Date de sortie
Le syndrome de Vichy de 1944 à nos jours
- France : 1990-01-01 - Poche (Français)
Cher Lecteur,
Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.
Le syndrome de Vichy de 1944 à nos jours
Résumé
Ce livre d'Henry Rousso constitue une étape décisive dans l'affirmation d'une histoire de la mémoire. Revisitant une zone d'ombre de l'histoire nationale, son livre s'ouvre lorsque Vichy n'est plus un régime politique en exercice, et se veut une histoire des métamorphoses de la mémoire collective de Vichy dans la conscience nationale de 1944 à nos jours. En défaisant les mythes du pétainisme, masquant la réalité des années de l'Occupation, l'historien montre qu'au travail de deuil de 1944-1954 suit le temps du refoulement, puis celui du retour du refoulé en 1971, avant la transformation de la névrose traumatique en phase obsessionnelle après 1974. Traumatismes, blessures, cicatrices, autant de mots renvoyant à un niveau pathologique de la mémoire nationale, celle d'une France malade d'un "passé qui ne veut pas passer". Appliquées à la mémoire collective, les catégories psychanalytiques font ici, pour la première fois, bon ménage avec un travail d'historien. --Hervé Mazurel
Afficher en entier