Commentaires sur ses livres

Une excellente suite de l'empire de l'atome. Une science fiction d'après guerre essentiellement tourné vers les conséquences de l'explosion nucléaire cruellement d'actualité à cette époque. Mais l'auteur voit plus loin et nous emmène dans des aventures futurs extravagantes avec bonheur car il possède cette qualité de plonger ses lecteurs au coeur de l'histoire et de ne l'en faire sortir qu'à la fin.

Au delà du roman de science-fiction mi policier mi aventure, cet ouvrage propose une remise en question de la pensée via l'image et la lecture,joli paradoxe pour un texte mais une présentation en règle de la sémantique, sciences toute neuve de l'époque.En effet chaque chapitre est précédé d'un axiome se rapportant à l'histoire en cours. Un magnifique ouvrage ,une lecture qui remet en perspective beaucoup d'affirmations, un classique, une oeuvre à part

Malgré une vision désuète et un environnement dépassé un thriller science fiction monté en poupée russe. J'ai beaucoup aimé.

Après sa publication ce livre est vite devenu un classique de la science fiction américaine. A.E. Van Vogt nous montre qu'il est nécessaire parfois de réfléchir à plusieurs pour résoudre un probléme.

Peut on vivre dans l'anarchie et l'anarchie peut elle est régie par des machines. Va t on pouvoir faire face à l'ennemi venu de l'espace ?

Je me suis laissé tenter car en ouvrant cette ouvrage, j'ai vu que le traducteur était Boris Vian, et bien je n'ai pas eu tord.

Ce premier tome du Cycle non-A explore la sémantique générale, étude réel d'un scientifique polonais Alfred Korzybski, cette science ce veut une analyse réel du langage, en rupture avec les analyse communément enseignées par notre culture aristotélicienne.

j'aurais du mal à cibler où à reformuler l'intrigue de ce livre. Pourtant, j'y suis resté plongé du début à la fin. Dans un style tout à fait extraordinaire, Van Vogt m'a ouvert au monde de la science-fiction.

Je termine "La fin du non-A".
Et je termine le cycle des aventures de Gilbert Gosseyn.
Dans cet ultime roman, le héros est fatigué. Il erre d'un bout à l'autre de la galaxie pour résoudre une crise dont il est l'involontaire instigateur.
Il s'accroche à son enseignement non-arestitotélicien, mais on sent bien au fil des pages qu'il peut être submergé par des réactions purement thalamiques.
Pourtant la lecture est captivante. Ira-t-il au bout de ses questions? À vous de lire...

Ok, le début est pas mal : si le personnage est détestable, c'est très réussi et l'intrigue débute bien.

C'est prenant, amusant, intéressant... Et puis vers le milieu du livre, ça part en vrille vers des choses improbables et peu explicites (pourquoi Kroog en veut tant à la mère, pourquoi Steven d'un coup parvient à faire ce qu'il veut...).

Bref, ça devient tiré par les cheveux et on a la désagréable impression que c'est écrit vite fait, à la va comme je te pousse. Il arrive qu'on passe du coq à l'âne, soit pour ne pas s'encombrer d'explication, soit parce que l'auteur revenait à son livre sans se souvenir où il en était ?

Et puis sur 220 pages format poche, entre les pages blanches et les demi-page blanche uniquement destinées au numéro de chapitre, on perd environ 37 pages avec de temps en temps juste une ligne sur la page de droite pour clore un chapitre... C'est dire si ça donne l'impression de remplissage, parfois...


Par exemple :

Spoiler(cliquez pour révéler)

on est censé enquêter auprès des domestiques sur la présence de la bombe, hop, oublié ; pourquoi ont-ils mis Mark Boehm dans le corps de Masters sur un radeau après l'avoir trimballé sur toute la planète, on ne le saura jamais ; qu'est devenu Utgers après avoir intégré le corps de Stéphanie, mystère ; et Stéphanie, qu'est-ce qu'elle devient, on sait pas ; pourquoi la Mère est-elle bloquée si tous les mittendiens restent sur Mittend, on s'en tape ; d'un coup, les enfants de Kroog viennent sur terre, WTF ; pourquoi la Mère qui a 889 femmes parfaites veut choisir un père défaillant, aucune idée ; d'où est-ce qu'ils maîtrisent des milliers de planètes en ayant 889 enfants par an, on s'en fiche ; pourquoi Kroog veut tuer le futur géniteur et qu'est-ce que ça peut lui apporter, on ne saura jamais...

Bref, plein de choses posées à l'arrache, sans réponse ni intérêt.

Je n'ai pas mis une super mauvaise note parce que le début est sympa mais passé le milieu, c'est nawak...

Ce livre écrit dans les années 1950, a été pour moi une révélation.
Il m'a donné le goût de la SF.
Adolescent, j'étais fasciné par une telle inventivité.
Je l'ai redécouvert très récemment et la magie ne s'est pas estompé.
L'histoire en bref est celle d'un immense vaisseau spatial terrien "Le Fureteur" qui explore les espaces intersidérals.
Il va être confronté à plusieurs formes de vie extra-terrestres (des félins, des êtres dont l'intelligence est collective, des monstres qui paraît-il aurait influencé le film "Alien" et des extra-terrestres composés de gaz).
Ce magnifique roman de SF (Space opéra) était au départ composé de nouvelles (comme les Jack Vance) par exemple.
Mais comme (Vance toujours), le tout est très cohérent.
Le héros "Elliot" propose une théorie avant-gardiste qui ne fait pas l'unanimité chez ses confrères.
Ce livre se lit comme un polar et n'a pas tellement vieillit.
Je le conseille vivement comme une première approche de la SF.
Adanson Marco.

J’ai évalué à 10 parce que je considère la série dans son ensemble. Mais je me rappelle avoir trouvé des faiblesses au troisième tome. Mais comme c’est seulement une impression, il faudrait qu’un joue je le relise. Si on considère les trois tomes, c’est le plus fascinant et le plus achevé des romans de la science-fiction classique. Ce roman m’a obsédée, j’en ai rêvé et j’enviais l’imagination de l’auteur. J’ai lu ce livre il y a fort longtemps mais je reste convaincue que c’était un chef d’œuvre

Je dois avouer avoir été déçue par ce livre. Je m'attendais peut-être à quelque chose de plus trépidant, de plus enthousiamant... je ne sais pas.
J'ai eu beaucoup de mal à m'attacher ou d'identifier aux personnages sur le début et ce n'est que vers la fin que j'ai vraiment réussi à entrer dans l'histoire.

J'ai bien aimé malgré que ce fût un peu compliquer à tout comprendre par moment.
Certains termes utilisés sont un peu veillot mais en même temps le livre date et Ā l'epoque il n'y avait pas toute notre technologie, cela n'enlève rien à la qualité de l'histoire ni Ā son intérêt qui se trouve ailleurs, plutôt du côté de la réflexion sur la conscience de l'homme.

C’est certainement une de mes sciences-fictions préférées
J’aime beaucoup tout l'univers développé dans ce livre, la réflexion de l’auteur rend ce livre unique.
C’est un classique, SF intelligente, des personnages mystérieux et des événements surprenants, de faux souvenirs, des retournements de situations et des intrigues prenantes, suspense total ... bref, de quoi me captiver.
Une excellente aventure qui nous embarque très vite et très loin. L'un des meilleurs romans de Science Fiction que j'ai lu jusqu'à présent.. la trilogie du monde des ã apporte une réflexion philosophique incontournable
Un autre livre que j’aimerais relire.

L'auteur m'a enchantée encore une fois ! L'auteur fait preuve d'humour et livre des histoires simples plutôt pleines d'anti-héros que de véritables héros.

Petite rectification, Van Vogt ne sortait pas d'une longue traversée du désert au moment de la parution de ce livre, il travaillait simplement à compiler ses œuvres.
Pour cet ouvrage, il a repris des nouvelles écrites entre 1943 et 1946, parues dans un périodiques de l'époque, ayant le même personnage central et signé de la main de sa femme !