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-Tu es l'une des personnes les plus étranges que j'aie jamais rencontrées, et vu les drôles d'oiseaux que je côtoie, ce n'est pas un mince exploit, parvins-je à dire en secouant la tête.

Il m'adressa un sourire effronté.

-Si ce n'est que maintenant que tu t'en rends compte, Catherine, c'est que tu es encore plus attardée que je ne le pensais.

-Tu est vraiment d'une insolence sans borne, Drac, répondis-je en riant malgré moi.

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- J'ai une idée, lancai-je. Un bras de fer, ca te dirait ? Le vainqueur gagner l'humain.

Cette proposition me valut à nouveau tous les regards. Ils éclatèrent de rire et les yeux du chef se teintèrent même de larmes roses.

- Tu plaisantes, parvint-il à articuler.

Je lui adressai un sourire charmant.

- Pas le moins de monde.

Il tourna les yeux vers Bones.

- Tu ne vas pas la laisser faire, quand même ?

Bones ricana.

- La laisser faire ? Mon pote, si tu penses qu'on peut contrôler une femme, c'est que tu dois être célibataire... et je te paris mille dollars qu'elle va te torcher.

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Nous atterîmes à l'arrière de la maison, à l'endroit le plus sombre de la pelouse, puis nous fîmes le tour jusqu'à la porte d'entrée. La bâtisse était à peu près aussi grande que celle dans laquelle j'avais grandi, mais j'était prête a parier que cela faisait plus de mille ans que Mencheres n'avait pas vécu dans un endroit aussi exigu. Il dormait sur le canapé-lit, et Vlad et moi occupions les deux chambres à l'étage. Je venais d'ôter mes bottes sur la véranda - un vieux réflexe de mon enfance, où ramener de la terre dans la maison était considéré comme un crime capital - lorsque Mencheres leva soudain la tête pour scruter le ciel.

- Des extraterrestres ? plaisantai-je.

Je me crispai néanmoins et portai la main à mes armes. Les goules ne pouvaient pas voler, mais une menace d'un autre type nous avait peut-être suivis depuis le drive-in... Nous ennemis n'entraient pas tous dans la catégories des nécrophages...

Mes sens se mirent à grésiller, comme si on leur avait injecté une dose de stéroïdes.

- Bones, dit Mencheres au même moment.

- Dire que la soirée avait si bien débuté, eut le temps de marmonner Vlad avant que mon mari apparaisse dans le ciel et se pose à quelques mètres de nous dans un tourbillonnement de son manteau noir.

Une joie mêlée de désir me submergea lorsque nos regards se croisèrent. Je m'avançai, lui passai les bras autour du cou et me régalai de l'ardeur de son étreinte.

- Tu m'a manqué, Chaton, grogna-t-il.

Il écrasa alors sa bouche sur la mienne en un baiser plus affamé que romantique.

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Contrairement à moi, Bones n'éprouvait aucun dégout à tenir un bras détaché de son corps d'origine. Il attrapa la goule par l'autre bras et se servit du premier pour lui asséner des coups sur la tête. J'avais déjà entendu mon mari menacer des gens de les assomer avec leurs propres membres, mais j'avais toujours cru qu'il ne s'agissait que d'une expression.

J'avais tort visiblement.

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—Vous ! éclata Timmie en pâlissant à vue d'oeil. Bon Dieu, Cathy, tu es toujours avec lui ?

Je me retins de rire face au ton désapprobateur de sa voix.

— Ouais. Et je l'ai même épousé.

Le sourire que Bones adressa à Timmie parvint à avoir l'air agressif, même s'il ne montra pas une canine.

— Elle est très appétissante, j'en conviens, mais si tu continues à cultiver ce genre de pensées, je t'émasculerai pour de bon cette fois-ci.

Le rouge monta aux joues de Timmie.

—Je... je ne voulais pas... enfin, je veux dire, je ne ferais jamais...

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« Chaton..., répondit Bones en s'immobilisant, sa chemise à moitié enfilée, quatre heures de sommeil en te serrant dans les bras valent bien mieux que huit heures passées à m'agiter et à me retourner dans tous les sens parce que tu n'es pas la. »

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— Vlad, lance-moi une boule de feu, soufflai-je. La dernière fois, je crois que c'est en m'évanouissant que j'ai coupé la connexion avec les Vestiges.

Cela valait le coup d'essayer. Si plus rien ne me liait à eux, ils retourneraient peut-être automatiquement d'où ils venaient. Il fallait que j'essaie. Mes ordres n'avaient aucun effet et Vlad ne tiendrait plus très longtemps.

— Non, répondit-il d'une voix pleine, tendue mais ferme. Tu dois apprendre... à les contrôler... même si j'y laisse la vie.

—Et tu vas y laisser la vie, bon sang ! éclatai-je en sentant ma panique monter.

— Arrête de râler... et au boulot, rétorqua-t-il en grimaçant.

Il ferma ensuite les yeux, comme si je n'étais plus là.

—Je sais, je suis succulent. Miam... miam, marmonna-t-il aux Vestiges qui se régalaient de lui.

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Si j'avais été humaine, les assauts de Bones m'auraient empêchée de marcher pendant une semaine. Non, plutôt un mois, à la réflexion.

-Je crois que ça va vraiment me dépannée pendant notre séparation, dis-je en réussissant à me retourner sur le dos.

Se sera plus que suffisant, ajouta mon esprit embrumé.

Bones éclata de rire et m'attira dans ses bras avec une force et une vitesse stupéfiante, vu que j'avais encore du mal à faire fonctionner mes membres.

-Oh, chaton, murmura-t-il en laissant ses lèvres papillonner le long de ma gorge. Tu ne pensais quand même pas que nous en avions déjà terminé?

Il va finir par me tuer, pensai-je, mais je ne pus me résoudre à m'en plaindre. Ou à protester lorsque sa bouche quitta mon cou pour poursuivre sa route plus bas.

Après tout, même si j'avais raison, il y avait bien pire que la mort... et d'ailleurs, existait-il plus belle façon de mourir?

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— Des mitrailleuses ? demandai-je en mimant le geste d'en porter une et en imitant le bruit de son tir.

Bones sourit, mais il baissa la tête pour me cacher l'amusement que lui inspirait mon improvisation digne d'une partie de Pictionary.

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—Et Vlad ? demanda Kira. C'est un dur à cuire qui fait peur à tout le monde.

— Pas la bête de scène, grommela Bones.

— Bonne idée, dis-je à la même seconde.

Il me regarda en fronçant les sourcils. Je me raclai la gorge, mal à l'aise sous le feu de son regard noisette.

— C'est une bonne idée, répétai-je en me redressant. Ce n'est pas parce que tu ne l'apprécies pas qu'il n'est pas notre meilleur atout. Il refusera peut-être parce qu'il s'agit de toi, mais il y a de fortes chances qu'il accepte pour moi.

Bones grimaça d'une manière qui me fit comprendre que j'aurais pu trouver un meilleur argument.

—Parce que nous sommes amis, ajoutai-je en hâte. Pour Vlad, l'amitié est sacrée.

—Je ne mets pas en doute le goût de Tepes s'il te considère comme une amie. Plutôt le tien si tu éprouves la même chose pour lui, marmonna Bones.

Je ne pus réprimer un petit sourire.

— Peut-être parce qu'il me rappelle quelqu'un que j'aime.

Bones poussa un ricanement de désaccord, mais du coin de l'œil, j'aperçus une chose qui lui échappa: un clin d'œil que m'adressa Mencheres. J'en restai si abasourdie que je tournai vivement la tête pour le regarder, mais le temps que je réagisse, le visage du vampire était de nouveau aussi immobile et impénétrable qu'un mur.

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