Commentaires de livres faits par Ajcerise
Extraits de livres par Ajcerise
Commentaires de livres appréciés par Ajcerise
Extraits de livres appréciés par Ajcerise
Ce que tu veux faire de ta vie... c'est toi qui décides ! (p.117)
Mais tout ça n'a pas de sens !
Pourquoi veulent-ils toujours se distinguer du reste de la population ? Pourquoi s'acharnent-ils à marquer leur différence avec des gens comme ceux qui sont ici ? (p.176)
Normandie 1985
— Carburant ? OK
Pas de tir ? Clear
Réacteurs : OK
Rétrofusée ? On est bons !!
Astronautes ? Ready !
Tree... Tou... Ouane... Fire !
Haaaaaaaaaaaaaaaaaa ! aaAaaaaAAAAH !
— Ho !
Aaaah ! Bam !
— Mon dieu mais Thomas ! Qu'est-ce que...
— C'est rien, M'man.
— ?
— J'ai dû atterrir en manuel.
Luca : "Ma toi, tou as 12 ans et t'as une bonné tronche d'ingénieur en un trouc chiant... Genre ingénieur boulon."
- Ça dépend, ça varie entre -120 et 150 ° C.
Le matin, t'as deux choix pour continuer à rêver...
Soit tu te lèves et tu réalises tes rêves.
Sauf si ton rêve, c'est de dormir. Alors là, ouais ça marche, j'avoue.
- Je suis astronaute, si je peux pas un peu me la péter quand je suis à la NASA... j'vois pas l'intérêt...
Pour l'instant, vous avez des relations de maître et d'apprentie... mais toi, tu es issue d'une famille aristocratique et en tant qu'aristocrate, tu auras sûrement des opportunités que lui n'a pas...
Et Léo ne veut surtout pas limiter le champ des possibles qui s'offrira à toi.
Alors... si tu trouves un chemin plus rapide pour arriver à tes fins... ne te crois pas obligée de rester au près de lui.
Tu peux choisir une autre voie... c'est ce qu'il a voulu te dire l'autre jour... (p.167)
- Il n'y a que toi... Cette gamine, elle n'est là que pour le mouvement. Elle s'agite, elle parle... Mais je ne la regarde pas.
- Te voilà un peintre moderne, tu n'as plus besoin de regarder ? Il faudrait peut-être te laisser faire par l’inattendu.
- Mais la pose ?
- Ce n'est pas important, la pose. J'ai besoin de vous. Je vous vois. Je vois vos bras, vos seins. Je vois tout. Si vous bougez, la lumière balaie votre corps et je sens le frémissement de la vie qui irradie toute la pièce. Une grande intimité naît ce ces moments-là.
Et un monstre qui pourrait me bouffer pendant mon sommeil...
Ma vie et mon esprit ne savent que choisir.
Ma petite sirène qui nage vers la mort.
Tu vas redevenir écume, salée comme une larme...
Un père doit aimer ses enfants.
Peut-être étais-tu sa préférée...
Tes frères et sœurs se baigneront dans ton souvenir.
Et moi, je boirais mes larmes, pensant qu'elles sont toi.
Les voyous _ Mes pieds sont collés !
Ouf... c'était juste une sale blague...
Théo _ C'est de la colle à prise rapide, la spécialité du patron!
et pour ajouter un peu de piquant...
Voilà mes bombes au tabasco !
Les voyous _ J'en ai dans les yeux !
Aïe ! ça brûle !
Mes lectures m'emmenaient à la découverte de dragons qui n'aimaient pas les légumes, de poissons qui volaient dans les airs, de cavernes scintillantes remplies de trésors...
J'explorais des mondes inconnus !
[...] Mais j'ai grandi
et tout a changé...
c'est qu'à force de lire en permanence...
Mes yeux voient moins bien qu'avant.
- Tu vois ? C'est bien là le cœur du sujet, Rhina. Nous sommes en guerre. Tes chevaliers dragons, il en meurt tous les jours. Alors, le sort de Saraï.
- Vous ne comprenez pas... Majesté. Saraï n'a pas été tuée en combat ou lors d'un naufrage. Elle a été enlevée et jetée au harem. Ce n'est qu'une victime, une seule d'accord. Mais il en suffit d'une. Les chevaliers dragons sont fortes, elles sont entraînées, c'est vrai. Mais ce ne sont que des femmes.
- Que des femmes !? Rhina !
- Oui, que des femmes ! Et des vierges, qui plus est ! De petits groupes de femmes obligées de voyager seules dans des régions hostiles. Et quelle est la seule chose qui empêche les bandits, les seigneurs de guerre, les soldats en vadrouille, les passants ... d'attaquer ces petits groupes de femmes et de les violer ? Une seule chose. La peur, Majesté. Oh, et aussi le respect qu'impose l'Ordre des chevaliers dragons, bien sûr. Sa mystique... Mais surtout la peur d'épouvantables représailles. Si ces représailles ne viennent jamais... si cette mystique est brisée... s'il est possible d'enlever et des violer une de mes guerrières, même une seule, sans qu'un terrible châtiment s'abatte... Alors c'en est fini de l'Ordre des chevaliers dragons.
En fait, je viens de réaliser qu'ici, chez elle, personne ne lui prête attention. (p.52-53)