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Qu'importe que la cantatrice soit chauve puisqu'elle n'existe pas ! Dans cette petite "anti-pièce", première oeuvre dramatique de Ionesco, il n'est fait référence que deux fois à la cantatrice chauve, personnage dont on ne sait rien et qui n'apparaît jamais. Il s'agit bien là d'un Nouveau Théâtre, celui qui donne naissance à des pièces sans héros, sans sacro-sainte division en actes, sans action, sans intrigue, avec en guise de dénouement la quasi-répétition du début, et dont les traditionnelles retrouvailles sont remplacées par une parodie de reconnaissance d'une invraisemblance ahurissante. Les personnages, tout droit sortis d'un manuel de langue, ne s'expriment que par clichés, disent une chose pour aussitôt affirmer son contraire, trouvent une jubilation idiote à employer proverbes et maximes tout en les pervertissant sans même s'en apercevoir... Cependant, très vite, le langage s'"autonomise", se libère de toute contrainte, et l'on assiste avec plaisir au divorce du sens et du verbe. Il en résulte un petit chef-d'oeuvre comique, traité sur l'absurde, variation sur la bêtise et paradoxalement éloge du pouvoir du langage .
Je dirait c'est une critique du fait que l'on parle pour parler, c'est triste (je precise Ionesco se revendiquait de l'avant-garde et non de l'absurde). Un de mes scene prefere et qui m'a beaucoup touché est celle où Mr et Mm Martin se voient et ne se reconnaissent pas, je dirait que ça pourrait faire penser à des couple desquelle on entend parler ils vivent au meme endoit la meme piece, mais ne se connaissent pas vivent chacun leurs vie sans jamais se connaitre.
Pour avoir voulu faire de l’absurde, c’est absolument et merveilleusement bien réussi… Tellement absurde qu’il est difficile d’accrocher, de comprendre l’histoire, s’il y a vraiment quelque chose de profond à raconter... Je reste ouverte en général, mais là, c’était tout simplement trop pour moi. Je ne suis tout simplement pas le bon public
Pièce que je n'ai pas vraiment apprécié. L'absurde a trop d'ampleur dans cette pièce de théâtre et empêche la compréhension du scénario. Il s'agit réellement d'une anti-pièce.
Cette pièce de théâtre, écrite par Eugène Ionesco en 1950, est considérée comme une œuvre emblématique du théâtre de l'absurde. La pièce se déroule dans un univers dépourvu de sens logique où les personnages semblent coincés dans des routines absurdes et dénuées de sens. Ionesco utilise le langage de manière non conventionnelle, créant ainsi un effet comique et déconcertant. Il met en lumière les absurdités de la communication humaine et de la vie sociale, tout en offrant une réflexion sur la condition humaine et l'absurdité de l'existence.
Lue pour les cours de la fac, beaucoup d'appréhension à l'approche de cette lecture. Pourtant, j'ai beaucoup ris, la pièce est bien écrit, les personnages sont amusants. Pièce absurde et drôle. La pièce ce lit vite. J'ai beaucoup apprécier la scène de Mr et Mme Martin, ainsi que celle de la famille Bobbie Watson
J'ai découvert Ionesco avec la pièce Rhinocéros que j'ai adooooooré et que j'ai même mis dans mes lectures de l'année. Bien qu'absurde, le message de cette pièce est incroyablement vrai ! Je m'attendais un peu à retrouver la même chose dans celle-ci... Pas du tout ! Absurde ? vous avez dit absurde ? comme c'est absurde !! Encore aujourd'hui, il est difficile de converser et de se faire comprendre car “Entre Ce que je pense, Ce que je veux dire, Ce que je crois dire, Ce que je dis, Ce que vous avez envie d'entendre, Ce que vous entendez, Ce que vous comprenez... il y a dix possibilités qu'on ait des difficultés à communiquer. Mais essayons quand même...” !
Tout ça pour dire qu'il y a une chance sur dix pour que l'on soit synchro dans notre conversation ! donc 9 chances sur 10 pour qu'à l'inverse notre conversation soit vide de sens !! Pas si absurde que ça au final ... Et, à propos de la cantatrice chauve ? Elle se coiffe toujours de la même façon !
La pauvre... contrairement à elle, je ne chercherai pas davantage à comprendre cette pièce ni le titre !!! je ne veux pas y perdre pas mes cheveux !!!
J'avais lu Rhinocéros d'Ionesco au lycée pour le BAC et je n'ai clairement pas aimé. Quelques années plus tard, je relis Ionesco en me disant que je vais peut-être l'apprécier à sa juste valeur étant donné les études littéraires qui m'ont permis de le côtoyer.
Je dois dire que j'ai davantage apprécié La Cantatrice chauve que Rhinocéros mais cela ne m'a pas non plus permis de dire "j'adore". Il me semble évident que le théâtre de l'absurde n'est pas ma came car je trouve cela trop bizarre, trop spécial à mes yeux.
Néanmoins, cette pièce ou plutôt anti-pièce comporte toutes les caractéristiques du théâtre de l'absurde avec l'abondance de quiproquos, de silence, de manque de communication...
Au fond, les phrases sont totalement illogiques, les personnages parlent pour ne rien dire, entre autres, sont une marque absurde de la part d'Ionesco pour critiquer la bourgeoisie anglaise. En effet, il leur reproche d'être trop parfait, trop rigide mais ils oublient le contact humain, l'amour, etc.
Pour conclure, La Cantatrice chauve m'a permis de (re)découvrir le théâtre de l'absurde qui n'est pas ma came. Cependant, cette pièce m'a rabiboché avec Ionesco que j'ai longtemps fui et trouvé trop bizarre alors que cette absurdité, ce désordre ne l'est pas forcément puisque cela permet de critiquer la bourgeoisie.
Un livre qui m'intriguait énormement et que je ne regrette pas d'avoir lu. Théâtre de l'absurde, on ne sait absolument pas où l'on va mais ça se lit vite.
Résumé
Qu'importe que la cantatrice soit chauve puisqu'elle n'existe pas ! Dans cette petite "anti-pièce", première oeuvre dramatique de Ionesco, il n'est fait référence que deux fois à la cantatrice chauve, personnage dont on ne sait rien et qui n'apparaît jamais. Il s'agit bien là d'un Nouveau Théâtre, celui qui donne naissance à des pièces sans héros, sans sacro-sainte division en actes, sans action, sans intrigue, avec en guise de dénouement la quasi-répétition du début, et dont les traditionnelles retrouvailles sont remplacées par une parodie de reconnaissance d'une invraisemblance ahurissante. Les personnages, tout droit sortis d'un manuel de langue, ne s'expriment que par clichés, disent une chose pour aussitôt affirmer son contraire, trouvent une jubilation idiote à employer proverbes et maximes tout en les pervertissant sans même s'en apercevoir... Cependant, très vite, le langage s'"autonomise", se libère de toute contrainte, et l'on assiste avec plaisir au divorce du sens et du verbe. Il en résulte un petit chef-d'oeuvre comique, traité sur l'absurde, variation sur la bêtise et paradoxalement éloge du pouvoir du langage .
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