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Extrait ajouté par CloB 2018-08-22T20:14:16+02:00

Nous avons eu un léger désaccord, je lui ai arraché un bras.

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Extrait ajouté par CloB 2018-08-22T18:58:01+02:00

Un grondement sourd fit trembler le sol. Je reculai.

La terre grasse se souleva en plaques lourdes. La colline se dressait et s'ébrouait. Une tête brune colossale émergea du kudzu, la chair pendait entre les plis de ses rides. Deux yeux me regardaient, noirs et brillants comme deux morceaux géants d'anthracite.

Une tortue.

Je sondais. Pas un frémissement de magie. Aucune odeur d'herbe brûlée qu'on pourrait associer à une illusion. C'était vraiment une tortue.

La courbe de la bouche gargantuesque s'élargit. Les mâchoires s'ouvrirent. Je me préparai à une bourrasque d'haleine de tortue mais aucune odeur n'en émanait. La mère de toutes les tortues reposa son menton dans l'herbe et garda la pause.

OK. Maintenant, j'ai tout vu.

Notre guide s'inclina et désigna l'animal.

_Là-dedans ?

Elle hocha la tête.

_Vous voulez qu'on entre dans la tortue?

Elle hocha de nouveau la tête.

_Elle est vivante.

Nouveau hochement de tête.

_Non.

Derek éternua de nouveau.

_Je dois dire que ce n'est pas très régulier.

La voix de Ghastek tremblait d'excitation. C'était plutôt facile de s'enthousiasmer ainsi quand on ne courait pas le risque d'être avalé, personnellement.

Je jetai un coup d'œil au vamp.

_A quelle vitesse peux-tu la déchirer si elle nous boulotte?

_La carapace est trop épaisse. Nous devrons sortir par le cou. Si elle rentre la tête, on devra creuser pas mal de chair.

_Autrement dit, si elle nous bouffe, on est baisés.

_Exact quoiqu'un peu grossier Je me tournai vers la guide.

_Vous nous accompagnez?

Elle secoua la tête.

Bon plan. Prends des étrangers crédules, promène-les un peu et donne-les à grailler à la tortue géante. La tortue sera gavée, on est débarrassés des étrangers et tout le monde est content.

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« Il croisa les bras, faisant ressortir ses biceps bien dessinés. J’avais un souvenir extrêmement précis de ces biceps durs comme de l’acier qui fléchissaient tandis qu’il me soulevait dans les airs en me tenant par la gorge.

— Vous savez ce qui me plaît chez vous ? Vous n’avez pas la moindre once de bon sens. Vous êtes assise ici, dans ma demeure, vous arrivez à peine à tenir une cuillère, et vous me dites « non ». Vous tireriez sur les moustaches de la Mort si vous parveniez à les atteindre.

En fait, la Mort n’était pas si loin que ça. Si je tendais la jambe, je pouvais lui mettre un coup de pied. »

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Curran sourit.

— Qu’est-ce qu’il y a de drôle ?

— Il y a un petit nœud sur ta culotte.

Je regardai. Je portai un débardeur court – pas à moi – et ma culotte bleue garnie de dentelle blanche rehaussée d’un tout petit nœud blanc. Ça m’aurait tuée de vérifier ce que je portais avant de m’extraire des couvertures ?

— Il y a un problème avec les petits nœuds ?

— Non. (Il riait presque.) Je m’attendais à du fil de fer barbelé ou à un chaîne en acier

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Extrait ajouté par Thyda 2016-01-24T19:21:47+01:00

- Laisse la gosse tranquille ! Dis-je.

- T'es jalouse ? Tu me veux pour toi toute seul ? (Il pointa son arbalète un peu plus à droite.) Tourne toi.

Je lui tournai le dos, attendant la morsure de l'acier entre mes omoplates.

- Très bien. Tourne-toi encore.

Je me retournai pour le voir froncer les sourcils.

- Je n'arrive pas à décider si je préfère le devant ou le derrière.

- Et mon sabre dans ta gueule ?

- C'est ma réplique, ça, ma colombe.

Son regard lubrique ne laissait aucune doute sur ses intentions.

- Tourne-toi encore. Gentille fille.

Je l'entendis approcher. C'est ça, viens plus près. Je suis très vulnérable. Avec mes mains en l'air et tout le reste...

- Pas d'initiative, me prévint sa voix dans mon oreille. Ou la prochaine fois que je viens je cloue ta petite à ces caisses.

Je serrai les dents et restai immobile.

- Tu as brisé ma garde. Je suis furax ces saloperies sont difficiles à mettre en place et je vais devoir recommencer. Je devrais te mettre un carreau en travers de la gorge. (Ses doigts caressèrent ma nuque, envoyant des frissons le long de ma colonne vertébrale.) Mais je suis un gentil garçon. Je vais te donner un conseil à la place : ramasse ta gosse et rentre à la maison. Je te laisserai même rapporter les cartes aux types à fourrure puisque tu t'es battue pour les récupérer. Reste en dehors de mon chemin à partir de maintenant. Ce n'est pas ton combat et ça te dépasse complètement.

- Quel combat ? Contre qui ? Qui es-tu ?

- Je suis Bran, le héros.

- Le héros ? L'humilité est une vertu.

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J’avançai, glissai et atterris sur le cul.

Pourquoi moi ?

Le vampire me dépassa précipitamment, me décochant un regard railleur par-dessus son épaule

— Comme toujours, l’image de la grâce raffinée…

— Ta gueule !

Mes bottes étaient couvertes de bave de gorge de tortue.

Le vamp fit un pas et disparut sous l’eau.

Je me relevai maladroitement.

La tête du vamp reparut.

— C’est assez profond par ici, prévint Ghastek.

Bien fait !

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Kate Daniels, épéiste mortelle et sauveteur d’orphelin affamés.

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Dialogue entre Dereck et Kate

"— Ce connard l’a poussée. J’ai toujours dit que c’était une ordure.

— Je prends note de ton opinion.

Merci bien, enfant prodige pour ton jugement sur mon « presque potentiel petit ami ». Que ferais-je sans la direction morale d’un adolescent loup-garou ?"

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Dialogue entre Myong et Kate

"— Je me souviens de vous ! Vous êtes la… (Amoureuse, maîtresse, poule…) compagne de Curran.

Nom de Dieu ! Que pouvait bien me vouloir la concubine du Seigneur des Bêtes ?

— Nous ne sommes plus ensemble, dit Myong.

Son problème ne concernait pas Curran. Bien. Super. Fantastique. Plus il y avait de distance entre le Seigneur des Bêtes et moi, mieux cela valait pour tout le monde. Nous avions travaillé ensemble pendant l’affaire du traqueur de Red Point et nous nous étions presque entre-tués."

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- Ainsi donc, c'est ça, le secret, dit le Seigneur des Bêtes.

Je me figeai, la cuillère à mi-chemin de la bouche. On y était. Il avait compris ce que j'étais, et il s'amusait à présent avec moi.

- Vous allez bien ? demanda-t-il. Vous êtes devenue toute pâle.

D'un instant à l'autre, il allait arrêter de faire semblant et me déchiqueter. Si j'avais de la chance.

- Quel secret ?

- Le secret pour vous faire taire, répondit-il. Je n'ai qu'à vous rouer de coups jusqu'à ce que vous soyez pratiquement morte, puis à vous donner de la soupe au poulet et...

Il leva les mains au ciel.

- ... silence divin.

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