Yoko Kamio
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Note moyenne : 7.93/10Nombre d'évaluations : 1 779
0 Citations 490 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Un très bon tome, on voit comment evolue Keito et je trouve ça trop mignon
Afficher en entierUn tome sympa bien qu un tout petit peu moins interessant que les tomes precedents, j ai quand meme hate de lire le prochain tome
Afficher en entierEncore un tome sympa, il y a des avancer pour la plupart des personnages
Afficher en entierEncore un tome sympa ou les personnage ont bien evolué
Afficher en entierEncore un tome bien sympa, avec des personnages tout mignon et un petit suspens a la fin
Afficher en entierEncore un tome bien sympa et tout mignon et une fin digne de ce nom
Afficher en entierJ'apprécie toujours autant ce manga, même si la relation entre Tsukushi et Tsukasa avance à pas d'escargot, surtout à cause de la pudibonderie de Tsukushi. Je ne m'attends pas à ce qu'ils sautent dans un lit à la première occasion mais là, ça en devient presque exagéré. Je trouve ça un peu agaçant et j'attends avec impatience, dans les tomes suivants, des rebondissements de toutes sortes pour relancer l'intrigue et l'intérêt de cette série.
À côté de ça, dans ce tome, l'auteure donne une part importante à un personnage secondaire bien connu, Sôjirô Nishikado. C'est d'ailleurs lui qui est en couverture et qui est aussi le héros de la nouvelle bonus.
Afficher en entierKeito est devenue actrice dans sa jeunesse, mais suite à un blanc sur la scène elle n’est plus la même, elle ne va plus du tout à l’école et sort à peine de chez elle. Jusqu’au jour où le directeur d’El Liston l’interpelle dans la rue et lui parle d’une école active. C’est là-bas qu’elle va y rencontrer Koichi, Rei et Momiji, qui vont devenir bien plus que de simples amis.
Ce manga parle de harcèlement, de santé mentale. On y observe une amitié très forte se construire entre les personnages qui ont chacun vécu des difficultés, ils vont se soutenir, s’entraider, être là les uns pour les autres, jusqu’au jour où ils tiendront debout par eux-même et pourront faire face aux épreuves.
Afficher en entierJe demandais des rebondissements pour relancer l'histoire que je trouvais un peu poussive dans les précédents tomes, et bien là, je suis servie. Ce volume ne nous laisse pas une minute de répit : Tsukushi et Tsukasa se retrouvent seuls sur un bateau, qui fonce vers une destination inconnue, apres s'être fait kidnappés. Et, la fin me fait regretter de ne pas avoir tout de suite le tome suivant, sous la main, pour voir ce que l'auteure réserve d'autre à nos héros.
Afficher en entierCe tome est une bonne conclusion pour la série : la fin est suffisamment ouverte pour qu'on ait une bonne idée de ce qui va se passer, tout en laissant une part à l'imagination. Les personnages ont évolué tout au long de la série, dans une évolution de l'adolescence à l'âge adulte et c'était agréable à voir et à lire. La dernière partie du tome est une nouvelle bonus, concernant Mimasaka. C'est un personnage très secondaire et qui n'a jamais été mis en avant dans la série, contrairement à ses amis du F4. Cependant, je n'ai pas trouvé que ce bonus apportait beaucoup à la série, peut-être intervient-il trop tard dans l'histoire.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
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Editeurs
Shûeisha : 64 livres
Glénat : 53 livres
Viz Media : 37 livres
Kana : 16 livres
Panini Manga : 6 livres
Glénat Manga : 2 livres
Biographie
Yoko Kamio est une artiste de manga japonais, ainsi qu'un écrivain, que l'on nomme mangaka. Elle est surtout connue pour son œuvre Hana Yori Dango pour laquelle elle a reçu en 1996 le Shogakukan Manga Award. Son travail a été traduit et distribué en Asie, en Europe et en Amérique.
Yoho Kamio n'a jamais eu l'intention de mangaka lorsqu'elle était jeune. A l'origine, elle avait étudié dans une école de secrétariat, mais son amour pour le dessin l'a finalement mené à s'égarer dans ce projet. Finalement, elle rentre dans le domaine des Mangaka en 1989. Dans les années suivantes, Kamio publiera Suki Suki Daisuki, Ano Hi Ni Aitai, et Meri-San no Hijutsu dans Margaret avant de créer Hana Yori Dango en 1992.
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