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Henri Lacombe

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Note moyenne : 9/10
Nombre d'évaluations : 3

0 Citations 24 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Henri Lacombe

Sortie Poche France/Français : 2018-06-21

Les derniers commentaires sur ses livres

La confession 1 : les confidences du Père Antoine

A. Anceschi (Facebook)

Un grand merci à Henri Lacombe de m’avoir permis de lire son dernier roman, « La Confession I ».

Le décor de cette histoire est très habilement planté, au point que dès les premières pages, je me suis inconsciemment laissé happer dans « le petit monde » du personnage principal, un prêtre que l'on rêverait de connaître, d'avoir même comme meilleur ami. Et cet atypique curé de campagne n'est pas le seul à être aussi attachant. La personnalité de chaque personnage est truculente à souhait. Chacun a son passé, plus ou moins joyeux, mais tous ont la même quête : l'amour. Quant à la plume d'Henri, elle est légère, simple mais très efficace, emplie d'un humour qui touche en plein cœur. À la fin du roman, je dois avouer que je me suis senti quelque peu frustré, car j'en aurais aimé bien davantage, ou du moins un peu plus avant le mot « fin ». Ce qui est très bon signe, et qui me pousse à écrire que ce roman est une franche réussite, c’est que quelques jours après les avoir quittés, le père Antoine et son amie Suzette sont, avec douce nostalgie, encore bien présents dans mes pensées".

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La confession 1 : les confidences du Père Antoine

Joëlle Marchal - Facebook

« LA CONFESSION l »

(Les confidences du Père Antoine)

Henri LACOMBE

NDB EDITIONS

2017

208 pages

Présentation

Etes-vous prêt(e)s à entrer dans la peau d'un curé de campagne ? Avec << La confession l » vous serez amené(e) à vous poser des questions.

La mère d’Antoine meurt en lui donnant naissance.

Dès lors, son père, mineur, n'aura de cesse d'accuser Antoine de la mort de sa mère, d'accuser les hommes d'être mauvais et la société d'être pourrie. Il se mettra à boire et à battre son fils, sans vergogne.

Antoine a grandi dans ce contexte. Il aime pourtant ce père haineux. Il défend son honneur quand les autres enfants l'insultent dans la cour de l’école « Tu es le fils du soûlaud ! ». Antoine a une grande âme bafouée.

Comme son père, il aura une répulsion pour ses semblables, cependant il ne pourra pas faire autrement que d'entrer dans les Ordres pour expier les péchés de son père et le sien !

Vous verrez, au fil d'un roman sans concession, la progression intellectuelle d‘un homme aigri mais plein d’humour, devenir un curé de campagne.

A l‘occasion de ses 75 ans, un événement extraordinaire qui aurait pu être néfaste, sera pour lui un formidable tremplin qui va lui permettre de voir la vie de façon très différente.

En effet, au confessionnal quelqu'un lui annonce qu'il va devoir le tuer!

Ce roman n'est pas un roman ordinaire, ce n'est pas un polar. Il vous amène à

réfléchir sur la condition d’un homme que vous avez peut—être croisé, un être qui ne croyait pas en son destin et qui, pourtant, finit par l'accomplir.

Le père Antoine, vulgaire et désabusé, deviendra au fil de votre lecture, attachant et aimant.

Henri Lacombe sort des sentiers battus pour vous présenter un roman atypique, drôle, poignant et passionnant.

Mon avis

Je viens de lire « La confession l », roman d'Henri LACOMBE, auteur dont j'ai découvert la plume fluide et légère lors de la lecture du « Voyage d'Antonin », très beau roman que j'avais beaucoup aimé.

Henri LACOMBE nous fait découvrir le Père Antoine, curé de campagne extrêmement touchant et humain, au franc parler certes mais auquel l'on ne peut que s'attacher tant on a l'impression de le connaître ! Quant à l'entourage du curé : Suzette paroissienne assidue et très dévouée mais aussi Sophie, son aide—ménagère sont des personnages émouvants et tellement vrais.

J'ai vraiment ADORE ce livre tendre, drôle et triste à la fois, que j’ai lu d’une traite et refermé à regrets, les yeux humides mais avec l'espoir de bientôt en connaître la suite...

Merci Henri LACOMBE pour cet excellent moment de lecture.

leslecturesdecerise74.over—blog.com

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La confession 1 : les confidences du Père Antoine

Sandrine Gambi Labatut (Facebook)

31 mars,

La confession 1:

”Un bon livre est un livre qui fait oublier au lecteur qu‘il est en train de lire " .

Cette citation est le reflet parfait de ce que j'ai ressenti en me plongeant dans la confession 1.

J'ai été happée par le père Antoine qui m'a conduit directement, parie ne sais quelle magie , de mon fauteuil à son presbytère.

J'étais dans chaque pièce où il se trouvait, je l'accompagnais dans chacun de ses déplacements. J'ai souris avec lui. J'ai eu mal avec lui. J'ai eu la sensation d'être son double invisible.

Je n'ai pas lu son histoire, je l'ai vécue.

C'est là , sans aucun doute, Henri Lacombe Auteur, le trait d’une plume talentueuse...

J’attends la suite avec impatience !

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La confession 1 : les confidences du Père Antoine

Sarah Auger (Facebook)

Un grand merci à Henri Lacombe pour cette belle histoire.

Dès les premières pages, j'ai la sensation que ce curé de campagne diffère de ce qu'il devrait être. Ses actions et pensées s'avèrent souvent en accord avec ce qu'on imagine de la part d'un homme d‘Êglise.

Il ne correspond pas vraiment à la représentation que je me fais de ce type de personnage. L’empathie et la compassion qu‘on attend de ces hommes laissent souvent place au cynisme et à l'ironie et m’amènent par moment un sourire au bord des lèvres. On sent qu‘il aimerait faire mieux, mais c'est comme si quelque chose le retenait.

En façade, il se montre courtois, mais n‘en pense pas moins. Si certains hommes ne mâchent pas leurs mots, notre bon curé lui ne mâche pas ses pensées.

Son enfance malheureuse l'a marquée et le poursuit encore aujourd'hui.

Son choix a un lien avec son père, bien plus même que je ne le croyais au début de l'histoire. Cela ne ressemble pas vraiment à une vocation en fait.

Arrivé dans ses fonctions pour de mauvaises raisons, plus on le découvre et plus on se rend compte qu'il n'a pas toujours suivi le droit chemin.

Aigri, triste, en colère et même résolument tourné vers son douloureux passé on a envie de lui demander de se retourner pour aller de l’avant. Après tout, un curé de campagne est avant tout un homme. Pourquoi devrait-il en tout temps et en tout lieu se montrer meilleur que les autres, plus bienveillant ? Au-delà de son rôle de guide, il n'en reste pas moins humain, avec ses forces et ses faiblesses. C‘est bien un homme comme les autres quoiqu'on en pense.

Être investi d'une mission divine ne le rend pas différent. Il fait des choix, pas toujours bons, à ses humeurs, des personnes qu'il aime et certaines pas. Abîmé par la vie au même titre que tout le monde, il doit lui aussi faire avec ce qu'il est et avec les failles qu‘il se trimbale. Dans la première partie, j'arrive à sentir une certaine tension qui entoure ce personnage central.

Le père Antoine ressent une telle peur qu'il en devienne presque parano. Son imagination s'emballe, il voit où entend des choses qui ne sont pas. Ce curé cache quelque chose. Qui peut bien vouloir du mal à un saint homme ?

Après tout, tout curé et âgé qu'il est, pourquoi personne n'aurait le droit de nourrir de rancœur à son encontre ?

Henri nous fait vivre un huis clos dans la tête de son personnage et la pression monte avec les interprétations et révélations de ce dernier. Je me laisse prendre au jeu et pars moi aussi à la recherche de suspects potentiels.

Alors qui peut bien vouloir I'éliminer et surtout, pour quelle raison ? Craindre pour sa sécurité change une personne ou peut-être nous montre ce qu'il est vraiment au fond de lui. C’est intéressant cette peur de la mort pour un homme de Dieu qui défend la vie éternelle, qui nous assure qu'elle est meilleure après, qu'il faut la mériter ici-bas.

N'est-il pas convaincu lui-même de ce qu'il prêche chaque jour ? Croire en Dieu est-ce suffisant pour ne pas craindre sa propre fin ?

Apparemment non.

Je suppose que ce n'est qu’au moment de se confronter à ce risque qu'on peut vraiment connaître notre véritable réaction, comme pour beaucoup d'autres choses en fait. Tant qu’on n'est pas face à un problème, on peut toujours supposer qu'on aura l'attitude qui convient.

Peut-on espérer de cet homme qu'il change, qu'il trouve une certaine forme de rédemption ? Va-t-il prendre conscience du rôle qui devrait être le sien et trouve enfin sa voie pour s'y investir ?

Après tout, comme dit le proverbe : « à chaque chose malheur est bon. >>

Alors ce Curé entendra-t-il le message ?

Peut-il découvrir ses ouailles de façon plus authentique et prendre finalement plaisir à assumer ses responsabilités ?

N'oublions pas que la vie sait se rappeler à nous sans crier gare, donc mieux vaut ne pas laisser passer sa chance car « Les voies du seigneur sont impénétrables. »

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La confession 1 : les confidences du Père Antoine

Marie Nel (Facebook)

Mon Avis :

Je finis ce roman et je suis encore sous son charme. Henri Lacombe a crée un très beau personnage qui fait de son mieux avec les gens qu’il côtoie.

Ce personnage c'est le Père Antoine, curé d‘une bourgade, une forte personnalité, jurer ne le dérange pas du tout, se moquer gentiment des noms des gens non plus. C'est un sacré phénomène et il a toute sa place dans le village. Lorsqu'il reçoit des menaces de mort, il ne comprend pas qui peut Il en vouloir et surtout pourquoi.

Au fur et à mesure de l'avancée de l'histoire, on apprend que derrière ce personnage jovial se cache un enfant blessé, battu par son père. Et qu'il est devenu prêtre à cause d'un incident pourtant compréhensible.

Les personnes qui entourent le père Antoire, sa femme de ménage Sophie ou Suzette, cette jeune fille secrètement amoureuse du prêtre, un peu simplette mais très gentille et dévouée, sont très importants dans la vie du curé, qui rend bien des services à ses ouailles. On le découvre d’une grande humanité et d’une grande compassion.

Henri Lacombe a ce style d'écrire qui nous fait oublier que l'on lit une histoire, il la rend tellement réaliste qu’on a l’impression d'en faire partie. La lecture est fluide, légère, les émotions sont bien retranscrites, on vit avec le Père Antoine.

Le final m'a blufiée, je ne m'attendais pas à cela, l‘auteur m'a beaucoup surprise. Je ne peux en dire plus, c‘est un pire pour un bien. J'ai en tout cas été ravie de retrouver la plume d'Henri Lacombe et découvrir ce Père Antoine à qui tout le monde confesse quelque chose tellement il est à l'écoute des autres. Un très beau personnage touchant et émouvant.

Je ne peux que vous recommander la lecture de ce roman, c'est une jolie parenthèse à la vie de tous les jours.

Un grand merci à Henri Lacombe de m'avoir permis de rencontrer le Père Antoine le temps d‘une histoire.

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La confession 1 : les confidences du Père Antoine

Maria Ruiz (Facebook)

La confession, un titre qui m’a fortement interpellé. Cette mise à nu devant l’autre n’est pas un acte ordinaire. C’est un acte solitaire qui demande bien du courage, une force de s’avouer ses propres faiblesses avant même de l’avouer à l’autre...

On se sent seuls bien qu’entourés. Nous aimerions tous être entendus, être compris, sans être jugés avec l’espoir que quelqu’un pansera nos blessures...Des êtres en manque d’amour que nous sommes continuellement...Un curé de campagne qui reçoit comme confession sa mise à mort par un inconnu, et voilà que je tourne fiévreusement les pages pour connaître la suite. Je ne fus guère déçue, une belle leçon d’amour, d’humilité, de compassion envers soi-même et son prochain. Les personnages paraissent si réels, si proches…Je les observe, je les écoute, je les vois se mouvoir dans l’espace-temps. Je referme le livre et j’éprouve de suite une nostalgie. C’est magique, je n’ai pas envie que ça se termine. Merci l’ami !

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La confession 1 : les confidences du Père Antoine

Nelly Topscher (Facebook)

Je viens de finir ”La confession" d'Henri.J'ai passé 2h de lecture à sourire,a être happée par cette histoire de curé pas collés les autres.L'humour omniprésent est vraiment très agréable, sans pour autant faire oublier les drames vécus par certains personnages. Bravo Henri pour ta plume envolée qui m'a transportée dans ce village, près du père Antoine.

Le texte très aéré dans sa présentation se lit tout seul.

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La confession 1 : les confidences du Père Antoine

Valérie Dautherives (Facebook)

30 mars

Je viens, par la présente, me confesser sur « la confession I »

A la fois touchant et émouvant, quelquefois surprenant et attendrissant et constamment humain et attachant ! Je me suis laissée porter par le personnage du père Antoine, parfois déroutant et un brin cynique mais qui, au fond de lui, aime ses fidèles... et les autres. Ses attitudes et ses réflexions nous ramènent à notre propre façon d‘être. C’est une très belle aventure contée avec des mots justes, simples et pesés. Une écriture comme je l’aime et qui me touche ! Pour finir, je dirais que ce livre me laissera une trace dans le cœur et ça me plaît “: Bravo cher Henri et continue d'écrire avec ta tête et ton cœur pour notre plus grand plaisir et le tien !

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Commentaire ajouté par HenriLacombe 2018-06-29T07:08:11+02:00
Valentin Brieuc

Sarah Auger (Facebook)

Valentin Brieuc de Henri Lacombe c'est le récit d'une épopée familiale. Tout se joue en 5 parties sur cinq générations. On suit l‘évolution d'une même famille de paysans.

La rencontre a lieu au milieu du XIX siècle avec des personnes simples et aimantes, des hommes et des femmes attachés à leur terre, à une époque où la vie savait se montrer rude, centrée sur le travail plus que sur le plaisir. On fait la connaissance de personnages authentiques et crédibles.

Le malheur a vite fait de s’abattre sur les gens sans que le temps ne se prête aux questionnements. Ce qui arrive devait arriver et l'on continue à avancer malgré la douleur et les difficultés.

Même dans les moments compliqués, les individus que l'on rencontre et qui devraient nous aider ne se montrent pas toujours honnêtes. Il arrive de croiser des gens prêts à profiter de la crédulité et de la naïveté des autres.

Et de génération en génération, cette famille va vivre bien des malheurs. Entre décès prématurés, mort en couches, trahisons, escroqueries, tromperies, manipulations ou cupidité, leur destin est émaillé de difficultés. Un peu comme dans toutes les familles en fait. Nulle n‘est exempte de son lot de douleurs, de déceptions ou de mauvaises rencontres.

Mais il y a aussi les gens bien, prêts à venir en aide, ceux sur qui l'on peut compter sans qu'ils n’attendent rien en retour, les vrais amis, certains membres de la famille, ou, parfois même, des rencontres fortuites. Certains possèdent l'amour de leur métier, la passion de ce qu'ils créent ou produisent. On sent que la terre coule dans leurs veines. Cet héritage représente bien plus à leurs yeux que toutes les plus belles choses au monde. La terre, c‘est leur vie. Sans elle, ils n'existent pas, n‘ont aucun intérêt pour rien. Ils la connaissent sur le bout des doigts, la font fructifier avec affection comme leurs ancêtres avant eux et ne demandent rien de plus, ne voient aucune raison de changer leur façon de travailler.

C’est ce qu'on pourrait appeler des gens simples, heureux de ce qu‘ils détiennent par leur travail et qui ne convoitent pas ce qui appartient à leur voisin. D'autres ne voient dans la terre qu'un moyen de s’enrichir, de pouvoir à terme briller en société. La terre pour eux, c‘est rétrograde. Il n‘est pas question d’y mettre les mains, ce ne sont que de basses besognes qu‘ils laissent bien volontiers aux premiers pendant qu'ils pensent, magouillent pour encore plus de productivité, de profit. Car moderniser la production ne représente pas pour eux une amélioration dans les conditions de travail, mais bel et bien un gain supplémentaire d’argent. C‘est le début de l‘ère de la production de masse.

Cupidité se croise avec désir de pouvoir, besoin de reconnaissance, impression de se sentir supérieur aux autres.

Voilà comment on peut en arriver à déposséder les siens de leur bien pour toujours plus s’enrichir, allant jusqu’à les rejeter, ces êtres bien trop basiques, trop « bouseux » pour côtoyer notre monde si cultivé et raffiné. À cejeu-Ià, on finit par se renier, prendre le risque d’y perdre plus qu'on y gagnera. Ce qu'on y trouve en argent et notoriété, on le perd en ce qui concerne la famille, les relations humaines pures et sincères pour vivre une vie solitaire et d’apparence.

Comme souvent, tout finit par se savoir. Les manigances se retrouvent en plein jour, les uns obtiennent un pardon en tentant de se racheter, les autres se trouvent pris dans les filets de la vengeance.

Les gens issus d’une même famille peuvent s'avérer très différents et poursuivre des objectifs forts éloignés. Les parents peuvent être les mêmes, l’éducation identique, chacun suivra le chemin qui est le sien, prendra ses propres décisions. Au combien les voies empruntées peuvent se montrer variées. L'éducation ne fait pas tout, la personnalité joue pour beaucoup dans ce qu'on devient. Les gens ne sont pas tous bon de nature.

Valentin Brieuc est un des derniers maillons de cette famille. C’est celui qui aura à cœur de lui rendre l'humanité que certains se seront évertués à lui faire perdre.

C‘est une belle leçon de vie. Rien n'est inéluctable. Ce n'est pas parce que notre voie semble être tracée qu‘on ne peut pas enclancher un changement de cap si le cœur nous en dit. Si les hommes ne sont pas tous bon, ils ne sont pas tous mauvais non plus, il existe de belles personnes au cœur pur qu‘on est ravi de rencontrer même si ce n‘est qu'au travers de quelques pages.

« Si je devais recommencer ma vie, je donnerais plus, je vivrais plus aussi, parce que la vie est un trésor qu'il ne faut jamais garder pour soi. »

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Commentaire ajouté par HenriLacombe 2018-06-29T07:09:36+02:00
Valentin Brieuc

Monique Monfraix (Facebook)

"Valentin Brieuc" d'Henri Lacombe Auteur . Un livre qui rejoint mes coups de coeur - Lecture . Dès les premières pages j'ai été captivée par cette sublime histoire familiale riche en rebondissements ,au fil des mots j'ai rencontré des personnages si authentiques qui m‘ont parus si crédibles par leurs traits de caractères propres à chacun avec un témoignage final qui m'a particulièrement ému Je remercie Henri Lacombe pour la générosité de ses mots, pour ces moments lectures dignes d‘un excellent conteur et je terminerai en conseillant sans réserve la lecture de ce livre à la fois poignant et attachant .

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