Charles Berbérian

Ca fait peur si c'est ça la vie des jeunes d'aujourd'hui... J'ose penser qu'ils ont vies bien plus intéressantes.

par hasard j'ai découvert cette bd et j'ai vraiment beaucoup apprécié. Les dessins sont très agréables les scénettes font mouches j'ai passé un bon moment en compagnie de ces planches. Une chouette pause.

Malheureusement, malgré que je sois attiré par les dessins et leurs disposition, le charme a pas fonctionné.

Un bonne BD, qui reflette une societe futuriste qui garde quand meme le systeme d'une elite au pouvoir est des pauvre gens en bas de l'échelle. Nathanaëlle est un personnege attanchent que j'ai bien apprécié.

Je suis assez partagée par ma lecture. Je m'explique. C'est l'histoire d'une petite fille avec deux parents séparés et qui passe sa semaine entre ces deux parents. En sachant que sa mère est toujours en déplacement et son père est avec une nouvelle femme. Disons qu'elle est plus seule dans tout ce qu'elle fait et vie que vraiment avec deux foyers. Un jour elle se retrouve enfermée sur le palier de son immeuble et c'est l'occasion de nouvelles rencontres. L'histoire est bien écrite en elle-même et la petite fille comme la personne qu'elle rencontre sont intéressants. Le seul problème c'est que techniquement, cette enfant est laissée à elle-même. On sent la désapprobation de certains face à cette situation familiale compliquée mais la petite fille ne la remet pas en cause à cause de sa peur des services sociaux et parce que ses parents l'aiment quand même, même s'ils la laissent complètement seule face à elle-même pour sa mère et seule émotionnellement et psychologiquement pour son père. Rencontrer des voisins dans un immeuble pour une petite fille peut être dangereux. On ne sait jamais sur qui tomber. Mais après on montre aussi que c'est pas toujours des histoires d'horreur que des gens peuvent faire acte de bonté même s'ils savent que le regard de la société pourrait vite mal interprété. C'est à double tranchant pour les jeunes lecteurs à mon avis mais bon. C'est une histoire facile à lire et sympathique sinon. Elle reflète en tout cas des réalités de notre société.

Une partie des planches de ce livre ont apparemment déjà été publiées dans le magazine Grazia. Ne lisant pas ce magazine, et ne connaissant pas l'auteur par ailleurs, c'est du 100 % nouveau pour moi. J'ai trouvé l'ensemble plaisant à lire, notamment parce que j'ai aimé la variété de style, qui fait qu'on ne s'ennuie pas : parfois en noir et blanc, parfois partiellement coloré, parfois complètement, on a du paysage, du travail sur les personnages, on a des planches avec beaucoup de traits, dans un esprit strip, d'autres où le travail se rapproche plus de la peinture ou de l'aquarelle. Soulignons le soin du travail d'édition, avec notamment un papier chaleureux et un grand format bienvenu, qui mettent bien en valeur les planches. Le mode de narration, la façon de faire passer le message est également éclectique. On a quelques planches très bavardes, d'autres où on va être percutant en une seule phrase ou en quelques mots, et enfin, pas mal qui sont muettes, mais où le message et/ou l'émotion passera quand même. C'est quand même la base du dessin de dire un truc sans parler, mais on l'oublie parfois en BD.

Après, même si c'est plaisant, j'ai toujours eu tendance à me méfier de ce qui prétend retranscrire "l'esprit d'une époque". Je trouve ça systématiquement pompeux, prétentieux et rarement bien fait. On ne me donne pas forcément tort avec cette BD. On retranscrit plus la vie du bobo parisien moyen que l'esprit universel d'une époque. C'est certainement assumé, l'auteur ayant travaillé sur le thème du bobo par le passé. Mais ça reste pompeux. Qu'on reste sur "boboland" et qu'on n'intègre pas le reste du monde et le lecteur dans l'équation. Rares sont les moment où je me suis vraiment "projetée" dans la planche, où je me suis reconnue et où j'ai eu le sentiment qu'on disait quelque chose du monde dans lequel on vit.

Dommage aussi que certains personnages, visuellement, apparaissent dans plusieurs planches, mais on n'a pas su (ou pas voulu) leur apporter une profondeur psychologique. Un nom, une histoire, une personnalisé qu'on prend plaisir à suivre. Ça aurait ajouté un supplément d'âme à l'ensemble.

Un livre pas foncièrement désagréable, mais qu'on traverse sans qu'il nous marque. Le genre de BD qu'on oublie dans la semaine après l'avoir lue.

Adorable et touchante cette Henriette... vraiment sympa à lire. Le personnage du père est vraiment drôle !

Un beau livre qui plaît aux enfants et avec une belle morale.

Déçue par ce livre, que j'ai trouvé finalement assez peu inspiré niveau humour. Trop de répétitions pour moi, dans les cibles des blagues (Spielberg, JoeyStarr, Christian Clavier, Luc Besson,...) et dans la forme des textes (une journée dans le cinéma de tel pays par exemple). Les illustrations sont peu nombreuses et n'apportent pas grand chose. Mais au-delà d'un humour qui plaît ou pas, c'est finalement très personnel, je regrette aussi que ces répétitions donnent un aspect inaboutis au livre. Il parait que la culture, c'est comme la confiture, moins on en a, plus on l'étale, bah ce livre est un bon exemple : on en vient sérieusement à se demander si les auteurs s'y connaissent vraiment en cinéma ou s'ils tournent juste en boucle sur les quelques éléments qu'ils maîtrisent. Et c'est d'autant plus dur à pardonner, je trouve, quand on s'y met à plusieurs pour écrire.

C’est une drôle d’aventure que Lulu s’apprête à vivre. Fini la chasse aux lapins pour monter sa grande armée. Ces trois vieilles dames qui deviennent ses grand-mères adoptives ont décidé de faire un dernier coup avant de tirer leur révérence, vaincre le Macabouc. Un monstre aussi effrayant que drôle.

Une aventure loufoque qui prône de jolies valeurs comme l’entraide, le partage, la transmission et l’héritage.

Un récit aussi doux que trépidant mis en avant par de jolies couleurs pastel. Des illustrations dynamiques qui invitent à l’échange.

Un agréable moment à partager avec vos enfants.