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Kazuo Kamimura

Auteur

146 lecteurs

Activité et points forts

Thèmes principaux

ajouté par Lilou 2010-01-08T20:09:15+01:00

Biographie

Né en 1940 à Yokosuka, dans la préfecture de Kanagawa au Japon, il suit les cours de l'université artistique de Musashino, section design. En 1964, diplôme en poche, il est employé comme illustrateur dans une agence publicitaire et il fera la connaissance de Yu Aku, célèbre auteur de chansons japonais qui lui proposera de collaborer à un manga. Il fait ainsi ses débuts en 1967 avec Kawaiko sayurichan no daraku. Mais c'est avec Lorsque nous vivions ensemble qu'il connaîtra le succès, notamment grâce à son trait élégant, aux lignes courbes, proche des estampes japonaises classiques. Il s'attaquera également au Fleuve Shinano avec Hideo Okazaki à la formidable trilogie Lady Snow Blood (Kana) qu'il dessine sur un scénario de Kazuo Koike. Kazuo Kamimura nous quittera prématurément en 1986, à seulement 45 ans.

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Quelques chiffres

Note moyenne : 6.94/10
Nombre d'évaluations : 97

0 Citations 42 Commentaires sur ses livres

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de Kazuo Kamimura

Sortie France/Français : 2024-01-26

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par Midine 2021-07-15T07:54:57+02:00
Lady Snowblood (Intégrale)

[Attention : ce manga n'est pas à mettre dans toutes les mains car on y retrouve meurtre, viol, nudité, torture...]

Ce titre est un monument du manga et loin de ma zone de confort, c'est pourquoi j'ai tardé à me mettre à cette lecture qui s'est révélée satisfaisante.

On suit l'histoire de Yuki, désormais connue sous le nom de Lady Snowblood, femme née en prison et qui a hérité de sa mère sa volonté de vengeance après que cette dernière ai vu son mari et son fils se faire assassiner. Yuki devient donc une redoutable tueuse professionnelle dont les charmes seront bien utile pour mener à bien sa quête de mort dans le Japon des années 1870, en pleine ère Meiji dont les bouleversements seront nombreux.

C'est un gros pavé qui réunit trois parties distinctes de l'histoire : si les deux premières sont consacrées à la vengeance de Yuki, la dernière partie narre des histoires bonus. L'histoire est captivante et le dessin de Kazuo Kamimura illustre magnifiquement ce récit. Une belle découverte !

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Lorsque nous vivions ensemble, Tome 1

Voilà des années que je lorgne sur les oeuvres de Kazuo Kamimura, car je suis totalement subjuguée par son esthétique (surtout sa façon superbe de représenter les femmes) mais que je n'ose pas franchir le pas. Car, il faut le dire, il fait partie de la vague gekiga et donc produit potentiellement des oeuvres malaisantes et tristes à fendre l'âme, du genre qui ne ménage pas ma sensibilité.

Cet été j'ai pu acquérir à petit prix ses 3 oeuvres qui me tentaient le plus et je me retrouve à vouloir battre le fer tant qu'il est chaud, me décidant aussitôt pour Lorsque nous vivions ensemble en point de départ de mon initiation.

C'est une histoire autour d'un couple de jeunes japonais qui, au début des années 70, vit totalement en dehors des clous de la société: en couple sous le même toit, mais pas mariés, et travaillant, mais pas de façon stable pour être considérés comme installés dans la vie active. Un petit couple sur lequel va clairement peser la pression sociale et dont on va suivre au fil du temps les préoccupations et les questionnements ainsi que les inévitables malheurs.

Le premier tome est tout de même un beau petit pavé (il en est de même des deux suivants) mais il se lit vraiment bien car, contre toute attente, c'est très fluide. En plus de l'esthétique pour laquelle j'étais déjà conquise avant même de me lancer, j'ai beaucoup aimé la dynamique du dessin de Kamimura. On circule vraiment très facilement au sein des planches, l'oeil est très habilement guidé.

Le moins qu'on puisse dire, c'est que le mangaka adore les symboliques et les parallèles. Ça apporte beaucoup de poésie à sa série tout en produisant régulièrement des planches très fortes, très puissantes (l'utilisation du pinceau, avec son rendu artistique et vivant, y est pour beaucoup aussi).

Quelque part, ça contribue à faire passer les mini histoires au sujet et à la chute dérangeants (inceste, pédophilie, cruauté, suicide...), qui servent à appuyer l'état d'esprit des jeunes gens mais surtout le ridicule de ce qui leur est reproché: pourquoi s'acharner sur eux quand il y a tellement pire lové au coeur même de la société ? Peut-être parce qu'ils osent s'afficher et que le reste tient du secret, de l'intime ? Si on ne le voit pas, ça n'existe pas ?

J'ai beaucoup aimé la double, voire triple narration qui s'est mise en place avec ce que racontent les dessins, et ce que racontent les bulles et les textes off. Cette insistance à souligner la fin du printemps et le début de l'été (une alégorie sur le thème des saisons court tout le long du tome et probablement dans les suivants). Tout nous dit que ça va bientôt partir en cacahuète pour le couple et du coup on lit pour découvrir quand et comment surviendront l'automne puis l'hiver de leur relation.

Franchement, j'avais un doute sur le fait que tout ça me plaise, parce qu'il y a des petites histoires fort dérangeantes qui mettent en scène tout ce que la société et l'humain ont de plus moche en eux. Ce qui m'a offert plus d'un frisson sincère de dégoût. Mais ça passe et très bien même. Il y a une balance qui se fait naturellement entre le beau et poétique et le pervers et dérangeant qui n'est absolument pas gratuit.

En bref, une très bonne surprise que le début de cette série dont je lirai sans aucun doute la suite et probablement sans tarder, tant je me sens concernée par le devenir de ce couple (même si je sais que la boîte de mouchoirs que je me suis préparée va certainement servir).

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Lorsque nous vivions ensemble, Tome 2

Un tome de transition qui amène l'hiver de la relation de ce jeune couple, tout en sonnant le glas de la poésie qui caractérisait le premier tome. Celui-ci est bien plus terre à terre, moins dans les symboliques, pour mieux affirmer la dureté et le réalisme des malheurs qui s'enchaînent et marquer la fin de l'idylle.

Autre époque, autre pays, autres moeurs... Mais je n'ai pu occulter la colère qui montait en moi devant les différents traitements infligés à Kyoko dont on occulte la détresse tout du long.Spoiler(cliquez pour révéler)D'abord la froideur avec laquelle se pratique l'avortement, comme un acte banal et anodin alors qu'il est lourd de conséquences et nécessite un accompagnement psychologique.

Ensuite, le déni de Jiro face à l'existence dans le ventre de Kyoko de l'enfant qui aurait du naître et donc du vide physique et psychologique dont elle souffre qui ne peuvent disparaitre en un claquement de doigt, comme si rien n'avait été.

Enfin, cette relation malsaine des parents, avec la mère qui refuse de voir sa fille et le beau père qui s'en empare pour lui faire mener la vie qu'il lui souhaite au détriment de celle qu'elle s'est choisie.

On a vraiment l'impression que Kyoko est celle qui doit ramasser tous les pots cassés quand Jiro se fixe dans notre esprit en grand égoïste macho.

En bref, un tome qui se lit toujours aussi bien mais dont le traitement diffère pour bien marquer la fin d'une époque et le début d'une autre. Au vu de ce qui se dégage de celui-ci, il y a fort à parier qu'un happy ending n'est pas à prévoir.

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Lorsque nous vivions ensemble, Tome 3

Après le rude hiver des saisons de la romance hors normes entre Kyoko et Jiro , voici un nouveau printemps et un nouvel été qui surviennent. Sans surprise, ils sont bien ternes en comparaison de ceux qui nous ont été montrés dans le premier tome. Sans surprise encore, il y a beaucoup de conséquences qui découlent des tristes évènements précédant et l'auteur ne fait qu'aller au bout de ce qu'il nous a laissé entrevoir et comprendre au fil des pensées de ses personnages, de leurs décalages, des symboliques employées et des parallèles faits avec d'autres situations.

Il faut néanmoins beaucoup d'étapes au couple pour se laisser partir l'un l'autre et ça passe par beaucoup de renoncements très durs à accepter, surtout pour Kyoko, qui est finalement celle qui s'est le plus mise en danger dans cette relation.

Tout se tient et est présenté de façon réaliste et crue. Impossible de ne pas être touché ni de réfléchir au sort de ce couple, d'essayer de comprendre ce qui les a amenés à cette fin tragique: les erreurs, les malentendus, les non-dits, les freins...

De fait, au travers de leurs déboires, il y a matière à une excellente réflexion autour de la possibilité de vivre sans engagement dans une société où tradition et modernité s'affrontent, créant un immobilisme handicapant pour les jeunes générations prises entre deux feux, qui en perdent leurs repères, alors même qu'ils sont nécessaires pour les aider à sortir de l'adolescence afin de s'engager sereinement dans le grand tourbillon de la vie responsable d'adulte.

Tout cela est dit avec beaucoup de poésie et d'élégance, sans jamais prendre le lecteur par la main, grâce à une multitude de doubles ou triples sens. De fait, c'est une série que, même si elle est dure et éprouvante, j'aurais plaisir à relire plus tard afin de me consacrer à la décrypter de façon plus posée, maintenant que j'en connais les tenants et les aboutissants.

En bref, une excellente série très mature mais aussi très dure, qui témoigne de tout le talent d'un mangaka dont je ne suis pas prête de bouder les oeuvres si elles sont toutes de cette envergure.

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Commentaire ajouté par Yumia 2022-04-03T14:58:45+02:00
Apprentie Geisha

J'ai beaucoup aimé ma lecture ! Les dessins sont très jolis. On suit la petite Tsuru qui a été vendue contre un sac de riz, et doit maintenant apprendre à vivre et à devenir une geisha. Pour autant, elle n'en veut aucunement à sa famille et fait ce qu'elle peut pour les aider d'où elle est, en rêvant de devenir une grande geisha. J'ai été très émue par ce récit qui ne nous cache rien de ce monde, de la vie de ces femmes qui ne possèdent même plus leur corps et n'ont pas la liberté d'aimer qui elles veulent. J'ai adoré ce petit voyage aux côtés de Tsuru qui pour moi est devenue une femme qui force le respect.

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Le Club des divorcés, Tome 1

Les challenges littéraires ont de multiples vertus. L'une d'entre elles est de me faire sortir complètement de ma zone de confort. Le Club des divorcés a eu ce mérite là.

Je ne connais rien en roman graphique. Je ne connais rien en manga.

Je connais à peine le Japon. Tout était réuni pour un voyage en terre inconnue.

Ma critique est donc un avis totalement subjectif qui ne doit en aucune cas décourager les amateurs du genre.

Moi, ça ne me va pas de devoir regarder la beauté d'un dessin, la finesse d'un trait, l'expression d'une émotion et de devoir lire des explications ou des dialogues en même temps. J'ai jamais été douée pour faire deux choses à la fois.

Je reconnais que Kazuo Kamimura a un talent fou pour dessiner des visages en gros plan ou des silhouettes en kimono. On peut y lire toute la solitude et toute la beauté du monde. L'image de couverture en est la preuve.

Par contre, il m'a complètement déstabilisée dans sa représentation du mouvement (trop souvent brusque à mon sens alors que la scène se voulait douce) et par les trop nombreuses onomatopées, "salissant" ou abimant la qualité des planches.

Bon, j'ai certainement mal choisi mon manga. Je viens de lire que cet ouvrage est un roman "seinen", un roman destiné aux jeunes hommes de 18 à 30 ans. Normal qui ne plaise pas à la veille ménagère de presque plus de 50 ans que je suis. hihi

Un roman graphique vite lu, vite digéré et certainement bien vite oublié.

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Commentaire ajouté par Joyce-1 2022-11-28T12:07:23+01:00
Lady Snowblood, Tome 3 : Epilogue

Mon avis regroupe l'intégralité de la saga. (3 tomes)

J'ai adoré, vraiment !

On est plongé au Japon, il y a les problèmes d'époque, Yuki est badasse à souhait, elle le sait, elle en joue, elle sauve beaucoup de gens, souvent en offrent son corps pour arriver a son but.

Il est beaucoup question de sexe, que ce soit lesbien où hetero mais je trouve que ce n'est absolument pas vulgaire et très beau.

Une très belle découverte !

Par contre, je ne recommande absolument le tome 3 qui est le tome de trop, il ne sert à rien, il est chiant, long, 380 pages pour rien, j'étais vraiment énervé de finir avec ce tome 3 qui m'a laissé beaucoup d'ennuis alors que si j'avais fini avec le 2eme j'aurais été 100% satisfaite !

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Treize nuits de vengeance, Tome 1

3 histoires de vengeance à l'époque d'Edo.

Attention aux TW avant de le lire

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Commentaire ajouté par Shinechi 2023-11-23T11:07:26+01:00
Le Fleuve Shinano (Intégrale)

Le style graphique est très sympa (surtout qu'on a une explication de pourquoi c'est comme ça)

Le sujet abordé est un peu difficile mais je le trouve très intéressant.

J'ai passé une agréable lecture.

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Commentaire ajouté par Chayanne 2024-02-27T10:43:33+01:00
Lady Snowblood (Intégrale)

Si y a bien un truc que j'aime, c'est les histoires de vengeance. Du coup quand j'ai vu cette intégrale passer sur Insta (merci. ), j'ai sauté le pas.

Je ne suis pas vraiment fan des mangas des années 70 en général, pas attirée par le trait, et j'avoue que l'ambiance et les dessins m'ont pas mal ralentir dans ma lecture. Clairement c'est pas mon truc les "classiques".

Pour l'histoire en elle même par contre, j'ai bien aimé. Suivre le destin tragédie et funeste de Yuki, qui porte la vengeance de sa mère comme un fardeau et un cadeau à la fois, c'est plutôt touchant.

Mais derrière la vengeance, il y a aussi la volonté de Yuki de vivre par elle même, en redresseuse de torts et défenseuse des opprimés et des femmes, ce qui est d'ailleurs plus mis en avant dans le dernier tiers de l'intégrale.

La lecture est assez inconstante, passant de phases de combats dynamiques à des explications assez fournies et longues, ce qui donne un rythme pas toujours hyper confortable.

Du coup, oui j'ai aimé, mais sans plus.

C'est ni un coup de coeur ni une déceptio

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On parle de Kazuo Kamimura ici :

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Editeurs

Kana : 17 livres

Dargaud : 3 livres

Éditions Asuka : 3 livres

Kazé : 3 livres

Le Lézard noir : 1 livre