Commentaires sur ses livres

Une cantatrice chauve sans cantatrice chauve, c'est là tout l'absurde de la situation et c'est drôlement bien écrit.

Du Ionesco pur. Absurde et comique, on se prend au jeu de La Leçon. Bon et drôle de moment dans la lecture de cette pièce.

Pièce que je n'ai pas vraiment apprécié. L'absurde a trop d'ampleur dans cette pièce de théâtre et empêche la compréhension du scénario. Il s'agit réellement d'une anti-pièce.

La pièce se lit globalement bien et les personnages archétypaux sont bien reconnaissables entre eux. La postface de Jacques Mauclair est quant à elle très intéressante !

Pièce de théâtre de l'absurde, entre humour et tragédie.
Bien mené, des critiques bien senties du totalitarisme. Belle œuvre

Cette pièce de théâtre, écrite par Eugène Ionesco en 1950, est considérée comme une œuvre emblématique du théâtre de l'absurde. La pièce se déroule dans un univers dépourvu de sens logique où les personnages semblent coincés dans des routines absurdes et dénuées de sens. Ionesco utilise le langage de manière non conventionnelle, créant ainsi un effet comique et déconcertant. Il met en lumière les absurdités de la communication humaine et de la vie sociale, tout en offrant une réflexion sur la condition humaine et l'absurdité de l'existence.

Une pièce qui mêle le comique et le tragique sur le thème de la mort et du déclin. J'ai bien aimé, les personnages et la mise en scène sont très percutants.

C'est une pièce qu'il faut voir jouer. Les didascalies sont nombreuses. Les monologues vers la fin semblent très longs, car on n'a pas le mouvement scénique pour donner du rythme.

C'est le seul roman de Ionesco ! Rien que pour cela, c'est épatant. Et puis cela est très moderne au sujet de la solitude éprouvée et évoquée par le héros. A quoi ça tient une vie ? A l'amour ? Au travail ? Ou à tous ces petits instants ritualisés par le héros qui en héritant, préfère profiter de son temps libre à l'écart des autres en ne cherchant qu'à satisfaire ses besoins essentiels et nécessaires ?

Une pièce très intéressante qui met en lumière la fragilité des tyrans, les ramenant par la même occasion à leur caractère mortel.

Mode PLS activé. Réceptivité en berne. Heureusement que le texte est court, il était encore trop long à mon goût.
Mes yeux se sont croisés sur les lignes, j'ai baillé, et dût revenir plusieurs fois en arrière alors que le texte est simple et accessible.
Beaucoup d'ennui ressenti. Mais surtout, décidément, autant en film j'apprécie l'humour absurde (genre "Les Nuls") autant version théâtre ça me hérisse et me rend allergique de façon épidermique.
Pourtant il y a de l'astucieux dans le propos, et les dialogues frôlent le trucculent par moment...mais non je passe mon chemin définitivement.

Le roi se meurt... On assiste progressivement à toutes les phases d'acceptation de la mort lorsque l'on sait que l'échéance est proche, les mouvements psychiques de recul et de refus, de résignation...
Pièce très sombre, absurde dans le jeu de scène, mais tragique et non comique pour moi.
Certaines tirades sont un peu trop longues.
Mais une pièce de théâtre à laquelle j'aimerais assister.

Décidément les pièces Ionesco ne sont pas pour moi. La 1ère n'a ni queue ni tête et absurde ne me paraît pas être un mot pas assez fort pour désigner l'inutilité de ce texte. La 2ème a au moins le mérite de raconter une histoire et de faire sourire parfois, mais ça ne casse quand même pas trois pattes à un canard. EXIT !

Cette pièce est un véritable chef-d'œuvre, l'auteur nous plonge dans un monde absurde où les personnages ne se comprennent pas les uns avec les autres, où les éléments de décor disparaissent petit à petit et où une seule phrase est répétée sans cesse, par tous : le roi se meurt !

Un classique de chez classique de la littérature que je n'avais jamais lu en entier, seulement quelques extraits étudiés en cours. J'ai également pris plaisir à lire les deux autres nouvelles, beaucoup moins connues, mais tout aussi riches et bien écrites.