Graham Masterton
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Quelques chiffres
Note moyenne : 7.93/10Nombre d'évaluations : 983
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Les derniers commentaires sur ses livres
Dans ce troisième volet, on découvre un Misquamacus encore plus virulent qui se trouve un allié très puissant et s'alliant avec un démon pouvant provoquer des désastres inimaginables.
On retrouve Harry, Karen et Amélia aux prises avec Misquamacus.
L'auteur nous fait revivre de nombreux drames qui ont vu les Indiens se faire massacrer par les soldats américains ou les premiers colons.
Action, histoire et Horreur, c'est du grand Masterton !
Afficher en entierJ'ai lu mon premier Graham Masterton il y a des années, et j'ai eu subitement envie de me replonger dans un de ses livres. J'ai eu un excellent pressentiment dès le début de ma lecture, me disant même que cet auteur pourrait surpasser Stephen King (je n'en suis pas un fan particulier, mais c'est quand même une référence dans le genre fantastique un peu horrifique). Maintenant que j'ai fini ma lecture, je me dis qu'il y a tout de même 2 ou 3 incohérences qui me chagrinent Spoiler(cliquez pour révéler), la plus notable étant celle liée à la disparition de Laura : son mari dit à Vincent qu'elle n'a laissé aucun mot et que ça ne lui ressemble pas, alors qu'il est écrit, lors de la scène où Cordelia débarque chez eux, que Laura laisse un mot sur le tableau noir de leur appartement ! ça m'a beaucoup perturbé.
Le petit truc qui m'a manqué, je dirais, et qui m'aurait permis d'avoir mon premier coup de cœur depuis longtemps, c'est plus de travail sur les personnages, leur personnalité, leur histoire, etc. Pour le coup, c'est quelque chose que j'aime bien retrouver dans mes lectures, et là, on n'avait quasiment rien à se mettre sous la dent. Je mettrai aussi un tout petit bémol sur l'aspect fantastique. Spoiler(cliquez pour révéler)La façon dont la séance de spiritisme a été organisée à l'hôpital m'a un peu étonné, et même si c'est dit plus tard que Jack, le shérif, était complètement perdu dans ses croyances, j'ai trouvé que c'était amené de façon un peu abrupt, et c'était difficile pour moi de croire qu'un Shérif et un médecin se lanceraient aussi vite dans une séance de spiritisme et, surtout, accompagnés de Vincent, c'est-à-dire quelqu'un qui a quelque chose à voir avec l'enquête de Jack, mais pas au point de devenir des copains aussi facilement. Mais bon, ce n'est pas un livre policier, donc le sujet, ici, ce n'est pas l'enquête de Jack. J'aurais juste aimé que tout ce qui était lié à Pat et ses "facultés de medium" soit apporté d'une autre manière car ça m'a désagréablement surpris sur le moment...
Au-delà de tout ça, j'ai beaucoup apprécié ma lecture, j'ai aimé les idées de l'auteur, j'ai trouvé que sa plume était très agréable à lire. Au niveau des descriptions des lieux, c'était ni trop ni pas assez. J'aurais adoré que ce bouquin soit encore plus long, pour en apprendre encore plus sur cette fascinante famille Gray. Pour avoir un vrai de coeur, il m'aurait sûrement fallu plus de contenu.
En résumé, c'est un très bon roman, dommage que ce ne soit pas allé jusqu'au coup de coeur car la thématique me plaisait beaucoup. Quelques bémols que, je pense, s'estomperont vite dans mon esprit. Je relirai du Masterton sans hésiter.
Afficher en entierIl est l'un des nombreux livres que j'ai empruntés à ma maman et quand j'ai vu qu'elle avait un Graham Masterton dans sa collection, je n'y ai pas réfléchi à deux fois. Et malheureusement pour moi, c'est un flop... 👎🏻
L'auteur nous emmène à New Milford, Connecticut. Alison et Jimmy Bodine font appel à Mason Perkins, plombier, car leur eau est légèrement colorée et sent un peu le poisson. Peuvent-ils continuer de la boire sans danger ? Mason prélève un échantillon et le rapporte au Service de Santé pour analyses. Plus les analyses s'approfondissent et se peaufinent, plus les événements qui se manifestent dépassent l'entendement... 🦀
Deuxième de l'auteur que je lis, et si Démences m'avait fait forte impression, je suis déçue avec Les puits de l'enfer. Les premières pages pourtant m'ont embarquée, m'ont intriguée. C'était terriblement prenant et les analyses faites par Dan ont piqué ma curiosité 👀 Qu'est-ce qui se passe avec cette eau ? C'était très mystérieux et je n'avais qu'une seule hypothèse... qui s'est révélée fausse 😆
Ce qu'on apprend sur cette eau est vraiment écœurant et, bon, j'ai plutôt apprécié ça. Car l'eau du puits des Bodine a la capacité de changer quiconque la boit en créature des mers. Terrifiant 😨 Lorsque le premier mort survient, un enfant noyé dans sa propre chambre, ça soulève un tas de questions. Comment est-ce possible ?
En dehors de ce contexte anxiogène, j'ai beaucoup aimé les personnages. Mason, dont l'humour m'a séduite au début et m'a cruellement manqué par la suite. Dan, l'analyste, courageux et méthodique. Carter, le flic, ouvert d'esprit et investi de sa mission sacrée de « protéger et servir ». Ils sont l'énorme point fort de ce livre et qui m'auront fait tenir jusqu'à la fin 🥰
Et puis, il est arrivé un moment où tout mon intérêt s'est dissipé. Graham Masterton, dans son envie de rendre hommage à H.P. Lovecraft, m'a totalement perdue. Je suis la première à le déplorer. Je n'ai pas du tout aimé la direction qu'a pris l'histoire 🦠 Si j'avais accroché au départ grâce au mystère, j'ai commencé à m'ennuyer ferme après. J'avais cette impression d'avoir démarré sur les chapeaux de roue et de ressentir un essoufflement irréversible.
Le charme a été rompu. Sans compter la longueur des chapitres qui a alourdi la lecture et cassé le rythme à l'histoire. Dites-vous que le format poche ne contient que 284 pages, divisées en seulement dix chapitres. Croyez-moi, c'est extrêmement long. Deux autres livres de l'auteur attendent dans ma PAL et je commence à me dire que je suis peut-être allée un peu trop vite en besogne à vouloir lire toute sa bibliographie 😅
Un conclusion, excellent départ qui n'a pas été à la hauteur de la suite et c'est fort dommage. Si vous l'avez-vous, qu'en avez-vous pensé ? Est-ce un auteur que vous aimez lire ?
Afficher en entierLa première chose qui frappe en lisant ce roman est que Graham Masterton a su en faire bien plus qu'un simple « deuxième épisode » d'une série qui pourrait en compter éventuellement d'autres. Par sa construction, La Vengeance du Manitou, diffère sensiblement du premier volume, ne serait-ce que par l'apparition fort tardive des deux héros de celui-ci, Harry Erskine et Singing Rock. D'autre part, le livre est plus « consistant », plus ambitieux, tout au moins dans les ramifications que l'auteur a ajouté au personnage de Misquamacus, des ramifications qui vont jusqu'aux Mythe de Cthulhu, si l'on en croit certaines allusions. Nous avons donc ici non pas un simple (si j'ose dire...) démon indien assoiffé de vengeance, comme c'était le cas dans Le Faiseur d'Epouvantes, mais l'apparition d'une mythologie assez fouillée qui amplifie le propos du roman.
Afficher en entierTrès bon roman, l'histoire est très original et il y a beaucoup de suspense.
Certaines scènes sont très gore et très détaillé mais je commence à avoir l'habitude avec cet auteur.
Afficher en entierJ'avoue que je n'ai pas trop accroché a cette histoire et ce n'est pas faute d'avoir essayé. Le livre en lui même est très bien écrit mais je ne suis pas vraiment rentré dedans et l'ai trouvé très long.
Afficher en entierJ'ai bien aimé le prémisse avec le tank de la seconde guerre mondial maudit. Les descriptions étaient impactantes que ce soit celle sur la campagne des années 70 ou les passages d'horreurs. Aussi j'ai beaucoup aimé lire toute la culture religieuse/ésotérique qui nous étaient présenté. Cependant je n'ai pas DU TOUT eu peur alors que je suis une véritable flipette. Ce qui m'a rebuté ce sont les passages avec les sous entendus sexuelles qui n'apportent rien a l'histoire. Ce sont des passages crues et de mauvais goûts qui sont seulement là parce qu'il y a une fille.
//Spoilers//
Je n'ai pas aimé le démon qui je trouvais manquait de superbe, je l'ai juste associé au démon qui aime les trucs qui piquent et transpercent ce qui n'est pas sérieux de ma part mais je n'ai pas pu m'en empêcher.
Le pire des passages pour moi c'était ce fameux démon qui manifestent des tentacules et qui se glissent sous les draps qui approchent "entre les cuisses" de Madeline. C'était graveleux et de trop.
Afficher en entierJ'avais déjà lu le Démon des Morts, et j'ai découvert ce roman. Dans l'ensemble, je dirais que j'ai bien aimé ce livre : l'écriture, le suspens, le côté fantastique. Cela créée une certaine additivité, on a envie de savoir ce qui se passe et comment les personnages vont s'en sortir. Toutefois, âmes sensibles s'abstenir, certaines scènes sont assez trash
Afficher en entierUn démon se libère de la "prison" où il est enfermé, pour se reproduire et conquérir le Monde.
L'histoire est bonne, mais la construction est un peu bordélique. On passe du coq à l'âne. L'orthographe et la conjugaison ne sont pas au point, c'est, peut-être, dû à une mauvaise traduction.
Il y'a de l'action, mais certaines descriptions sont assez confuses.
Malgré les quelques soucis c'est lisible.
Cette lecture est au choix de chacun. Il ne faut pas être sujet aux cauchemars, le démon pourrait vous visiter.
Afficher en entierMon livre de chevet depuis plusieurs annees. La reine des neiges revisite par une gamine fantome de 6 ans avec des pouvoirs surpuissants qui veux proteger ses soeurs des "mechants".
Afficher en entierOn parle de Graham Masterton ici :
2018-10-29T12:50:15+01:00
2010-11-15T23:58:51+01:00
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Dédicaces de Graham Masterton
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
Pocket : 65 livres
Bragelonne : 17 livres
Head of Zeus : 14 livres
N.E.O. (Nouvelles éditions Oswald) : 11 livres
Fleuve Noir : 10 livres
Presses de la Cité : 8 livres
Milady : 7 livres
France Loisirs : 5 livres
Biographie
Graham Masterton, né à Edimbourg en 1946, est l'un des auteurs d'horreur les plus renommés et populaires au monde, privilège qu'il partage avec Stephen King et Dean Koontz. Auteur de plus de 35 romans d'horreur, mais aussi policier, jeunesse… ainsi que de manuels d'érotisme vendus à 3 millions d'exemplaires (il a été rédacteur en chef de Penthouse), il a commencé sa carrière en 1976 avec Manitou, best-seller immédiat qui fut adapté au cinéma avec Tony Curtis et a connu deux suites et une nouvelle.
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