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"Il n'est de Frégate telle qu'un livre

Pour nous emporter vers des Contrées lointaines

Ni de Coursier tel qu'une Page

De fringante Poésie."

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« Longtemps j'ai sillonné les océans déserts.

Longtemps j'ai recherché un ami d'infortune.

J'ai nagé sans relâche au bout de l'univers.

J'ai fouillé les grands fonds et les longues lagunes. »

[...]

« Je suis allé d'estuaire en fosse océanique,

J'ai traqué les courants jusqu'au lit des rivières,

Et j'ai raclé les bords des îles volcaniques.

Mais nul n'a fait écho a ma longue prière. »

[...]

« Écoutez la chanson du dauphin solitaire.

Entendez votre fils, répondez-moi ma mère...

...Y a-t-il encore une âme animale sur terre?

Y a-t-il encore un cœur qui bat dedans la mer? »

[...]

« Je ne connaitrait plus ni ami ni amante,

Moi qui suis le dernier d'un peuple condamné.

Je serais a jamais un cœur qui se lamente,

Et je m'éteindrai seul, ainsi que je suis né. »

[...]

« Écoutez la chanson du dauphin solitaire.

Entendez votre fils, répondez moi ma mère:

De mes frères et sœurs que les hommes tuèrent,

Ne reste-t-il aucun de tous ceux qui m'aimèrent? »

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"L'humanité renaîtra ailleurs.

"Elle renaîtra meilleure.

"Elle renaîtra avec toi ! "

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« Dors, petit homme,

Ferme les yeux

Et fais un somme

Rêve d’un lieu

Où tout bourgeonne.

Des cris joyeux

Partout résonnent.

Du sol aux cieux

La vie foisonne ! »

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Aujourd'hui comme hier, le cœur humain est un terreau de ténèbres et de lumière, où poussent de manière inextricable les fleurs du mal comme les fleurs du bien.

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La planète qui avait été le berceau verdoyant de l'humanité, puis son triste dépotoir, devint son tombeau ardent.

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L’ESPÈCE HUMAINE S’ÉTEIGNIT UN JOUR D’ÉTÉ, dans un monde où les saisons n’avaient plus de sens.

Le cœur du dernier Homo sapiens sapiens cessa de battre, et l’espèce qui pendant des millénaires avait régné en maîtresse absolue disparut comme elle était apparue.

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« C’était autrefois un crustacé très commun, si abondant que les réserves semblaient ne jamais devoir s’épuiser, dit-il d’une voix sentencieuse. D’une endurance étonnante, on le trouvait dans toutes les mers froides. Il n’était pas assez robuste, cependant, pour résister aux hommes. »

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La planète qui avait été le berceau verdoyant de l'humanité, puis son triste dépotoir, devient son tombeau ardent.

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Extrait ajouté par Marji 2023-03-27T18:39:39+02:00

" ll y a en moi un vice profond, qui remonte à avant même la catastrophe, aussi loin que je me souvienne : une sensibilité exacerbée, une mélancolie inexplicable, une fragilité intolérable. Par faiblesse d'âme, j'ai risqué ma vie d'héritier de la couronne. Par manque de caractère, j'ai sacrifié celles de valeureux soldats qui ne faisaient que leur devoir. Malgré la couleur de mes yeux et de mes cheveux, je n'aurai jamais la dureté d'un roi : c'est un cœur de verre qui bat dans mon corps d'apex."

Ocerian

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