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Le reste du monde pouvait seulement me tuer, ou dévaster mon corps et mon esprit. Seul Bones détenait le pouvoir d'anéantir mon âme.

—Tu m'as dit un jour que tu pouvais supporter beaucoup de choses, commençai-je d'une voix rendue rauque par toutes les émotions battant contre mes défenses internes affûtées. Moi aussi. Je peux faire face à tout ce qu'Apollyon peut inventer, au racisme que je subis quotidiennement, aux pouvoirs effrayants de Marie, à toutes les inepties que m'inflige ma mère, même à la mort de mon oncle. Mais la seule chose dont je ne pourrais jamais, jamais me remettre, ce serait de te perdre. Tu m'as fait promettre de continuer à vivre si cela arrivait, mais, Bones... (ma voix se brisa et des larmes m'inondèrent les joues) je n'en aurais pas envie.

Il se tenait à côté du lit lorsque je débutai ma tirade, mais il s'engouffra dans mes bras avant que la première larme apparaisse. Avec une tendresse infinie, il suivit leurs traces humides du bout des lèvres et celles-ci se teintèrent de rose.

— Quoi qu'il advienne, tu ne me perdras jamais, murmura-t-il. Je suis à toi à jamais, Chaton, dans cette vie ou dans la suivante.

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"Nous savons désormais que j'en suis capable, mais je suis dans un état lamentable, poursuivis-je. J'ai si froid que je claquerais des dents si je le pouvais encore. Et je suis si affamée que vous commencez tous les deux à me paraitre très, très appétissants."

Vlad grimaça.

"C'est le moment où je suis censé te rappeler que ce sont les derniers vestiges de ton pouvoir qui se manifestent et qu'au fond de toi tu n'as pas vraiment envie de tromper Bones?"

"Je n'ai pas faim dans ce sens-là! répondis-je, le souffle coupé à l'idée que Vlad ait pu croire qu'il s'agissait d'une proposition pour une partie de jambe en l'air à trois. Je voulais dire que j'ai envie de boire votre sang. Pas de... tu sais quoi."

Par réflexe, je posais les yeux sur les parties de leur anatomie en question, avant de les relever lorsque je me rendis compte de ce que je faisais. Je sentis alors mes joues s'empourprer de honte en entendant le massif éclat de rire de Vlad. Mencheres, plus courtois, fis mine de s'intéresser au grain du bois du chambranle, mais je vis ses lèvres se crisper.

"Ma chère Faucheuse, dit Vlad, toujours hilare. Ne viendrais-tu pas de te rincer l’œil sur nos..."

"Non! l'interrompis-je en me dirigeant précipitamment vers l'escalier. Je suis fatiguée et je n'ai pas recouvré tous mes esprits, et... et puis merde, je vais prendre une douche. Enfin, pas une douche froide, parce que je n'en ai pas besoin...(bon Dieu, je ne faisais qu'empirer les choses) parce que j'ai déjà froid, et j'ai très envie d’être chaude. Euh, d'avoir chaud, je veux dire. Oh, ferme-la, tu veux!"

Pendant cette brillante explication, j’avais monté l'escalier sous l'éclat de rire de Vlad. Au moins, il semblait parfaitement remis de son expérience de mort imminente , même si sa bonne humeur s'exprimait à mes dépens. Sale nobliau bouffi d'arrogance. Mais vu que j'étais responsable de ses récentes mésaventures, je lui passais volontiers sa crise d'hilarité typiquement masculine. Tout bien considéré, supporter ses moqueries était bien le moins que je pouvais faire pour rembourser le dette que j'avais envers lui.

Quant à Mencheres, j'espérais qu'il verrait cela comme un juste retour des choses. Il m'avait récemment vue complétement nue, et s'il y avait un semblant de justice dans ce monde, j'avais tout à fait mérité ce coup d’œil.

De plus, il ne s'agissait que des effets secondaires dont Marie avait parlé à Bones. Dans mon état normal, je n'aurais jamais songé à m’intéresser aux attributs de Vlad ou, pire encore, de Mencheres.

Et comme ils ne portaient ni l'un ni l'autre de pantalon moulant, le spectacle n'avait rien eu de bien fascinant, de toute façon.

Une fois dans ma chambre, je ne sautai pas directement dans la douche. Je sortis mon portable, toujours tiraillée par ma conscience.

"Bones, dis-je dès qu'il décrocha. Je sais qu'on s'est vus ce matin, mais bon sang, ce que tu peux me manquer..."

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-Vous ! éclata Timmie en pâlissant à vue d'oeil. Bon Dieu, Cathy, tu es toujours avec lui ?

Je me retins de rire face au ton désapprobateur de sa voix.

-Ouais. Et je l'ai même épousé.

Le sourire que Bones adressa à Timmie parvint à avoir l'air agressif, même s'il ne montra pas une canine.

-Elle est très appétissante, j'en conviens, mais si tu continues à cultiver ce genre de pensées, je t'émasculerai pour de bon cette fois-ci.

Le rouge monta aux joues de Timmie.

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« Grimpes sur le lit », dis-je en arrachant mes lèvres aux siennes.

Il me porta là bas, semant le long de mon cou, des baisers qui me donnèrent le vertige, mais je résistai quand il essaya de m’allonger sur le matelas.

« Seulement toi », soufflai-je en me libérant de ses bras.

Il lança un regard lourd de sous entendus à l’épaisse bosse sous son pantalon avant de tourner les yeux vers moi.

« Tu ne transforme pas en allumeuse, rassure moi… »

Je sentis mes dents se presser contre ma langue, deux rappels pointus de la chaleur qui montait en moi. Mais je refoulai mon désir… Et bon sang que c’était dur, avec Bones, appuyé sur ses coudes, ses jambes nonchalamment écartées dans une posture invitant à la débauche ; sa chemise noire déboutonnée révélant un « v » de chair cristalline, qui formait un contraste extravagant avec le tissu d’ébène… Je le fixai pendant une minute, laissant sa beauté remplir mes yeux.

« Les anges aimeraient être aussi beaux que toi », dis-je avec conviction.

« Je suis loin d’être angélique, mais merci pour le compliment ».

Ses mots étaient légers, mais pas son expression. Elle était intense, ses yeux prenant la couleur de l’émeraude et cette bosse entre ses jambes envoyant des salves de désir à travers moi. Si je continuai de le regarder-et laissai mon esprit s’attarder sur le fait qu’il était un meilleur coup que ce dont il avait l’air- je m’allongerai bientôt sur lui et perdrai la raison au milieu de l’extase provoqué par sa chair fusionnant avec la mienne.

Mais là, tout de suite, j’avais un plan, et il n’impliquait pas le fait de lui sauter dessus. Nous avions eu notre lot de stress, de danger et de violence dernièrement, et ce n’était rien comparé à ce qui nous attendait. Le cadre ne se prêtait donc guère à la romance, mais je m’en moquais.

Bien sur, on aurait pu s’asseoir et discuter encore une fois de notre plan de bataille, ou nous noyer dans des recommandations à la prudence, mais si j’avais appris quelque chose ces dernières années, c’était de profiter des moments de bonheur quant ils venaient… Ou de les provoquer moi-même si les conditions n’étaient pas assez propices pour m’en apporter.

« Après demain, on ne se reverra pas pendant un bout de temps, répliquai-je d’une voix basse et rauque. Alors je veux m’assurer que tu ai de quoi te souvenir de moi. »

(…)

"Ferme tes yeux!, lui dis-je -ce qu'il fit- et garde-les fermés jusqu'à ce que je te dise le contraire."

J'exerçai une douce pression sur sa paupière pour accentuer ce dernier point.

Il avait toujours ce petit sourire en coin quant il me répondit:

"Et tu veux aussi que je t'appelle Maîtresse? Tu pourrais toujours me punir si j'oublie et que j'ose m’adresser à toi en disant "chaton"..."

source:http://chapitre32.over-blog.com/article-reunis-dans-la-tombe-criscat-en-action-spoiler-103702106.html

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p.114

-Et Vlad? demanda Kira. C'est un dur à cuire qui fait peur à tout le monde.

-Pas la bête de scène, grommela Bones.

-Bonne idée, dis-je à la même seconde.

Il me regarda en fronçant les sourcils. Je me raclai la gorge, mal à l'aise sous le feu de son regard noisette.

- C'est une bonne idée, répétai-je en me redressant. Ce n'est pas parce que tu ne l'apprécies pas qu'il n'est pas notre meilleur atout. Il refusera peut-être parce qu'il s'agit de toi, mais il y a de fortes chances qu'il accepte pour moi.

Bones grimaça d'une manière qui me fit comprendre que j'aurais pu trouver un meilleur argument.

-Parce qu nous sommes amis, ajoutai-je en hâte. Pour Vlad, l'amitié est sacrée.

-Je ne mets pas en doute le goût de Tepes s'il te considère comme une amie. Plutôt le tien si tu éprouve la même chose pour lui, marmonna Bones.

Je ne pus réprimer un petit sourire.

- Peut-être parce qu'il me rappelle quelqu'un que j'aime.

Bones poussa un ricanement de désaccord, mais du coin de l’œil, j'aperçus une chose qui lui échappa: un clin d’œil que m'adressa Mencheres. J'en restai si abasourdie que je tournai vivement la tête pour le regarder, mais le temps que je réagisse, le visage du vampire était de nouveau aussi immobile et impénétrable qu'un mur.

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— Chaton..., répondit Bones en s'immobilisant, sa chemise à moitié enfilée, quatre heures de sommeil en te serrant dans mes bras valent bien mieux que huit heures passées à m'agiter et à me retourner dans tous les sens parce que tu n'es pas là.

Cela me laissa coite pendant quelques secondes. Son ton était resté neutre, sans la moindre trace d'exagération romantique ou de plaisanterie. Depuis le temps que je le connaissais, j'aurais dû être habituée à la franchise imperturbable avec laquelle Bones exprimait ses sentiments, mais cela m'étonnait toujours autant. Il n'hésitait pas à dévoiler la partie la plus vulnérable de son être, sans se soucier du fait que d'autres que moi pouvaient entendre ses paroles. De mon côté, je m'entourais toujours de multiples filets de protection émotionnels, utilisant l'humour ou l'ironie pour dissimuler à quel point certains sujets m'affectaient.

Bones, lui, était beaucoup plus direct. Il était peut-être un tueur mort-vivant sans pitié, mais depuis le début de notre relation, il n'avait jamais caché ses émotions, ni tenté de minimiser l'importance des sentiments qu'il éprouvait pour moi lorsque d'autres personnes étaient présentes. Il ne me dominait pas seulement dans les domaines de la force physique et de la puissance surnaturelle. Il me surpassait également pour ce qui était du cœur, car il osait montrer ses points les plus vulnérables sans crainte et sans user d'artifices.

Il était grand temps que je suive son exemple. J'avais déjà ouvert mon cœur à Bones, mais pas suffisamment. Il savait que je l'aimais, que je me battrais jusqu'à la mort à ses côtés s'il le fallait, mais mes véritables sentiments étaient bien plus profonds. Peut-être que tout au fond de moi, je craignais que si j'avouais à Bones à quel point il comptait réellement pour moi, je devrais accepter le fait qu'il était en mesure de me détruire, bien plus efficacement que n'importe qui d'autre, même Apollyon ou le Conseil des Gardiens. Le reste du monde pouvait seulement me tuer, ou dévaster mon corps et mon esprit. Seul Bones détenait le pouvoir d'anéantir mon âme.

—Tu m'as dit un jour que tu pouvais supporter beaucoup de choses, commençai-je d'une voix rendue rauque par toutes les émotions battant contre mes défenses internes affûtées. Moi aussi. Je peux faire face à tout ce qu'Apollyon peut inventer, au racisme que je subis quotidiennement, aux pouvoirs effrayants de Marie, à toutes les inepties que m'inflige ma mère, même à la mort de mon oncle. Mais la seule chose dont je ne pourrais jamais, jamais me remettre, ce serait de te perdre. Tu m'as fait promettre de continuer à vivre si cela arrivait, mais, Bones... (ma voix se brisa et des larmes m'inondèrent les joues) je n'en aurais pas envie.

Il se tenait à côté du lit lorsque je débutai ma tirade, mais il s'engouffra dans mes bras avant que la première larme apparaisse. Avec une tendresse infinie, il suivit leurs traces humides du bout des lèvres et celles-ci se teintèrent de rose.

— Quoi qu'il advienne, tu ne me perdras jamais, murmura-t-il. Je suis à toi à jamais, Chaton, dans cette vie ou dans la suivante.

Une douleur poignante explosa en moi, parce que je savais quelles promesses contenait cette déclaration, et quelles autres ne s'y trouvaient pas. Bones ne pouvait pas jurer que nous ne serions jamais séparés. Le statut de mort-vivant n'assurait en rien l'immortalité ; il nous rendait simplement plus difficiles à tuer. À moins que Bones et moi mourions exactement au même moment, nous connaîtrions l'un ou l'autre un jour le chagrin de la solitude. J'étais sincère lorsque je disais que je ne voudrais plus vivre sans Bones, mais l'expérience m'avait cruellement démontré que je n'aurais pas le choix. Pas plus que lui dans le cas inverse. Quel que soit le nombre d'ennemis que nous vaincrions, ou la force de nos promesses enflammées, c'était la dure réalité.

Et c'était peut-être de cette réalité que mes dernières barrières émotionnelles avaient tenté de me protéger. Admettre que la disparition de Bones me briserait à jamais, c'était accepter que cela arriverait. Un jour, nous serions séparés. Pas de notre propre volonté, ni à cause d'une erreur potentielle de notre part, mais victimes de la mort, froide et impitoyable. Sauf si nous périssions côte à côte au combat, c'était fatal. J'avais refusé d'avouer à Bones combien il faisait partie intégrante de mon cœur parce que rien ne m'effrayait plus que d'accepter la réalité cruelle et inévitable. À présent que j'avais sauté le pas, je ressentais un étrange soulagement qui recouvrait jusqu'à ma douleur.

Mon silence n'avait en rien modifié mes sentiments, ou le sceau de fatalité qui marquait notre destin. J'avais fait l'autruche, mais pire encore, j'avais gâché le temps qui nous était accordé. Personne ne savait ce que son avenir lui réservait. Nous avions peut-être des centaines d'années à passer ensemble. Des milliers. Ou bien seulement dix minutes avant qu'une météorite s'écrase sur la maison et me désintègre tout en l'épargnant. Notre temps était compté, c'était la seule certitude.

Mais j'avais enfin compris ce que Bones savait depuis longtemps. La mort finirait par nous séparer, mais elle ne pourrait jamais détruire ce que nous avions. « Je suis à toi à jamais, dans cette vie ou dans la suivante. » Certaines choses pouvaient survivre même à la mort, et l'amour en faisait partie. Même si la mort nous éloignait pendant quelque temps, elle ne pouvait pas nous désunir pour toujours. Rien ne le pourrait.

— Tu ne te débarrasseras jamais de moi non plus, répondis-je avec un rire épaissi par les larmes. De ce côté de la tombe ou de l'autre. Je te hanterai, je te traquerai pour l'éternité s'il le faut, mais nous sommes liés jusqu'à ce que la dernière étoile s'éteigne dans le ciel.

J'eus à peine le temps d'apercevoir son sourire avant qu'il s'empare de ma bouche avec une intensité lente et brûlante. J'eus l'impression que ma poitrine se serrait et que mon cœur allait se remettre à battre, mais pas à cause de la virtuosité de son baiser. C'était l'effondrement de la dernière barrière qui nous séparait.

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Contrairement à moi, Bones n'éprouvait aucun dégoût à tenir un bras détaché de son corps d'origine. Il attrapa la goule par l'autre bras et se servit du premier pour lui assener des coups sur la tête. J'avais déjà entendu mon mari menacer des gens de les assommer avec leurs propres membres, mais j'avais toujours cru qu'il ne s'agissait que d'une expression.

j'avais tort, visiblement.

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— Le tuer n'arrangera rien. Je serais ravie de ne plus jamais le revoir, mais à sa manière, il essayait seulement de protéger son espèce.

—Bouge un doigt de pied et tu es mort, marmonna Bones en lâchant la goule avant de franchir les quelques pas qui nous séparaient. (Il posa les mains sur mes épaules avec douceur.) Écoute, ma belle, montre-toi sensible aux motivations de cet enfoiré si ça t'amuse, mais il n'en demeure pas moins...

Je sentis l'odeur de fumée juste avant d'entendre un claquement qui me rappela l'explosion d'un pétard. Une matière épaisse me gicla dans le dos et un bruit sourd se réverbéra derrière moi. Je me retournai précipitamment et restai bouche bée devant ce qui restait de la goule. Son corps s'écroula en avant sur l'allée, un trou béant à la place de la tête.

Beaucoup plus lentement, je me tournai cette fois vers Vlad, que je découvris en train de s'examiner les ongles, comme si ses mains n'étaient plus noyées dans les flammes qui avaient décapité la goule quelques secondes auparavant.

—Qu'est-ce qui s'est passé, bon sang? demandai-je.

— Inflammation précoce, répondit-il. Ça m'arrive de temps en temps. C'est très gênant, je n'aime pas beaucoup en parler.

J'entendis un ricanement amusé à ma droite. Je me retournai et vis Bones adresser à Vlad le regard le plus approbateur dont il l'avait jamais gratifié. Son expression s'assagit lorsqu'il croisa mon regard.

— C'est une blague entre vous deux ? demandai-je sèchement en montrant de la main le corps encore fumant de la goule. Nous avions l'occasion de faire preuve de bonne volonté envers des gens qui détestent Apollyon autant que nous. Les ennemis de mes ennemis sont mes amis, ça vous dit quelque chose ? Mais non, vous préférez toujours la solution radicale !

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- Qu'est-ce que ... ? commençai-je.

Je voulus m'assoir mais sentis quelque chose me retenait les bras.Je tournai la tête et découvris avec surprise que j'étais menottée à un mur, et que Bones et moi étions installés sur un petit lit. Mon regard se reporta sur lui, et je le vis poser sa cigarette tout en soufflant une volute de fumée blanche.

- Qu'est-ce que tu fais couché sur ce lit en train de fumer alors que je suis enchaîné à un mur ? demandai-je.

Il m'adressa un regard de soulagement teinté de cynisme.

- Puisqu'on dirait que tu n'as aucun souvenir de ce qui s'est passé ces deux derniers jours, je peux t'assurer d'une chose, ma belle... j'ai bien mérité cette clope.

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"Mencheres m'adressa un regard outré.

-Je sais me montrer discret, répondit-il.

j'eu beaucoup de mal à me retenir de ricaner. Quelques moi auparavant, le méga Maître avait démoli tout un secteur de Disneyland devant une foule effarée, mais aussi transformé Kira en vampire sur une vidéo qui avait ensuite fait le tour du monde sur Internet. Ça, pour être discret, il a le don, aucun doute."

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