Emily White

Que dire de ce premier tome…

L'histoire qui m'a vraiment séduite par son originalité est malheureusement gâchée par l'amateurisme de l'auteure.

Certaines scènes (surtout d'actions) sont confuses, voire parfois incompréhensibles. Comme si l'auteure s'était embrouillée dans ses idées et avait oublié de se relire. À moins que ce ne soit la traduction qui soit mauvaise…

J'ai également repéré quelques coquilles…

Ce qui est dommage aussi, est la complexité de certains détails. Il n'y a quasiment pas d'explication pour les termes et noms utilisés et l'on finit par s'y perdre.

Ella, touchante au début du roman, devient vite antipathique à cause de sa manie à vouloir faire souffrir les gens qu'elle croise et par son plaisir sadique à les voir mourir.

Dommage, car ce roman avait un grand potentiel.

Je ne sais pas quoi penser de ce deuxième tome…

Je suis aussi perplexe que pour le tome précédent.

C'est sûr qu'il y a une nette amélioration dans le style de l'auteure : au moins, cette fois, les scènes sont plus compréhensibles ; mais certaines restent confuses et brouillons et il y a toujours quelques coquilles. Mais dans l'ensemble ce tome est mieux que le premier.

Mais je n'ai toujours pas réussi à m'imprégner de l'histoire. Ce qui me dérange et qu'on ne sait jamais qui est "gentil" et qui est "méchant". Même Ella, l'héroïne, est ambiguë. Elle est même carrément sadique dans certains passages. Elle adore faire souffrir les autres et se croit supérieure à eux. Sans parler de sa manie à s'évanouir, qui devient vite agaçante (au bout de la dixième fois, c'est sûr que cela devient lassant). Je n'ai pas aimé non plus sa relation avec Cailen. Parfois idyllique et l'instant d'après cela tourne à la dispute.

Quant à l'histoire, je l'ai trouvé décevante ; surtout la fin ; car beaucoup d’éléments restent sans réponses et rien n'est réellement résolu dans ce tome 2.

Il y aura-t-il une suite…? Ce n'est normalement pas prévu.

Le protagoniste de l’histoire se nomme Ella. Dans le premier chapitre, on la voit s’échapper de Sho’ful, une grande prison. Pourtant, Ella n’est qu’une adolescente et elle a été enfermée alors qu’elle n’était qu’une jeune enfant. Elle découvre un peu plus tard qu’elle possède de grands pouvoirs et qu’elle a une tendance à aimer la destruction…

L’idée derrière le livre est bonne, mais il est assez mal écrit… Le fait qu’il soit une traduction n’aide pas.

Bref, Ella est sans doute le personnage le plus agaçant que je n’ai jamais suivi. Sa personnalité est contradictoire et n’est pas du tout réaliste. Le fil de ses pensées me donnait souvent l’envie de laisser tomber le roman. Elle change radicalement de façon de penser à chaque chapitre, et cela pour de raisons complètement insensées.

Aussi, l’histoire d’amour entre Ella et Cailen est exaspérante. À Sho’ful, elle n’avait aucun souvenirs sauf « ce jeune homme aux beaux yeux verts ». S’en suit une panoplie de « Je l’aime », « Il ne fait que m’utiliser », « J’ai besoin de lui », « Il me ment », etc. Je dois avouer qu’il y a certaines raisons valables à ses pensées, mais elles reviennent toutes les dix pages et finissent par être extrêmement lourdes.

-Fleurdelys

La première chose qu'on note à propos de ce livre est vraiment l'originalité. C'est normal qu'après 10 ans de noirceur il y aie des séquelles... Ella s'accroche comme elle peut à faire le bien et son côté sombre la préoccupe au point qu'elle prend de mauvaises décisions. Histoire différente de ce à quoi je m'attendais.... Je ne sais pas à quoi je m'attendais en fait. J'ai vraiment aimé. Plus d'étoffe au niveau de certains personnages aurait été encore mieux mais l'histoire demeure agréable.