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Nicolas Zeimet

Auteur

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Quelques chiffres

Note moyenne : 7.43/10
Nombre d'évaluations : 14

0 Citations 19 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Nicolas Zeimet

Sortie Poche France/Français : 2018-05-15

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par Armony22 2018-01-12T19:18:56+01:00
Retour à Duncan's creek

"Le destin n'est rien d'autre que la part de bonheur ou de malheur, le lot de fortune ou d'infortune, qui échoit à chacun à la naissance, et la vie distribue ses cartes au hasard."

Jake, Ben et Sam.

Ils étaient comme les trois doigts de la main, liés par une amitié indéfectible jusqu'à ce terrible événement un soir d'Halloween qui marquera leur séparation.

30 ans plus tard, un coup de fil de son amie Sam et Jake se voit contraint de retourner à Duncan's Creek.

Nous allons suivre Jake dans son voyage pour retourner à la fois à Duncan's Creek, une petite ville perdue au milieu de l'Utah où il a passé son enfance, et dans sa mémoire qui va faire ressurgir les souvenirs enfouis du passé.

Un road trip à travers les paysages désolés et désertiques de l'Amérique profonde. Les magnifiques descriptions nous plongent dans l'ambiance, on s'y croirait. Ce livre ne se lit pas, il se regarde, comme un film. J'adore !

Au fur et à mesure qu'il avance dans son périple, Jake déterre les souvenirs du passé. Quel tragique événement a mis fin à leur amitié et à leur enfance ? Nous allons le découvrir petit à petit, ça et d'autres secrets oubliés.

Dès le départ, on s'attache à ces trois adolescents, différents, chacun sa personnalité et pourtant ils semblent n'en former qu'un. On a l'impression de faire partie de leur bande.

Un roman noir superbement écrit. Un soupçon de Stand by me, mêlé de plein de références musicales et autres des années 80, un régal.

Mais aussi beaucoup d'émotions, du rire, de la tristesse, de la nostalgie. Beaucoup de tendresse aussi. Ca remue pas mal.

J'ai beaucoup aimé et je ne peux que vous le recommander. Je vais pour ma part m'empresser de lire le précédent roman de cet auteur.

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Commentaire ajouté par Joyeux-Drille 2018-02-17T18:52:47+01:00
Retour à Duncan's creek

Si "Seuls les vautours" lorgnait vers le fantastique, ce roman (qui n'est pas sa suite) est un pur roman noir. Un road-trip sombre, où les souvenirs du passé remontent. Les faits, présents et passés, donnent bien des émotions au lecteur. Deux fils narratifs alternent, aujourd'hui et hier, et l'histoire se dévoile petit à petit dans sa violence. Un roman sur fond de nostalgie de l'enfance révolue.

http://appuyezsurlatouchelecture.blogspot.fr/2018/02/cetait-cette-peur-irrepressible-et.html

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Commentaire ajouté par Sabine29200 2018-05-31T13:52:07+02:00
Seuls les vautours

Pour être franche, à la lecture des, disons, 100 premières pages, je ne trouvais rien d'exceptionnel à ce polar, assez classique dans l'écriture et le déroulement. Plaisant, sans plus.

Mais avançant dans la lecture, je me suis vite rendue compte que cette opinion était erronée : en plus d'un polar basé sur la disparition d'une petite fille, c'est toute la vie d'une petite ville qui apparaît et est en fait la clé de l'énigme.

L'auteur réussit en utilisant des trames assez classiques du genre, à faire un polar assez original et prenant qu'on prend de plus en plus plaisir à lire au fil des pages.

Mention spéciale au fait que l'histoire se passe dans les années 1980, bien avant Internet, les portables et la foultitude de réseaux sociaux qui parasitent bon nombre de romans et surtout de polars sous la forme "Saints réseaux sociaux en tout genre protégez/guidez-nous".

Un très bon premier roman !

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Commentaire ajouté par Irene-Adler 2018-08-05T22:38:00+02:00
Retour à Duncan's creek

Le pari était osé, risqué, même : faire une suite de "Seuls les vautours", roman noir époustouflant où l'auteur avait su insuffler des véritables senteurs des années 80 dignes d'un King.

La suite me faisait un peu peur, mais mes petits copains blogueurs ont su calmer mes angoisses en me certifiant que la suite était une belle suite et qu'il fallait que je la lise.

Les salauds avaient raison : la suite est d'un haut niveau et j'ai retrouvé une partie de la palette des émotions que j'avais ressentie lors de la lecture de "Seuls les vautours". Pas tout à fait les mêmes émotions, mais j'en ai eu pour mes sous, je vous assure.

Déjà que l'auteur a réussi à me donner l'équivalent d'un coup de poing dans le plexus dans ses premières pages, lorsque Jack s'arrête au milieu de nulle part avec Sam. Là, il m'a coupé la chique.

Une partie du plaisir de lecture réside dans la construction du récit qui alterne les "aujourd'hui" avec les "hier", les deux pouvant se confondre dans le récit, se compléter, se mélanger harmonieusement.

De plus, l'auteur a réalisé un petit puzzle qui fait que l'on ne découvre l'histoire qu'au fur et à mesure de sa lecture, nous réservant grâce à cette construction des petites surprises, des sursauts, nous déroulant une histoire à l'envers.

Rassurez-vous, pas besoin de carte ou de GPS pour retrouver son chemin, il est bien balisé et si on possède un cerveau normal, on aura le film qui se déroulera dans notre tête.

En parlant de film… La chose la plus remarquable, dans ce roman noir, en plus des personnages bien détaillés, vivants, réalistes, c'est le fait que dans ses descriptions, l'auteur m'ait fait vivre les scènes d'amitié, de rigolade, ou de drame comme si j'y étais et je peux vous dire que j'ai eu l'impression de me trouver dans le corridor lorsque le drame est arrivé.

Ceci est un roman noir bien construit, profond, avec une écriture qui n'a rien de neuneu ou de simpliste, les descriptions sont détaillées, mais sans qu'elles ne submergent le récit et n'étouffent les personnages, qui eux, sont tels qu'auraient pu être trois jeunes enfants devenant ados, se faisant des promesses qu'ils ne tiendront jamais d'amitié à vie.

Un roman noir que j'ai dévoré, regrettant ensuite d'arriver à la fin car la palette d'émotions m'avait fait passer par tous les stades, le dernier étant la tristesse de quitter mes amis, devenus adultes.

Ce roman, c'est une traversée de plusieurs états des États-Unis, un road trip pour un retour en arrière, sorte de retour vers le passé, une plongée dans un abîme de sentiments, de souvenirs qui ne laissera pas son personnage principal indemne.

Un roman noir puissant, même si un cran en-deçà de son précédent "Seuls les vautours" qui lui, était exceptionnel.

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Commentaire ajouté par Irene-Adler 2018-08-05T22:39:13+02:00
Seuls les vautours

Bienvenue dans le trou du cul de l'Utah ! Duncan's Creek, petite ville peuplée de mormons avec des idées rétrogrades, de Gossip Woman pourvues de sacrées langues du vipère, d'un shérif antipathique et de toute une population assez haute en couleur.

Les seuls vautours que vous verrez dans ce roman font partie de cette espèce de charognards que je haïs : ceux qui se rassemblent devant une catastrophe et qui y vont de leurs petits commentaires fallacieux, fielleux et médisant. On les nommeras des « voyeurs morbides » car ils se repaissent d'événements dramatiques.

Malgré tout, l'ombre du grand rapace charognard plane et planera sur tout le récit : une petite fille de 5 ans a disparu et ce n'est pas le premier enfant qui disparaît.

Mais qu'est-ce qui se passe à Duncan's Creek, doudou dis-donc ? Y aurait-il un croquemitaine ? J'ai l'air de prendre ça à la rigolade, mais je vous rassure de suite, l'affaire est grave.

Que voilà donc un roman magistral qui m'a entrainé sur les pentes escarpées du Devil Trail à la recherche de la petite Shawna, gamine innocente née dans une famille dont le père est un fainéant de première, protégé par sa famille qui voyait en lui un saint et qui a disparu il y trois mois. Bien fait, tiens !

Il y a une telle tension dans le récit, parfois, que j'étais contente de me changer les idées avec les aventures des autres personnages qui gravitent dans le récit.

Malheureusement, cette baisse de tension n'était que temporaire, tout le monde a des squelettes dans ses placards et le récit est digne d'un excellent roman noir tant la condition sociale y est décrite d'une manière féroce. C'est tout un pan de la société qui s'offre à nous dans ce microcosme et vous reconnaitrez des gens de votre entourage dans les habitants.

Les personnages ont des histoires qui se croisent et des destins qui s'entrecroisent, le tout étant raconté avec une maestria qui me laissera sans voix. On a l'impression qu'on gravite avec eux dans leur quotidien, suivant leurs pas dans cette petite ville des années 80, cette époque non polluée par le Net ou les GSM (et ça a toute son importance).

Toute cette petite galerie qu'on apprendra à connaître, à aimer, à détester (pour certains, je préconise le lance-flamme, directement), tous ces gens parfaitement décrits qui nous apprendront leurs histoires, leurs désirs, leurs pensées, leurs blessures secrètes… le tout avec une bonne dose d'ironie et de cynisme.

Les descriptions, les récits des autres personnages, l'ambiance – tantôt sombre, tantôt plus douce ou romantique, le suspense, l'avancée du récit – tout est maitrisé et diffusé selon une prescription médicale des plus étudiée. Ni trop, ni trop peu. Juste assez pour nous rendre addict et faire que l'on en veuille plus ! Les 475 pages passant juste un peu trop vite à mon goût.

Accrochée dès le départ, mon coeur a eu peur pour la petite, mais, entraîné dans le récit des autres, j'en suis même arrivée à l'oublier, et de ça, je ne suis pas fière, mais l'auteur, lui, peut l'être !

C'est un tourbillon d'émotions que je viens de vivre ! Bluffée, menée par le bout du nez, plongée dans les misères des gens, ayant des envies de meurtres, dégoûtée par les ragots des langues de vipères qui font plus de mal que de bien, tenant fermement ma lampe de poche lorsque je cherchais la petite avec eux, me donnant l'impression que je vivais avec eux, étreignant plus mon livre lors des moments « suspense » et le refermant avec un sourire mêlant à la fois le plaisir et la tristesse.

Du plaisir à lire cet auteur français qui a réussi à me faire oublier sa nationalité française, tant j'avais l'impression de lire un bon auteur « yankee » et de la tristesse à l'idée de devoir refermer ce livre une fois arrivée au mot « fin ».

Merci Nicolas (Tu permets que je t'appelles par ton prénom après toutes les émotions que tu m'as donné ?), pour ce roman qui avait des airs de ressemblances avec les ambiances des petites villes reculées des romans du King. Oui, merci pour ce putain de magnifique roman que j'ai lu sous les bons conseils de l'ami Yvan.

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Commentaire ajouté par stoufnie 2018-09-16T10:03:44+02:00
Retour à Duncan's creek

J’ai enfin sorti ce roman de mon immense PAL pour mon plus grand plaisir et j’espère le votre si vous me lisez et me faites confiance

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Commentaire ajouté par Christele-1 2018-10-23T16:54:55+02:00
Les enfants de Lazare

Pierre est journaliste à France télévision, il s’attache à Agathe une jeune femme d’origine cambodgienne adoptée par un couple de français et qui chante dans les rues de Paris. Troublé par un fait divers incroyable au Cambodge où l’on apprend que le jeune Sokhom 8 ans est revenu à la vie pendant quelques instants lors de ses funérailles. Sans savoir vraiment les pistes qu’il devra emprunter, il sent qu’il y a peut-être un lien et décide de se rendre sur place. Le Cambodge sera le fil conducteur de ce superbe thriller, des orphelinats aux temples d’Angkor, des expériences de mort imminente à la résurrection. J’ai été envouté par ce pays qui porte encore les stigmates de l’épuration des Khmers rouges. Au côté des rencontres que fait Pierre pour son enquête on découvre un pays où la pauvreté est endémique, la corruption présente à tous les niveaux et les politiques d’adoptions pas vraiment transparentes. On sent un véritable travail de recherche de la part de l’auteur et cela fonctionne vraiment bien. Les descriptions sont plus vraies que nature et on tourne les pages sans s’en rendre Prêt pour embarquer avec Pierre au Cambodge pour mener une enquête pas comme les autres ? compte tout en attendant le prochain rebondissement. Les deux thèmes abordés sont des sujets sensibles. Que se soit celui de l’adoption avec ces parents en manque d’enfants et qui sont prêt à passer par des voies plus obscures pour pouvoir repartir avec leur bébé. Ou encore celui de la vie après la mort qui laisse un vaste champ des possibles où j’ai pensé un temps que l’auteur aller ajouter une touche de paranormal à son roman mais la direction prise était finalement bien plus terre à terre et je vous laisse en découvrir toutes les subtilités. Un livre attrayant où l’on découvre un pays sous un angle original qui très vite est devenu pour moi un thriller haletant. Je découvre Nicolas Zeimet avec ce premier livre et je sais déjà que je vais m’attarder sur ses écrits et le suivre à l’avenir. Bonne lecture.

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Commentaire ajouté par LOANDRE 2019-01-06T22:09:12+01:00
Comme une ombre dans la ville

J'ai bien aimé ce thriller, bien pensé et bien maitrisé jusqu'au bout. La personnalité de chaque personnage est bien détaillée et donne de l’intérêt au récit. Une intrigue articulée en 3 parties qui monte en puissance tout au long du roman pour finir en apothéose. Nicolas Zeimet nous guide dans les rues de San Francisco, avec ses ruelles, ses parcs, ses collines, son tramway, et le Golden Gate dans le brouillard. Tout cela est parti intégrante de l'histoire. Ce qui est indéniable est que cet auteur sait se renouveler et changer d'univers en quelques romans.

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Commentaire ajouté par Brunilde 2019-02-14T15:11:38+01:00
Seuls les vautours

Il n'y a pas que les vautours qui planent au-dessus de ce polar, l'ombre du King aussi, très présente. L'auteur ne s'y trompe pas en choisissant une citation de Salem pour la mettre en exergue. Mais d'autres similitudes apparaissent :

- Ce n'est pas Little Rock mais cà y ressemble beaucoup. Village de l'Utah isolé, petite communauté mormone, c hape de plomb : il fait chaud, trop chaud, les esprits s'échauffent, les orages d'été n'arrangent rien.

- un lieu maudit (Devil Trail) et une légende indienne. On apprendra le fin de l'histoire plus tard

-une intrigue qui se déroule sur un temps assez court : disparition d'une gamine de 4 ans le 18 juin 1985 jusqu'à son dénouement mi-juillet de la même année.

J'ai noté aussi quelques personnages stéréotypés les plus marquants, vous les reconnaitrez surement :

le shérif pas très futé qui a tendance a terrorisé ses adjoints surtout si ce sont des femmes

- le petit garçon d'une dizaine d'années un peu timide avec ceux de son âge mais qui a un don, un pressentiment pour voir arriver les catastrophes

- la belle trentenaire a qui tout réussi mais pourtant a encore des terreurs nocturnes

Heureusement, Nicolas Zeimet arrive à s'affranchir de certains codes du polar américain. le style est fluide, les chapitres sont courts. On n'a pas le temps de s'ennuyer pour passer d'un personnage à l'autre. Les émotions, les intuitions des personnages sont plus importanets que les faits eux-même. Ce drame fait ressortir les peurs, les travers et les vices de chacun avec retenue et sensibilité.

J'ajoute un petit bémol, ca manque peut-être d'originalité par le sujet abordé, une petite impression de déjà vu pardon de déjà lu par moment mais pour un premier roman, l'intrigue tient la route et je ne vais pas bouder mon plaisir. Auteur à suivre donc .

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Commentaire ajouté par Jean-Bernard 2019-03-25T14:00:24+01:00
Les enfants de Lazare

Histoire un peu alambiqué... j'ai eu un peu de mal à m'y mettre car j'avais du mal à y croire : le fait que les événements se déroulent sur une période de temps aussi ramassée m'indispose .

De là à insérer une bande "thriller magistral", je vous laisse juge !

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