Alejo Carpentier
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Note moyenne : 6.11/10Nombre d'évaluations : 19
0 Citations 7 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Concert baroque offre de très belles descriptions sur la musique. Cependant, il y a parfois des anachronismes importants et le texte est confus. Il faut vraiment faire attention à ne pas confondre les personnages. Sinon, c'est un texte bien écrit, et qui fait peu de pages.
Afficher en entierDescubrí este título al visitar un museo en Baracoa, Cuba. Estando en frente de Hispañola (Haïti y Santo Domingo), Baracoa padeció de la huida de los esclavos y de sus dueño franceses en 1804 cuando la isla se convirtio en la primera república independiente con población negra. En este tiempo Cuba era colonia española y Haiti colonia francesa.
No será el primer libro de Carpentier que leeré. El primer fue "El reino de este mundo"
Afficher en entierEn espagnol "Los pasos perdidos"
Afficher en entierUn bon roman historique que j'ai lu et étudié pour en faire un exposé à la fac. C'est assez intéressant de voir la Révolution Française d'un point de vue qu'on n'a peu l'habitude et avec des personnages peu connus. Cependant, j'ai trouvé ce roman long à lire...
Afficher en entierConcert Baroque est un roman historique qui se déroule voici 300 ans. Il narre les péripéties de Vivaldi et de ses compagnons. Dans la plupart des romans historiques tous les personnages "vivent" à la même époque. Ici ils appartiennent bizarrement à des époques différentes ; Vivaldi, par exemple a bien vécu au moment des faits évoqués dans le récit mais Igor Stravinski a vécu, lui, au cours du siècle dernier. Alejo Carpentier fait partie de cette tradition d'écrivains, issue du "Nouveau Roman", qui cherche à déranger le lecteur, à le faire participer à son histoire. Ce livre, conçu comme un puzzle, compte sur la coopération et l'imagination du lecteur pour donner au récit un contour logique. En multipliant les anachronismes, l'auteur apparaît peu soucieux, de surcroît, de la chronologie, ce qui perturbe encore davantage le lecteur habitué au "réalisme" des romans historiques mais en fait, malgré les efforts de lecture qu'elle nécessite, une œuvre réellement originale et intéressante. Ajoutons que ce livre est à conseiller aux amateurs de musique classique.
Afficher en entierC'est un livre que j'ai lu dans le cadre de mes études et non par plaisir ce qui explique peut-être déjà en partie le fait que je ne l'ai pas apprécié puisqu'il ne s'agit pas du tout de mon genre de prédilection.
C'est une histoire assez particulière avec des références qui ne nous sont pas forcement familières.
Le style ne m'a pas vraiment plu à cause de l'aspect alambiquée et complexe.
Je ne recommanderai pas ce roman sauf si vous vous intéresser au réel-merveilleux, à l'histoire et au vaudou.
Afficher en entierOn parle de Alejo Carpentier ici :
2017-01-20T17:18:36+01:00
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Dédicaces de Alejo Carpentier
et autres évènements
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Editeurs
Gallimard : 17 livres
Alianza : 6 livres
AKAL : 4 livres
SIGLO XXI : 4 livres
Losada : 3 livres
Lectorum Publications : 3 livres
Booket : 2 livres
Penguin Books Ltd : 1 livre
Biographie
Nationalité : Cuba
Né(e) à : Lausanne , le 26/12/1904
Mort(e) à : Paris , le 2412/1980
Biographie :
un écrivain cubain, romancier, essayiste, musicologue, il a profondément influencé la littérature latino-américaine durant son fameux “boom”.
L'oeuvre de Alejo Carpentier est très marquée par les événements historiques (révolution haïtienne, les Antilles à l'époque révolutionnaire, la conquête espagnole, la répression cubaine dans les années 50). Le réalisme historique dans ces textes est en permanence transcendé par la magie que véhicule un style poétique, riche en métaphores et profondément original.
Il avait 12 ans quand sa famille s'est installée à Paris. C'est là qu'il commence à étudier la musicologie.
Quand ils retournent s'installer à Cuba, Alejo Carpentier commence des études d'architecte, qu'il ne terminera pas. Il se consacre au journalisme, mais son engagement à gauche lui vaut un séjour en prison (1928 ), sous la présidence de Gerardo Machado, avant de l'obliger à s'exiler en France.
De retour à Cuba en 1939 , il poursuit une carrière de journaliste et de chroniqueur de radio .
En 1943, il fait un séjour en Haïti.
En 1945 il s'installe à Caracas ( Vénézuéla ) où il vivra jusqu'en 1959. Il retourne alors à Cuba.
En 1970, Carpentier est nommé Attaché culturel de l'ambassade de Cuba à Paris.
Il reçoit différent prix littéraire : le Prix mondial Cino Del Duca (1975), le Prix Cervantes (1977) et le Prix Médicis (1979).
La fin de sa vie est marquée par une lutte contre le cancer.
Après sa mort, son corps est transféré à Cuba, où il est enterré dans le Cimetière Colón de la Havane. Ses funérailles sont célébrées le 28 avril, en présence du président Fidel Castro