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“L’Espoir est cette chose à plume qui se perche dans l'âme et chante un air sans paroles, et ne s'arrête jamais...

-... son chant, c'est dans la tempête qu'il sonne le plus doux,” compléta Astréa.

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Tu m’as demandé hier à quoi cela servait de vivre, si c'était pour toujours reproduire les erreurs du passé point je crois que cela sert à espérer. Parce qu'il y a toujours une petite possibilité de corriger ces erreurs ; il y a toujours une chance infime de se libérer du passé. Il existe mille raisons de désespérer de notre espèce, mais sa capacité d'amour les rachète toutes, puisqu'elle nous permet d'espérer.

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La flamme brûle plus fort juste avant de s'éteindre.

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Vois-tu, la connaissance du monde ne prend pas seulement la forme de litanies savantes. Parfois, une pensée, une impression, une formule en révèlent davantage sur le mystère de la vie et de la mort que des traités entiers. Jadis, on appelait cela littérature.

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Tu m’as demandé hier à quoi cela servait de vivre, si c’était pour toujours reproduire les erreurs du passé. Je crois que cela sert à espérer. Parce qu’il y a toujours une petite possibilité de corriger ces erreurs ; il y a toujours une chance infime de se libérer du passé. Il existe mille raisons de désespérer de notre espèce, mais sa capacité d’amour les rachètes toutes, puisqu’elle nous permet d’espérer.

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Aujourd’hui encore, les Derniers Humains expiaient la démesure de leurs ancêtres. Ils avaient dû fuir le monde d’avant, ravagé par les pluies acides, les incendies titanesques et les canicules mortelles. Rescapés venus de tous les horizons, ils s’étaient fondus au fil des générations en un seul peuple métissé, parlant une seule langue : le parler commun, hybride bancal de tous les idiomes.

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Au XXIe siècle, les Terriens avaient à la fois les outils scientifiques nécessaires pour comprendre le phénomène qu'ils avaient eux-mêmes déclenché, et les moyens techniques de trouver une solution. Mais ils n'ont pas saisi cette chance. Ils n'ont pas réagi suffisamment aux mises en garde : le recul des glaciers de Patagonie et l'assèchement de la mer d'Aral, l'effondrement des colonies d'abeilles et l'étouffement de la faune marine dans les débris de plastique, l'incendie de la forêt amazonienne et l'invasion des algues vertes. Sans prendre véritablement la mesure de ces avertissements, ils ont continué à utiliser les énergies fossiles, à arroser la terre de pesticides, à déforester les poumons de la planète. Les canicules à répétition et les penuries d'eau, l'extinction massive des espèces et les migrations climatiques, qui auraient dû les unir, n'ont fait qu'accroître leurs divisions. Ils se sont montrés incapables de faire front commun pour prendre les décisions drastiques qui auraient pu sauver leur propre espèce... Spoiler(cliquez pour révéler)qui auraient pu vous préserver, vous, leurs lointains descendants. La libération massive des hydrates de méthane de l'océan Arctique, en train d'embraser le Svalbard au moment où je vous parle, n'est que la conséquence ultime du réchauffement qu'ils ont déclenché il y a des siècles de cela. Cette bombe à retardement, c'est eux qui l'ont posée.

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Nous ne savons rien de ce qui a réellement provoqué les cataclysmes du passé. Nous ignorons l'origine véritable du réchauffement. Peut-être est-ce seulement le rayonnement solaire qui s'est intensifié ? Ou un changement d'axe de la planète ? Qu'en sais-je ! En tout cas, ce n'est certainement pas une cause humaine. Je suis persuadé que les hommes de l'ancien temps n'ont pu avoir une telle influence sur le climat.

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Astréa déchiffra à voix haute les lettres bariolées du titre, formant des mots dont elle ignorait le sens :

"Le... journal... de... Mickey..."

Elle se tourna vers Hippocampos, désignant la couverture du bout du doigt :

"Ce personnage, là, on dirait Mus musculus, la souris domestique... (...) Les souris de l'ancien temps ressemblaient-elles donc tant aux hommes ?"

Hippocampos secoua la tête :

"Je l'ignore. Cet ouvrage entièrement enluminé est l'un des plus énigmatiques que je possède, et je n'ai pas encore réussi à en percer le sens caché."

D'une main tremblante, Sépien feuilleta les pages couvertes d'illustrations étranges, créatures à jambes humaines, oreilles de souris et bec d'oiseau ; pris d'une peur superstitieuse devant un mystère qui le dépassait, il s'empressa de ranger le livre sur l'étagère, et s'éloigna de la bibliothèque.

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C'était peut-être ton bas-ventre à toi qui était asséché, suant ! lui lança-t-elle en le foudroyant du regard. Pourquoi toujours blâmer la femme, quand un couple ne parvient pas à enfanter ?

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