage, quand il y avait, je pense, moyen de régler le problème autrement, sans en arriver à une telle extrémité.
La seule historiette qui se démarque, légèrement moins manichéenne et mieux construite que les autres, c’est la dernière, celle qui est basée sur un épisode de l’anime.
Ce qui me conforte dans ce que j’avais écrit précédemment. Je n’ai pas vu l’anime, mais j’ai lu des commentaires qui le prétendent meilleur que le manga, et ce constat m’incite à le croire sur parole. De toute façon, difficile de faire plus ennuyeux et répétitif (et c’est une fille qui aime les dessins animés de type magical girl qui dit ça !)
Ne perdez pas votre temps avec cette lecture. Il me reste un tome dans ma PAL, que je lirai dans les prochains jours, juste histoire d’en finir au plus vite et de laisser La Fille des Enfers derrière moi.
Afficher en entierhttps://leslecturesdecyrlight.home.blog/2023/01/14/la-fille-des-enfers-t-3-miyuki-eto/
La Fille des Enfers poursuit son sinistre office dans le troisième tome du manga. Dès qu’une personne entre un nom sur le site du Courrier des Enfers à minuit précise, Enma accomplit sa vengeance et emporte la victime, mais à une condition : deux tombes pour une malédiction.
Sans grand suspens, on prend la même intrigue et on recommence. Ou presque. Je dois reconnaître que le dernier chapitre est un peu plus intéressant que les précédents, puisqu’il révèle le passé d’Enma, même si cela sort un peu de nulle part. Pourquoi ses sbires iraient-ils raconter son histoire à une humaine lambda ?
Pire, ce récit change la vision que j’avais d’elle. Jusque-là, je pensais qu’elle se réjouissait secrètement d’avoir l’occasion de faire régner la justice à sa manière, mais c’est en réalité la haine qui semble guider ses actes et la consumer, ce que je n’aurais pas soupçonné avant ce passage.
Pour le reste, eh bien, on retrouve les méchants très très méchants et les gentils très très gentils habituels. C’est extrêmement manichéen, et si j’en crois les commentaires de la mangaka, l’œuvre a en plus dû être édulcorée par rapport à l’anime pour des raisons de publication. C’était bien la peine d’en faire une adaptation…
J’aurais aimé, ne serait-ce qu’une fois, voir un personnage malveillant expédier un(e) rival(e) en Enfer pour s’en débarrasser, mais non, ce sont toujours les antagonistes qui payent. Idem, j’aurais apprécié de découvrir le sort des pactisants à leur mort, ce qui les attend une fois auprès de ceux qu’ils ont damnés, mais ça demandait peut-être un peu trop d’inventivité…
À moins que ce ne soit pour plus tard, mais si tel est le cas, je n’en saurai rien, car il est hors de question que j’aille plus loin. Je n’aurais même pas dépassé le tome 1 si je n’avais pas eu les deux suivants dans ma PAL. Passez votre chemin, sauf à vouloir vous plonger dans un manga répétitif au possible.
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Biographie
Miyuki Etô, son anniversaire est le 3 juillet, elle est du signe du Cancer. Elle est originaire de la préfecture d'Hiroshima. Sa carrière débute en 1998, avec la publication dans Nakayoshi Haruyasumi Land de son histoire courte, Lila no Hanakotoba (Le sens caché du lilas en langage des fleurs), second prix du 25ème concours des jeunes talents du magazine Nakayoshi. Ses séries les plus connues sont Jigoku Shôjo (La Fille des Enfers) et Celebrate !
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