Nicolas Gogol

Cette nouvelle fait penser à un conte. Ça n'est pas désagréable à lire.

Ce pauvre Akaki n'a vraiment pas de chance. Il ne lui arrive que des crasses. En plus il est la victime des railleries de ses collègues. On a pitié de lui.

Cette nouvelle fait un peu penser à "La petite marchande d'allumettes" de Hans Christian Andersen.

Je recommande cette nouvelle, elle est très rapidement à lire et elle permet de découvrir la littérature russe.

Nouvelle fantastique assez burlesque.

L'intrigue est simple et mystérieuse.

On se demande où est passé ce nez.

Le major Kovialov est pédant, ça lui fait les pieds de perdre son nez. Il perd de l'importance. Il a une fonction importante et on le "sent".

Je recommande cette nouvelle, elle est drôle dans tous les sens du terme, elle est bizarre et elle prête à sourire.

Encore une bonne découverte de la littérature russe.

Akaki Akakievitch Bashmachkin est un bureaucrate dans la plus pure acception du terme. Il ne se contente pas de la médiocrité, il s’y complaît et même, il y excelle. Pourtant, un jour, il devra, à son corps défendant, acquérir un nouveau manteau et cette entreprise va bouleverser sa vie.

Entre tragique et comique, une nouvelle tout à la fois touchante et surprenante. On s’attache bien vite à ce petit fonctionnaire ancré dans ses habitudes! Je n’aurais jamais pensé à lire une nouvelle russe du XIXème siècle sans les hasards d’un challenge littéraire et j’aurais bien eu tort!

Enfin lu du Gogol. La première histoire est complètement "folle". Mais j'ai apprécié cette histoire du journal d'un fou. Intéressant que ce roi d'Espagne et on peut y retrouver des situations de nos jours (ah la bureaucratie). J'ai beaucoup aimé "le portrait" qui fait penser au portrait de Dorian Gray par certains aspects. On vit la peinture de l'artiste. Quant à le perspective Nevski, un super démarrage mais ça retombe vite comme un soufflé sorti du four.

Un livre exceptionnel...! Vous n en lirez pas d autres comme celui-ci !

Une etude des moeurs russes édifiantes, mordantes, acerbes, tragi-comiques...

Un thèmes inédits : l achat d'âmes mortes...un héros charismatique à la diable...

Un seul regrets que l auteur n'ait pu le terminer.

À découvrir absolument.

Lu en septembre dernier, et seulement la première nouvelle : Le journal d'un fou.

Un court récit mais intense. L'on assiste à une graduation dans la folie du protagoniste, à mesure qu'il sombre dans l'obsession et les hallucinations.

J'ai lu cette nouvelle parce que je voulais m'initier à la littérature russe. J'ai apprécié l'écriture qui est très particulière et prenante. Malgré le vieil âge du récit, les situations sont toujours burlesques et assez drôles. Aussi, même si l'histoire peut paraitre bien absurde et dérisoire, on peut facilement voir qu'elle a été intelligemment écrite.

Je ne serais pas honnête si je n'avouais pas que c'est le nom de l'auteur qui m'a donnée envie de lire cette nouvelle. Plus que l'histoire de la nouvelle elle-même. Et faut dire que j'ai découvert un très beau texte et une envie de découvrir de nouvelles œuvres de ce monsieur.

C'est une histoire qui aurait tendance à faire sourire. Entre le titre puis le résumé qui vient accentuer le propos. Mais c'est un texte puissant avec une profondeur émouvante.

Ce texte offre une plongée fascinante dans l'esprit tourmenté d'un homme ordinaire, emporté dans les méandres de la folie. À travers le journal intime de Poprichtchine, nous sommes témoins de sa descente aux enfers, de sa passion dévorante jusqu'à sa perte de contact avec la réalité. L'écriture habile de l'auteur donne vie à ses hallucinations les plus étranges, nous plongeant dans un univers où la frontière entre rêve et réalité s'estompe peu à peu. Une exploration captivante de la psyché humaine et de ses sombres abysses, qui captive et trouble jusqu'à la dernière page.