Fa fuffit !

Le Pince Bobo se cognait partout. Il se faisait des noces. On l'enduisait de nomade mais il continuait de foncer dans les cloportes fermées. Ses harengs, le Croix et la Graine, consultèrent un grand savon qui avait lu plein d'outrages sérieux.

- Je peux empêcher le Pince de souffrir, dit-il, et s'il se cabosse, vous n'aurez qu'à le retaper.

Il fit un zeste bizarre et se retira. Justement le Pince Bobo s'amenait au pas de bourse pour souhaiter bonne ennui à ses harengs. Bang ! Il rentra dans le lémur! Il s'était pété la chenille. Sa majesté le Croix lui asséna un coup de son spectre, et redressa la chenille. Le petit glaçon s'en alla, réparé. Badading ! Il roula dans les espaliers. Il s'était rompu les zoos.

- Il est certainement en mouettes ! s'écria la Graine et des alarmes coulaient de ses vieux.

- Je vais le faire réparer au barrage, décida le Croix.

On l'emmena, on le ramena. Il heurta le troène royal. Pourtant, il devenait prudent peu à peu, regardait où il mettait ses clapiers. Pouvait-on le libérer à présent de l'enfantement qui le protégeait?

- Voyons voir ! dit le savon qui savait plein de turcs.

On banda les yeux de Bobo. On plaça devant lui un tas de grotte; Tout le monde se pinçait les marines à cause de l'auteur. On poussa Bobo ... Il contourna le tas!

- Bravo! approuva le savon en faisant un zeste étrange. Alors le petit Pince devint un glaçon normal qui ne se cognait plus dans les étables et qui ne cassait plus la faisselle.