Le jour d'après
Auteur
- Philippe de Villiers (Écrivain)
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Classement en biblio - 8 lecteurs
extrait
Nos ancêtres avaient moins de morale que nous, ils avaient plus de moeurs ; nous avons plus de morale et moins de moeurs. Heureusement, dans un vieux pays, comme le nôtre, rien n'est irréversible. Il y a comme une mémoire quasi minérale du sol natal : le déracinement déracine tout, sauf le besoin d'enracinement. Nos âmes expirant es retrouveront un jour -espérons le - les sagesses instinctives.
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Mr de Villiers aime son pays, ça ne fait aucun doute. Le tableau dressé est assez sombre, bien documenté. Certains faits sont indéniables ; parfois des raccourcis politiques un peu rapides se glissent dans les pages. L'ensemble du livre reste très intéressant, mais doit être lu avec un esprit critique-comme tout livre politique (et un dictionnaire car le vocabulaire est plus qu'élaboré !)
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Contrairement à ce que dit l'auteur, ce livre est à mettre entre toutes les mains. Afin que chacun puisse juger. Des informations de qualité, un peu d'humour et beaucoup de renseignements sur la situation présente et qui font froid dans le dos ! Très intéressant
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Récit d’un futur sombre mais tellement possible.
Le temps nous dira si les écrits de Mr de Villiers se sont révélés vrais.
J’espère que non... mais j’ai bien peur que... sauf si les français se réveillent.
Enfin, pour un réveil : lisez le !
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Date de sortie
Le jour d'après
- France : 2021-04-07 (Français)
Activité récente
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Résumé
« Ce que nous avons vécu a déjà été joué. À New-York. Lors d’une réunion ou plutôt d’un exercice de simulation d’une pandémie de coronavirus, le 18 octobre 2019 ; tout a été filmé et se trouve sur internet.
Cela s’est passé plusieurs mois avant la survenance du virus. En réalité, les participants - les géants du capitalisme de surveillance - anticipaient ainsi la catastrophe à venir. Ils avaient voulu un monde d’un seul tenant, sans cloisons. Ils savaient que ce monde-là serait hautement pathogène. Ils le savaient et ils s’y préparaient. Ils attendaient la pandémie et ils la voyaient venir.
Quand elle survint, ils la saluèrent comme « une fenêtre d’opportunité ».
Pour les rentiers du numérique et de la Big Tech, ce fut une aubaine. Mais aussi pour les gouvernements qui mirent au ban d’essai l’idée d’une « société disciplinaire ».
Ainsi les élites globalisées ont-elles préparé le jour d’après. Occasion rêvée pour tout changer, changer la société, changer de société. Et imposer enfin leurs codes de désocialisation, leur esthétisme woke, leur idéologie du Bien total. »
Ayant entre les mains des éléments d’information fiables, recoupés, glaçants, Philippe de Villiers a décidé de prendre la plume pour alerter les Français, en espérant contribuer ainsi à l’insurrection des consciences.
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