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Commentaires de livres faits par Florent-le-flamand

Extraits de livres par Florent-le-flamand

Commentaires de livres appréciés par Florent-le-flamand

Extraits de livres appréciés par Florent-le-flamand

date : 25-05-2016
"Je crois que j'aspire à un temps révolu, lorsque la nature n'était pas encore lacérée par les griffes de notre orgueil. Peut-être ce monde-là n'a-t-il jamais existé. Il me semble que, dès les prémices de son histoire, l'Homme a voulu s'imposer au mépris de tout. Mais pourquoi dis-je notre orgueil ? Je ne me reconnais pas dans ce chaos de béton que certains nomment progrès. Une fuite en avant, voilà ce à quoi je résumerais le cheminement humain. J'aime la majesté des forêts enneigées et la solennité des rivages de tempête, la beauté des éléments à l'état brut. Ces choses-là s'apprécient dans le silence, mais je n'ai jamais su trouver quelqu'un pour m'accompagner dans ce recueillement, dans cette vision de la nature comme un autel".
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« Le monde est en vérité empli de périls, et il y a en lui maints endroits sombres ; mais il y en a encore beaucoup de beaux, et quoique dans tous les pays l'amour se mêle maintenant d'affliction, il n'en devient peut-être que plus grand. »
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Tout ce qui est or ne brille pas
Tout ceux qui errent ne sont pas perdus
Le vieux qui est fort ne dépérit point...
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« C'est le boulot qu'on ne commence jamais qui est le plus long à terminer. »
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Brunehilde se sentait toujours profondément émue par cette aptitude des hommes à vouloir aller au-delà d'eux-mêmes, à constamment dépasser les limites que leur imposait leur nature mortelle. Les Dieux, préservés aussi de la vieillesse que de la mort, jouissant d'une santé et d'une beauté inaltérables, n'avaient ni ce courage ni cette bravoure. Ils vivaient dans une perfection et une permanence qui les rendaient prévisibles, toujours identiques à eux-mêmes. Il leur manquait ce feu ardent qui brûlait dans le cœur des hommes, cette folie de vivre à tout prix qui les poussait à affronter sans peur la mort. Les hommes étaient faibles et imparfaits, la plupart n'étaient que des brutes à l'esprit épais, et pourtant il se dégageait d'eux un panache et un héroïsme qui manquaient à l'aristocratie des dieux, blasée par l'assurance de sa propre toute-puissance. Oui, il y avait chez les hommes quelque chose de spécial, de rare, de fou, qui bouleversait Brunehilde au plus profond d'elle-même, sans qu'elle sût mettre un mot sur l'émotion qu'elle ressentait.
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« Je crois qu'il faut savoir garder une partie de son âme d'enfant si on veut survivre dans ce monde qui devient fou. »
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« J'ai grandi en me disant qu'on pouvait aimer n'importe qui, qu'il n'y a pas de choses normales et d'autres qui ne le sont pas. Et puis ça serait quoi, être normal ? Pour moi ce qui compte c'est ce qu'on ressent. Et du moment que c'est sincère... le reste n'a pas d'importance. »
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« On s'assied côte à côte, sur le rebord froid du trottoir, et on ne dit pas un mot, comme si chacun attendait que l'autre parle en premier. Si c'est vraiment le cas, on n'est pas près de mettre les choses au point, parce que je ne sais pas quoi dire et lui non plus, apparemment. C'est dingue, quand on imagine la scène on trouve toujours de belles phrases et quand ça arrive pour de bon on a l'impression d'avoir oublié tout son vocabulaire. »
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« C'est dangereux d'aimer quelqu'un, autant pour la santé physique que mentale. Parce que quand on s'habitue à ce que notre corps ait des réactions bizarres, c'est la tête qui prend le relai et on devient presque fou, la réalité ne parait plus être la même qu'avant. »
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Quelque part par là, tout près, à l'abri d'un temple, un nouveau feu est allumé, une autre fillette est choisie. La page est tournée. Tout le monde ignore qu'une seconde vie s'est éteinte, comme la flamme d'une bougie qu'une main despotique choisirait d'allumer ou d'étouffer à sa guise.
Personne ne se soucie que deux êtres aient été mortellement punis pour une faute qui n'en est même pas une. Ils se sont simplement aimés alors que, par on ne sait quelle commandement, cela leur était interdit. Et le monde oublie. Il se moque bien que deux personnes puissent mourir d'amour.
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L'orage gronde, au loin. Bientôt, il pleuvra ou neigera, sans doute. Car les Dieux pleureront la mort de la jeune femme, celle des autres Vestales avant elle, toutes ces morts inutiles et incompréhensibles. Les Dieux pleureront la facilité des humains à tuer leurs semblables et à faire la guerre en leur nom, ils pleureront leur faiblesse et leur manque de coeur, ainsi que la foi bornée qui les aveugle, ils pleureront, mais pourtant, tout continuera comme avant...
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Elle a vécu ce qu'elle avait à vivre, même si cela a été trop court. Elle savait qu'à partir de ce moment-là, sa vie ne serait plus qu'un sursis. Mais elle ne regrette rien. Elle sait que les Dieux lui ont pardonné. Elle sait la vérité. Elle sait que l'amour n'est pas un pêché.
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« J'ai toujours obéi à ma mère, suivi ses conseils, ses recommandations, tout simplement parce que je savais qu'elle avait raison, que ce qu'elle me disait était la vérité, la voie à suivre. Je ne pense pas que beaucoup d'ados disent ça de leurs parents, ou s'ils le font, c'est bien plus tard. »
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« Je rentre chez moi le coeur léger et je ne peux m'empêcher de me dire, encore une fois, à quel point les choses changent vite, dans la vie. C'est vrai, d'un instant à l'autre nos pensées et nos émotions ne sont plus les mêmes, elles évoluent au gré de ce qu'on apprend, des personnes qu'on croise et de ce qu'on partage avec elles. On est toujours pareil, au fond de nous, mais c'est justement cette multitude de petites transformations qui nous aide réellement à nous construire, et qui rend la vie si unique, si difficile et si belle, aussi. Alors oui, vous me direz que je retombe une fois de plus dans mes délires philosophiques mais c'est important de dire ce que l'on ressent, ce que l'on pense. Et ça a toujours du bon de mettre les choses au point, comme Enzo le dit si bien... »
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« Comment pourrions-nous nous unir et être forts si nous ne connaissons pas ce qu’il y a au plus profond de nous ? Comment des soldats peuvent-ils gagner une guerre s’ils ne savent ni se battre, ni se servir de leur arme ? »
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« Quand on s’attache aux gens, on a trop tendance à être déçu, triste, et parfois même avec le cœur en morceau. C’est le prix à payer lorsqu’on veut partager des choses avec quelqu’un. Il faut prendre ce risque car il vaut la peine d’être vécu, et cela même si c’est souvent celui qu’on regrette le plus. »
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« J’aurais aimé leur raconter la stricte vérité, partager avec eux mon pouvoir et mes capacités, leur expliquer ce que je pouvais deviner rien qu’en croisant le regard d’une personne. Mais je ne pouvais pas. Enfermée dans un secret qui m’appartenait, je ne pouvais pas me confier. Je ne le pourrais jamais. »
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« Je suis vraiment désolée, Rachel, mais un grand pouvoir implique de grandes responsabilités, et, bien qu’il rende fort, puissant et vivant, l’amour ne fait généralement que compliquer les choses. »
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« Se battre contre des objets inanimés était peut-être plus simple que de se battre contre des personnes réelles qui possédaient du répondant ainsi qu'un cœur. Abattre des quilles avec une boule de couleur était bien plus aisé que de vivres avec des regrets toute sa vie. »
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« Vous savez, on n'entend pas beaucoup parler de ce qui se passe contre nous, de cette sale intolérance, de cette méchanceté gratuite. Parce que c'est ça, hein... Qu'est-ce qu'ils peuvent nous reprocher vraiment, les gens, vous y avez pensé? Rien. Juste d'être un peu différents, de ne pas aimer les filles quand on est un garçon, et vice-versa. C'est totalement nul. Ils n'ont rien compris à la vie, à l'amour. Parce que quand on aime, ça va au-delà du sexe, on aime une personne pour ce qu'elle est, ce qu'elle nous inspire, ce qu'elle nous fait ressentir... et puis c'est tout. »
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- Qu'est-ce que tu dis ?
- C'est du quenya.
- J'avais deviné mais tu sais, les langues mortes et moi...
- Le quenya n'est pas une langue morte, au contraire ! C'est l'essence de la vie !
- Les sens de l'envie ? Waouh ! Non, te fâche pas, je plaisante. Et qu'est-ce qu'elle signifie ta phrase en essence de vie ?
- Anvanyë nomi halyar allumna eressi. Ce qui veut dire, à peu près : "la plus lourde des solitudes se dissimule dans les endroits les plus beaux."
Il a haussé les épaules, histoire de minimiser ses paroles.
Peine perdue.
Elles ont touché juste.
Et fort.
Je le regarde, ses joues s'embrasent, il détourne les yeux. Bon, c'est pas gagné.
- D'accord. Sortons si tu préfères. Peu importe l'endroit où nous mélangerons nos solitudes, tant que leur mélange nous réchauffe.
Devant la flamme qui s'allume dans ses prunelles, je me sens obligée de poursuivre :
- Désolée, je suis incapable de te déclarer ça en quenya.
Il sourit.
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- Tu n'as rien de prévu ?
- Rien. A part me jeter sur la prose en latin de Vito Cornelius. Ce qui peut également attendre. Et toi ?
- Rien non plus.
- On est seuls alors ?
- Non.
Il me jette un regard surpris.
- Non ?
- On n'est pas seuls puisqu'on est tous les deux.
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- ça se passe sur le ring ou dans ta niche ?
- Tu pues ! crache Lakej en serrant les étaux qui lui servent de poings. Tu pues et je vais te bouffer !
- Si tu bouffes tout ce qui pue, ça ne m'étonne pas que tu aies la tronche d'une poubelle, mon gros.
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- On y vas, mon gros, ou tu veux d'abord dire adieu à ta maman ?
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- Ah ! gémit Erglug. Je ressemblois proprement à une personne estonnée ou abestie, qui a perdu le sens et l'entendement, ne se souvenant plus qui il estoit !
- La nasture n'estoit point cholere, ny prompt à se courroucer, mais depuis qu'une fois il l'estoit, on avoit beaucoup affaire à la rappaiser ! Je respons en faysant manière de me débouchoyer les esgourdes.
- Ah, jeune sorcelier esbaudissant, ne chommois pas ton entendement et ne laissois à tenter et essayer expedient quelconque pour tascher à faire quelque chose !
- Mais que nous prit tout soudain ceste resverie et desvoyement d'entendement ? je demandois à Erglug qui sembloit aussi estonnifié que moy de parlementer d'aucy estrange manière.
Et estoit alors que je remarquois que messire troll estoit vestu d'une rustilante armure de chevalier. Et moy (je le vist dans le reflect que me renvoya la diste armure et en eust l'entendement au rire point charistable dudit chevalier) d'une vêture de bouffon, façonnée de moult couleurs et fort grelottante.
- Pasmoison ? Alienation d'entendement ? respond Erglug en hissant hault les espaules, dès qu'il finit de se gaussayer de moy.
- Tu te pris à plorer de joye, je dis rempli de vexaille. Et estoit fort damnable et meschant !
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Je mords avec reconnaissance dans l'énorme tartine que le troll m'a préparée, ce qui m'évite de chercher une contre-citation à lui renvoyer. De toute fachon, il a raichon. Ch'est moi le magichien de cherviche. Va falloir achurer.
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