Célia Flaux

Belle découverte !

Avec Porcelâme, vous entrerez dans un univers fantastique où se mêlent un lien avec les dieux et un système asiatique basé sur des clans où chacun apporte au Royaume des compétences particulières.

Sur ce premier tome, l'accent est mis sur le clan du Kirin située sur la montagne sacrée. Des guides aident les pèlerins des autres clans à traverser la montagne afin d'éprouver son courage mais aussi sa sagesse.

C'est dans ce contexte que l'on fait connaissance de Tomoé, guide, Gintaro, spécialiste en Porcelâme et Kiyoshi, guerrier. Tous trois se retrouvent bien malgré eux mêlés à un complot qui les dépasse.

Une intrigue et un univers envoutant que je recommande !

Vivement la suite !

J'ai été très vite immergé dans l'univers d'inspiration orientale de ce livre. Les paysages sont empreints de beauté et pleins de dangers : en haute montagne, les erreurs ne pardonnent pas, et des vies humaines peuvent facilement être broyées par les pierres de la montagne. Par ailleurs, nous découvrons au fil de ce livre des luttes de pouvoir et des tensions entre différents clans, différents stratagèmes (alliances, révoltes...) pour accroître son pouvoir et, au milieu de toutes ces intrigues, des jeunes qui cheminent pour s'affranchir de leurs propres limites et de leurs peurs. J'ai particulièrement apprécié le personnage de Tomoe, qui fait preuve d'une grande résilience et d'une capacité de réflexion qui lui permettent de cheminer vers sa liberté; j'ai aussi apprécié le cheminement de Kiyoshi, et en particulier sa relation avec son maître Izumi. L'écriture, très fluide, pousse à dévorer les pages. Difficile de s'arrêter une fois le livre entamé.

Au cœur d'un Japon ancestral divisé en l'honneur des cinq animaux sacrés, chacun voit son âme représenté sous la forme d'une statuette. Cette Porcelâme exprime l'état d'esprit de la personne dans la vie comme dans la mort. La paix déjà fragile de l'Empire est mise à rude épreuve lorsque la Porcelâme de la défunte princesse Kaede s'assombrit, rongée par un mystérieux mal.

Entre intrigues politiques et folklore nippon, on suit les traces de Tomoe, Kiyoshi et Gintaro, trois jeunes gens pris dans la tumulte qui agite leur pays...

Sans dire d'avoir eu un énorme coup de coeur, j'ai passé un bon moment de lecture ! Parfait pour les adeptes de la culture nippone.

Dans "le Chant du Phoenix", le focus est mis sur le clan du phoenix.

L'Empereur souhaite toujours assoir son autorité sur l'ensemble du royaume au détriment des cinq autres clans.

Pour se faire, il profite de la faiblesse du clan du Phoenix qui n'a plus d'Incarnation. Chihiro, moine aveugle servant le Phoenix, est mandaté pour trouver l'Incarnation. Il pense l'avoir trouvée en la personne de Aïko refugiée chez son amie Tomoé. Aïko n'accepte pas sa nouvelle situation et craint les pouvoirs qu'elle développe.

Le chemin est grand avant de pouvoir atteindre le palais de dame Hitomi tout en évitant les sbires de l'Empereur et en déjouant les tentatives d'assassinat par les opposants du retour de l'Incarnation.

Une intrigue dense, très riche, où on a le plaisir de retrouver certains personnages du premier tome et apprécier leur évolution.

Il reste encore bien des mystères à lever. Suite au prochain tome.

J'ai commencé à lire se roman sous la recommandation de booktubeuse et bookstagrameuse.

L'histoire est vraiment très original et bien développé, malgré tout on ne rentre pas tant que ça dans les détails de l'univers dans lequel on évolue. Mais pour ma part ça ne ma pas dérangé.

Les personnages sont bien décrit et ont un passé qui leur est propre. La plume de l'auteure est agréable et les pages se tournent rapidement.

Concernant l'ambiance victorienne j'ai adoré !

Le retournement de situation dans le chapitre 5 ou 6 (je ne sais plus), ma totalement prit de cours, je ne m'y attendais pas et d'une certaine façon j'ai été un peu déçu. A contrario je comprend le choix de l'auteure et la suite des evennements est en concordance avec le retournement de situation.

La fin ma laissé sans voix et j'ai vraiment aimé cette conclusion.

Par contre la fin est un peu rapide pour ma part, Mais le roman était sympa.

Les Porcelâmes sont de petites figurines qui reflètent l'âme de leur propriétaire. Lorsque celle de la fille assassinée de l'Empereur est en mauvaise posture, un jeune expert en Porcelâme et un ronin sont chargés de suivre la voie du Kirin pour comprendre ce qui lui arrive.

Un roman qui m'a bien plu car j'ai aimé l'idée originale des figurines qui montrent l'état d'esprit de leurs possesseurs.

Aussi j'ai aimé que les animaux sacrés puissent s'incarner dans les personnages. Nous n'avions pas simplement des dieux inanimés que les personnages prient, et cela donnait une dimension fantastique au roman.

Au niveau des protagonistes, ils étaient attachants. Leur évolution était progressive et il y avait plusieurs messages notamment sur le fait de trouver sa voie, que j'ai trouvé bien insérés dans l'intrigue.

Seul petit point noir, j'ai trouvé que la montée le long de la voie du Kirin était un petit peu longue. Mais en même temps ça changeait un peu des intrigues classiques.

🎎

Enfin l'univers japonisant était bien construit et immerge totalement le lecteur.

Je lirai donc la suite avec plaisir. Toutefois même s'il s'agit d'un tome 1, il peut se lire comme un one-shot.

Quand j'ai commencé cette dystopie, ma première impression "voilà une autrice qui veut surfer sur la vague covid, confinement, restrictions des libertés " pour publier un livre. Et bien non, il a été publié avant !!!

J'ai beaucoup aimé l'univers du cirque.

Par contre, j'ai trouvé l'intrigue, l'écriture assez simpliste.

Le cirque interdit - Célia Flaux

Livre que je qualifierais de gentil, probablement très adapté à un public vraiment plus jeune.

Le scénario est extrêmement classique, mais reste une histoire sympathique, d’autant plus pour quelqu’un découvrant la lecture.

Le personnage de Maria est un peu insupportable, mais apporte des thématiques intéressantes sur le traumatisme, et est contrebalancée par Mathieu qui est tout choupinou.

Quand au sujet global, il est passionnant, bien qu’esquissé de façon un peu simple et peu nuancée, dans un manichéisme un peu trop prononcé, mais il peut être une bonne base pour ouvrir sur des réflexions plus poussées.

Il me tardait de découvrir ce roman, en m'immergeant dans son univers inspiré du Japon, tout en poésie et élégance. La plume de Célia Flaux est habile comme l'aiguille d'une brodeuse aguerrie et dépeint un monde riche, tantôt chatoyant, parfois dangereux, toujours onirique.

Les personnages, tous très attachants et hauts en couleur, m'ont tout de suite happée, de même que l'intrigue qui démarre très vite : pas le temps de s'ennuyer ! (Ce qui est important pour moi, qui ai tendance à vite décrocher de mes lectures.)

J'ai particulièrement apprécié de suivre les péripéties et les thèmes qu'affrontent Tomoë, la mystérieuse héroïne de cette histoire, et ses compagnons de voyage. En achevant ma lecture, j'étais à la fois comblée et un peu triste de dire au-revoir à ceux qui étaient un peu devenus une bande de copains (ce qui, maintenant que j'y pense, me fait le même effet qu'après avoir lu du Bottero). J'ai tellement aimé que je me suis empressée d'acquérir le tome 2, et à mon avis il ne restera pas longtemps sur ma PAL !

🔥 J'ai lu le tome 1 de la formidable trilogie Porcelâme de Célia Flaux l'été dernier, et j'avais été transportée par son atmosphère onirique, ses paysages montagneux, dangereux et beaux à la fois, et surtout la quête identitaire de son personnage principal, la jeune Tomoe.

🔥 Pour le tome 2, changement de décor ! L'histoire nous fait suivre cette fois-ci une amie de Tomoe, Aïko, qui se retrouve plongée malgré elle dans des jeux de pouvoir sordides. Si j'ai été un peu triste de m'éloigner de ma chouchoute, j'ai fini par apprécier cette nouvelle héroïne, pourtant bien différente. Effacée, manquant beaucoup d'assurance, releguée au rang d'enfant par les hommes et les matriarches qui l'entourent, réduite à l'état d'une petite sotte au joli minois… le développement d'Aïko est très prenant et j'ai apprécié la voir évoluer, grandir, gagner en confiance, jusqu'à s'épanouir pleinement dans un univers pourtant hostile. Son histoire prouve une fois de plus que la véritable bravoure ne nécessite pas de savoir manier le sabre.

🔥 J'ai aussi trouvé très intéressant que ce tome explore plus en profondeur la condition de la femme noble dans cet univers : monnaie d'échange lors d'alliances par mariage, mères pour produire des héritiers (pour le clan Dragon du moins), et calomniées pour leur désobéissance si elles ne se soumettent pas à ce qu'on attend d'elles. Autant vous dire que j'ai aimé, aussi, voir comment Aïko allait peu à peu s'affranchir de ces barrières.

🔥 En plus de cette nouvelle héroïne tome-ci nous fait rencontrer d'autres personnages, notamment Chihiro, un prêtre aveugle qui accompagnera Aïko tout au long de son périple. J'avoue que j'ai tout de suite aimé son humeur bougonne, et la façon dont il perçoit le monde à travers ses autres sens. Avec Aïko en fine musicienne, l'histoire est très mélodieuse.

🔥 Gros coup de coeur pour ladeuxième partie du livre, que j'ai dévoré en quelques heures ! Les intrigues au palais du clan Phénix sont très réussies, avec une petite ambiance huis clos à la Agatha Christie. Un tome très différent du premier, donc, mais tout aussi prenant. La suite sort dans quelques jours, j'ai hâte de savoir comment tout ça va se conclure…