Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
On a comparé la prose de Mark Leyner à « un cocktail de William Burroughs, de Jimmy Hendrix, de rap et de MTV ». On a accusé ses ouvrages de causer de sérieux dommages aux psychismes de ses lecteurs. On prétend que certains de ses fans accumulent des centaines d’exemplaires de ses livres en attendant l’Apocalypse. L’auteur lui-même n’est guère plus rassurant. Il ne se sépare jamais, dit-on, d’un album de photos prises par satellite le représentant dans le plus simple appareil.
Il s’est fait tatouer, paraît-il, les organes internes à l’encre radioactive. Il lui arrive de se faire passer pour certains de ses pairs, tels Bret Easton Ellis, lors de signatures organisées par des libraires américains. Sa carrière de critique littéraire a pris fin lorsque la rédaction du journal dans lequel il officiait a découvert qu’il chroniquait des livres qui n’existaient pas. Mark Leyner est né à Jersey City, dans le New Jersey.
Il a publié deux romans, dont Mégalomachine (cherche midi, 2004) et trois recueils de nouvelles.
Biographie
On a comparé la prose de Mark Leyner à « un cocktail de William Burroughs, de Jimmy Hendrix, de rap et de MTV ». On a accusé ses ouvrages de causer de sérieux dommages aux psychismes de ses lecteurs. On prétend que certains de ses fans accumulent des centaines d’exemplaires de ses livres en attendant l’Apocalypse. L’auteur lui-même n’est guère plus rassurant. Il ne se sépare jamais, dit-on, d’un album de photos prises par satellite le représentant dans le plus simple appareil.
Il s’est fait tatouer, paraît-il, les organes internes à l’encre radioactive. Il lui arrive de se faire passer pour certains de ses pairs, tels Bret Easton Ellis, lors de signatures organisées par des libraires américains. Sa carrière de critique littéraire a pris fin lorsque la rédaction du journal dans lequel il officiait a découvert qu’il chroniquait des livres qui n’existaient pas. Mark Leyner est né à Jersey City, dans le New Jersey.
Il a publié deux romans, dont Mégalomachine (cherche midi, 2004) et trois recueils de nouvelles.
Afficher en entier