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David Mazzucchelli

Auteur

257 lecteurs

Activité et points forts

Thèmes principaux

ajouté par Lilou 2011-01-31T22:27:19+01:00

Biographie

David Mazzucchelli, né à Providence (Rhode Island) en 1960, est un auteur de bande dessinée américain.

Il se fait connaître au cours des années 1980 en illustrant les aventures de Daredevil (Marvel) et celles de Batman (DC), sur des scénarios de Frank Miller. Son dessin sobre (expressionniste) le fait immédiatement remarquer, mais il prend rapidement ses distances avec l'industrie des comics.

David Mazzucchelli abandonne le genre "super-héros" pour se concentrer sur des projets plus littéraires, intimistes, notamment dans son propre comic-book, Rubber blanket ou encore il collabore avec l'écrivain / artiste Paul Karasik sur une adaptation graphique de la Cité de Verre de Paul Auster, adaptation saluée par Art Spiegelman. Dernièrement, en 2009, Pantheon Books a publié son très original roman graphique Asterios polype[1].

Il réalise également des illustrations pour diverses publications, et des couvertures pour le New Yorker.

Il enseigne la bande dessinée à l'école de design de Rhode Island et à l'école des Arts visuels de New York.

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Quelques chiffres

Note moyenne : 8.23/10
Nombre d'évaluations : 65

0 Citations 23 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de David Mazzucchelli

Sortie France/Français : 2012-07-27

Les derniers commentaires sur ses livres

DC Comics : Le Meilleur des super-héros, Tome 14 : Batman : Année un

Je n'avais jamais lu de BD avant celui-ci, et j'ai pu essayer cet univers grâce à un ami du lycée qui a bien voulu me le prêté. N'étant pas du tout habitué au style des BD j'ai mis un peu de temps à m'adapter. J'adore le personnage de Batman et je dois avouer qu'à part regarder les films je me suis rendu compte que je ne connaissais quasiment rien de ce personnage (ce n'est plus le cas maintenant, heureusement).

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Commentaire ajouté par Alkiyan 2017-09-05T17:48:14+02:00
Asterios Polyp

Une oeuvre qui séduira les amateurs de bande dessinée philosophico-littéraire, et dont la construction graphique très originale mélange de façon parfois déroutante les références au cubisme et aux dessins de "comics".

Le ton général m'a rappelé, par des tas de petits détails en arrière-plan, celui du regard humoristique et désabusé de films et de séries dans le genre de "Fargo".

Je préfère la couverture actuelle à celle qui illustre cet article: elle correspond mieux à l'esprit et au style du livre.

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Commentaire ajouté par Lili-Prune 2017-10-31T14:21:03+01:00
Asterios Polyp

Cette BD m'a plu dès les premières pages, mais je n'aurais pas pensé qu'elle me toucherait autant. Par où commencer...

Nous suivons la vie d'Asterios Polyp, un personnage plutôt antipathique mais pour qui l'on développera malgré toute une grande empathie au fil de l'histoire. C'est un récit intellectuel et sentimental à la fois, dont l'intérêt réside avant tout dans la façon dont il nous est conté.

Ce qui frappe au premier regard, ce sont les graphismes géométriques et la palette de couleurs limitée. On remarque directement la forme étonnante et parfaite de la tête d'Asterios, mais chaque personnage a une silhouette bien particulière et immédiatement identifiable. J'ai énormément aimé les dessins ; il est étonnant de trouver une telle générosité dans des graphismes si nets, géométriques et précis. Chaque personnage, chaque objet, chaque élément du décor, chaque mise en page est un régal pour les yeux.

Mais surtout, petit à petit, on se rend compte que les graphismes s'adaptent merveilleusement bien à l'histoire pour souligner telle chose, attirer l'attention sur telle autre, traduire avec délicatesse les pensées d'un personnage ou bien ses sentiments. Bien entendu, c'est le cas dans n'importe quelle BD (c'est bien l'intérêt de mélanger du texte et de l'image) mais ce phénomène est porté ici à son paroxysme, la forme en disant parfois autant, voire davantage que le texte.

On note par exemple que chaque personnage qui parle possède son propre type de phylactère et sa propre typographie, qui sont bien entendu le reflet de sa personnalité et aident encore mieux à comprendre qui il est.

De la même façon, Asterios et Hanna sont parfois représentés avec un traitement graphique qui illustre leurs natures profondes et antagonistes : volumes géométriques rigides bleu clair pour Asterios et valeurs d'ombre et de lumière au trait rouge pour Hanna s'opposent lorsque leur différence les unit ou les repousse l'un de l'autre.

La mise en page est sans cesse changeante et fluctue au rythme de l'action, des dialogues. Je pourrais citer une longue liste des façons dont elle vient compléter et enrichir le propos, principalement en nous offrant des petits détails essentiels sur les personnages : ici, Hanna perd l'attention parentale, ici, elle n'arrive pas à s'imposer face à Asterios, ici, elle est distraite, ici Asterios doute, ici il se souvient.

Je trouve incroyable que des images arrivent à nous dire autant, et d'une si belle façon. Spoiler(cliquez pour révéler)Les quelques pages qui m'ont le plus émue sont celles où Asterios, du simple fait d'une ampoule au pied, se met à se remémorer sa vie quotidienne avec Hanna. Autour du fil rouge que constitue une anecdote minuscule et amusante (elle s'est coincé un bout de coton-tige dans l'oreille et Asterios le lui retire), une foule de cases nous montrent tous les détails triviaux et physiques liés à Hanna. On la voit manger, pleurer, être malade, se moucher, vomir, se raser, se couper, jouer avec son chat, aller aux toilettes, se peigner, dormir, ronfler... toutes ces petites choses reflètent l'intimité qu'Asterios entretenait avec elle et retranscrivent mieux que n'importe quel mot la mélancolie qu'il ressent.

Je m'arrête là mais je pourrais continuer un moment tant le livre fourmille de ces détails subtils.

J'ai parlé pratiquement uniquement de la puissance graphique du livre mais ce n'est pas son unique qualité : les personnages sont d'une touchante humanité, la quête personnelle d'Asterios (cet homme rigide qui ne sait penser que de façon binaire) nous est contée d'une façon non-linéaire, le livre est émaillé de petites touches d'humour, de références, voire d'allégories, les dialogues sont savoureux...

Bref, cette BD est à mes yeux un chef d'œuvre.

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DC Comics : Le Meilleur des super-héros, Tome 14 : Batman : Année un

Le début des aventures de Batman, même si le style graphique est assez daté, il n'en est pas moins bon, et il est toujours agréable de découvrir ( ou redécouvrir) l'origine d'un mythe de la fiction.

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DC Comics : Le Meilleur des super-héros, Tome 14 : Batman : Année un

Un roman graphique intimiste de très haute volée auquel l'on adhère dès la première planche .

Batman : Année Un s'avère comme fondateur et se pose en véritable hommage du genre. Un Incontournable !

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DC Comics : Le Meilleur des super-héros, Tome 14 : Batman : Année un

Spoiler(cliquez pour révéler) une tuerie surtout en version noire et blanc

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DC Comics : Le Meilleur des super-héros, Tome 14 : Batman : Année un

Au début, j'ai eu un peu de mal avec le style de dessin. C'est très particulier, mais, finalement, c'est aussi ce qui fait la force de ce comics. D'ailleurs, j'ai bien aimé le clin d’œil au Nighthawks d'Edward Hopper. Quant à l'histoire, elle m'a vraiment plu, à ceci près que ça me perturbe toujours quand Barbara est la femme de Gordon et non sa fille (je veux dire, celle qui tient ce rôle d'agent supplémentaire auprès des protagonistes ; que voulez-vous, j'ai commencé avec Killing Joke). Et j'ai été très, très frustré que l'histoire s'arrête alors qu'on entendait tout juste parler du Joker (mon éternel préféré), mais j'ai beaucoup apprécié ma lecture.

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DC Comics : Le Meilleur des super-héros, Tome 14 : Batman : Année un

Il est tout à fait possible de découvrir Batman en 2021 : c’est ce que j’ai fait avec ce comics. J’ai beaucoup apprécié de découvrir les débuts de ce superhéros iconique même si le livre fait également la part belle à l’inspecteur Gordon, qui est un personnage des plus intéressants. La seule chose qui m’a un peu moins plu (mais ça doit venir de moi), c’est le fait que j’ai eu du mal à comprendre une partie de l’intrigue qui semble pourtant des plus importantes puisqu’elle conclut le comics… Elle m’a semblée un peu mal amenée. Mais à part ce détail, ce fut une excellente découverte.

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DC Comics : Le Meilleur des super-héros, Tome 14 : Batman : Année un

J'ai adoré ce comics à l'ambiance plus policière que super-héros. Cela est probablement dû au fait que le narrateur est principalement le Lieutenant Gordon, policier intègre mais tourmenté, juste après sa mutation dans une Gotham City viciée par le crime. Au même moment, le riche héritier Wayne est de retour après une absence de 12 ans. Dommage que finalement, pour un tome intitulé "Batman : Year One", on en apprenne si peu sur Batman...

J'ai lu l'édition américaine de 2005 (couverture rouge et noire), et les crayonnés de Mazzucchelli en bonus sont top !

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DC Comics : Le Meilleur des super-héros, Tome 14 : Batman : Année un

Enfin un truc qui se laisse lire !! Mais y a mieux. C'est l'histoire de Jim Gordon comme dans la série Gotham. L'origine story n'est pas cool. Chauve-souris, qui, venant de nulle part, pète une fenêtre. Père qui veut que Bruce soit Bat. Très vieille histoire, on a connu tellement mieux depuis.

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Dédicaces de David Mazzucchelli
et autres évènements

Aucun évènement prévu

Editeurs

Urban Comics : 2 livres

Casterman : 1 livre

Alfred A. Knopf : 1 livre

Hachette : 1 livre

Actes Sud : 1 livre

Panini comics : 1 livre

Eaglemoss : 1 livre