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Toutes les séries de Chuck Palahniuk

3 livres
502 lecteurs

Laisse-moi te parler de Tyler. Tyler dit : les choses que tu possèdes finissent toujours par te posséder. C'est seulement après avoir tout perdu que tu es libre de faire ce dont tu as envie. Le fight club t'offre cette liberté.

La 1ère règle du fight club est : on ne parle pas du fight club.

La 2ème règle du fight club est : on ne parle pas du fight club.

3ème règle du fight club : si quelqu’un crie stop, s’écroule ou n'en peut plus, le combat est terminé.

4ème règle : deux hommes par combat.

5ème règle : un seul combat à la fois.

6ème règle : pas de chemise, ni chaussures.

7ème règle : les combats durent aussi longtemps que nécessaire.

et 8ème et dernière règle : si c’est votre première soirée au fight club, vous êtes obligé de vous battre.

Tyler dit que chercher à s'améliorer, c'est rien que de la branlette.

Tyler dit que l'autodestruction est sans doute la réponse.

2 livres
50 lecteurs

Madison, 13 ans, est la fille d’une star du cinéma et d’un producteur milliardaire. Élevée dans la religion du fun et de la culture pop, elle passe un Noël ennuyeux seule dans son pensionnat en Suisse, tandis que ses parents se consacrent à leurs projets professionnels et à l’adoption d’orphelins du tiers-monde. Mais un événement inattendu va venir illuminer ses vacances : sa mort subite. Débarquée en enfer, elle y fait la connaissance d’une bande de jeunes marginaux, une jolie fille, un sportif, un geek et un rocker, soit la version Six Feet Under de Breakfast Club. Alors qu’elle se lance dans l’exploration de ce nouvel environnement, qui lui réserve de multiples surprises, Madison se remémore sa courte existence pour essayer de comprendre ce qui a bien pu la mener à la damnation. Pour découvrir, aussi, les raisons de sa mort.

En enfer, vous ne pouvez pas faire un pas sans bousculer quelqu’un de célèbre : Marilyn Monroe, James Dean, Susan Sontag. River Phoenix, Kurt Cobain. John Lennon, Jimi Hendrix, Jim Morrison, Janis Joplin. Un Woodstock permanent. Mais si l’enfer est pavé de bonnes intentions, la prose de Chuck Palahniuk ne l’est pas. Et le royaume de Satan qu’il décrit, frappé de tous les vices imaginables et de quelques-uns imaginés pour l’occasion, comme celui consistant à torturer les damnés en leur projetant en boucle Le Patient anglais, n’est rien comparé à son portrait ultradécapant du show-biz et des hautes sphères de notre société.

(Source : Sonatine)

Tous les livres de Chuck Palahniuk

"On peut dire n'importe quoi ici. Lavements, orgies, animaux, confessez jusqu'à la dernière obscénité, et personne n'est jamais surpris." Ainsi parle Victor Mancini, le héros de Choke, le nouveau roman de Chuck Palahniuk, auteur culte de Fight Club. Son héros est un sexoolique, un dépendant absolu, "un camé du sexe". Afin de payer l'hospitalisation et les soins d'une mère folle qui ne le reconnaît plus, il s'étouffe régulièrement en public jusqu'à ce qu'une bonne âme pratique sur lui une trachéotomie. Lui expurge, vomit tout et permet aux gens qui l'ont sauvé de se croire l'espace d'un instant des héros. le lectorat trop délicat, fragile de l'estomac, sera dispensé de lecture. Ceux qui ont les viscères bien attachés seront peut-être ravis. Au contact de cette littérature américaine postmoderne, on vit une explosion créatrice qui jouit dans la surenchère du nihilisme et de la provocation. Immorale à souhait et parfaitement désespérée. À ce jeu-là, Choke remporte la palme. Punk radicalisé avec un soupçon de doute existentiel (merci Kierkegaard), Chuck Palahniuk, nouveau fer de lance du roman US avec Bret Easton Ellis et le regretté John Kennedy Toole, fait passer Henry Miller pour un boy-scout puritain. "Ce que nous vivons maintenant, c'est la Dés-Illumination", professe l'un des personnages. Brrrr, ça fait froid dans le dos.

L'un se nomme Saint Descente de Boyaux, l'autre Dame Clocharde, un autre encore Duc des Vandales… Ainsi de suite jusqu'à l'Agent Cafteur et le Chaînon Manquant. En tout une vingtaine de volontaires ayant quitté abruptement le quotidien sans laisser la moindre trace. L'annonce, discrète dans le journal, leur promettait de se retrouver au secret, sans contact avec l'extérieur, afin d'accoucher enfin du chef-d'œuvre qu'ils portaient en eux. Ce qui était censé être un refuge se révélera un imparable piège. Les mêmes qui affirmaient venir pour écrire avaient tous besoin, pour de multiples raisons plus inavouables les unes que les autres, de fuir la justice et les hommes… Tous à la fin - ou presque ! - auront en effet une histoire à raconter… Ce ne sera certainement pas celle à laquelle ils pensaient.

Un livre de Palahniuk ne se résume pas, c’est déjanté, subversif, incroyablement lucide !

" Là où vous êtes censés vous trouver, c'est au beau milieu de quelque grande réception de mariage de West Hills dans un grand manoir résidentiel, avec dispositions florales et champignons farcis à travers toute la maison. On appelle ça plan de situation et de décor : l'emplacement de chacun, qui est vivant, qui est mort. Et c'est le grand moment de la réception de mariage d'Evie Cottrell. Evie est debout, à mi-chemin de l'énorme escalier dans le hall d'entrée du manoir, nue à l'intérieur de ce qui reste de sa robe de mariée, le fusil à la main.

Moi, je suis debout au bas des escaliers, mais il n'y a que mon corps qui fasse acte de présence. Mon esprit est je ne sais où.

Personne n'est encore totalement tout à fait mort, mais disons que les secondes s'égrènent. Ça risque de ne pas durer. "

Un livre de Palahniuk ne se résume pas, c'est déjanté, subversif et incroyablement lucide.

Quoi de plus inoffensif pour s'endormir qu'une berceuse tendrement lue le soir ? Rien à voir avec la mort subite du nourrisson, génératrice des pires angoisses des parents penchés sur le souffle nocturne du nouveau-né. Le journaliste Carl Streator y verrait pourtant comme un lien, un je-ne-sais-quoi d'inexpliqué. Il y aurait un livre qui tue. Une comptine mortelle. En plein cœur des Etats-Unis. Un recueil pour enfants constitué de poèmes... Carl Streator en parle à son patron, lui en lit un extrait... et le voit s'affaisser devant lui pour ne plus se réveiller. L'enquête peut commencer. Combien de livres en circulation dans le pays ? Combien le savent et pour quel usage ? Quel pouvoir absolu pour celui qui en aura l'ultime possession !... Un livre de Palahniuk ne se résume pas, c'est déjanté, subversif et incroyablement lucide.

Une bande d'ados sectaires, venus d'un mystérieux pays totalitaire, débarquent aux États-Unis pour un séjour linguistique. Sur fond d'échanges culturels, ils décryptent l'american way of life pour mieux infiltrer le pays et mettre en œuvre une action terroriste sans précédent, opération Dévastation.

Comme toujours, Palahniuk souffle le chaud et le froid, titillant les nerfs du lecteur jusqu'à la limite du supportable : de l'angoisse au burlesque, il n'y a qu'un pas qu'il franchit à grand renfort d'humour déjanté. Servis par un langage aussi malmené pour l'occasion que nos idées reçues, les rapports d'opérateur numéro 67, alias Pygmy, sont un délice du genre : s'y dessine une Amérique inculte, fermée sur elle-même, indolente et goinfre jusqu'à l'épuisement. Par contraste, la conviction de ces jeunes fanatiques, le caractère implacable de la haine qui les anime saisit le lecteur d'effroi.

Dans ce petit bijou d'indécence, Palahniuk poursuit le travail de dépeçage des fondements de la culture de masse américaine en mettant en scène ce grand cauchemar qui la tenaille, celui du terrorisme.

Mais qui est donc Buster Casey, alias Rant ? Dans un futur où une partie de la population est « diurne » et l'autre « nocturne » selon un couvre-feu très strict, Peste prend la forme d'une biographie orale faite de rapports contradictoires émanant de témoins qui ont connu le mystérieux Buster de près ou de loin. Garçon aux mœurs étranges, friand de morsures animales en tous genres pour certains, génial tueur en série ou répugnant individu pour d'autres, le véritable Buster Casey semble, au fil des récits, de plus en plus insaisissable et protéiforme. De quoi alimenter le mythe...

Dans ce roman, sorte d'éloge funèbre chanté par un chœur constitué d'amis, de voisins, de policiers, de médecins, de détracteurs et d'admirateurs, Chuck Palahniuk explore les tréfonds de la vie moderne et dresse le portrait en creux d'une Amérique en mal de repères. Evangile subversif et grotesque ou le rire donne la réplique à l'horreur, Peste décrit un monde qui marche sur la tête, où la vie est à mourir d'ennui et la mort positive et créatrice.

" Personnes ne veut voir ses problèmes résolus. Ses égarements, ses histoires réglées, sa vie débarrassée de ses merdes. Sinon, que resterait-il à tout un chacun ? Rien que l'inconnu, ce vaste inconnu qui fiche la trouille. " Tender Branson est bien placé pour le dire. Il est le dernier survivant d'une secte d'allumés et il navigue seul, après l'avoir détourné, dans un Boeing 747 mis en pilotage automatique à 13 000 mètres d'altitude. Destination l'Australie et le crash assuré. Plus que sept heures de vol à vivre pour raconter à la boîte noire ses incroyables secrets. Quelques litres de kérosène avant de finir éclaté en milliards de petits débris... Un roman imprévisible, inoubliable et un sommet de l'humour sauvage qui confirme Chuck Palahniuk comme l'un des écrivains de fiction les plus originaux du moment.

Cassie Wright, star du porno sur le retour, a décidé de terminer sa carrière sur un coup d’éclat : se faire prendre devant les caméras par six cents hommes au cours d’une seule nuit. Dans les coulisses, les heureux élus attendent patiemment leur tour. Parmi eux les numéros 72, 137 et 600 font part de leurs impressions. Mais, entre fausses identités, désirs de vengeance et pulsions homicides, la nuit ne va pas du tout se dérouler comme prévu.

Misty Wilmot est une femme frustrée : coincée sur une île défigurée par l'invasion touristique, elle travaille comme une esclave dans le grand hôtel du coin pour faire vivre sa famille. Son mari, Peter, un architecte qu'elle a rencontré des années plus tôt dans une école d'art, a tenté de se suicider et se retrouve dans le coma. Plus rien ne tourne rond dans la vie de Misty : pourquoi Peter, avant de vouloir en finir, s'est-il amusé à sceller certaines pièces des villas touristiques sur lesquelles il travaillait ? Comment expliquer les messages haineux qu'il a bombés sur les murs, annonçant la vengeance des habitants de l'île contre les envahisseurs extérieurs ? Pourquoi les autochtones se mettent-ils à la regarder bizarrement ? Misty décide de mettre ses peurs noir sur blanc et d'écrire un journal intime. Mais attention, la folie guette... Au fil du temps et de ses livres, les interrogations de Palahniuk se font plus complexes, plus intimes et plus profondes : ses récits deviennent de plus en plus inclassables ; ils louchent vers le fantastique, l'irréel et le paranormal. Mélange de Jung, Borges, Levine - l'auteur de Rosemary's Baby - passé à la centrifugeuse Palahniuk, ce Journal intime est un cocktail détonant.

Quand l’auteur de Fight Club s’attaque au plaisir féminin.

Penny Harrington, jeune femme modèle et aspirante avocate, travaille dans un prestigieux cabinet new-yorkais. C’est là, au détour d’un couloir, qu’elle rencontre le magnat des médias, Linus Maxwell, venu régler les détails de son divorce avec la star française Alouette d’Ambrosia. Le soir même, Linus invite Penny à dîner.

Comment s’habiller lorsqu’on sort avec l’homme le plus riche du monde ? Comment se comporter quand son hôte compte parmi ses conquêtes les femmes les plus célèbres et les plus puissantes de la planète ? Et pourquoi un homme comme lui invite-t-il à dîner une fille aussi désespérément normale ? Malgré toutes ces questions, Penny passe une soirée de rêve, et c’est le début d’un véritable conte de fées.

Notre Cendrillon des temps modernes tombe en effet sous le charme de son chevalier servant. Amoureux platonique, celui-ci l’enchante. Aussi, quand elle croise Alouette à Paris et que celle-ci lui conseille de ne surtout jamais faire l’amour avec Maxwell, Penny ne comprend d’abord pas très bien. Mais, très vite, tout s’éclaire. Maxwell voue en effet une véritable obsession au plaisir féminin, une obsession aux conséquences multiples et très étonnantes.

Partez à la quête du plaisir avec l’enfant terrible des lettres américaines et Cinquante nuances de Grey va immédiatement vous apparaître comme un hors-d’œuvre sans saveur. Avec cette nouvelle satire radicale de notre société, Chuck Palahniuk empoigne une fois de plus le lecteur dès les premières phrases pour le laisser ébloui et sonné à la fin de ce roman, sans aucun doute l’un de ses plus réussis.

(Source : Sonatine)

Une partouze géante au fin fond de l'Ouest américain, un combat de moissonneuses-batteuses, une expédition en sous-marin nucléaire, la construction d'un château en béton, un face-à-face improbable avec Marilyn Manson, les promenades d'un escort boy avec un malade en phase terminale : autant d'évocations d'une Amérique déjantée dont Chuck Palahniuk s"est fait chroniqueur.

Dans ce recueil d'histoires vraies où se mêlent subversion, tendresse, humour décapant et exhibitionnisme, il démontre combien la réalité peut dépasser l'imagination et dévoile ainsi l'envers du décor de ses romans. Il nous fait découvrir une autre Amérique, dont les héros illuminés ne sont pas si éloignés de nous. On ne ressors pas indemne de ce voyage au bout du bizarre et du tragique.

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