- 42ème Gagnants Grand prix du livre de Montréal (1 participants)
- 195ème Division Fleur-de-Lys au sirop d'érable: Livres adulte Québecois (10 participants)
Cher Lecteur,
Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.
Résumé
description de l'éditeur (TYPO) :
« Dans le livre de Victor-Lévy Beaulieu, il y a la mort, l’auteur et le lecteur. Par définition, le lecteur est un citadin qui a des nostalgies rurales, n’ayant jamais retrouvé à la ville le bonheur des Grands-pères. De son côté, l’auteur a été enlevé, entre l’enfance et l’adolescence, à un village nommé Saint-Jean-de-Dieu, entre Trois-Pistoles et Rimouski. C’est sans doute un de ces villages dont Gérard Fortin, sociologue reboisant, a décidé la disparition.[...] Les Grands-pères, les Miliens figurants de la Mort, sont restés seuls dans leur village du bout du monde; les enfants sont partis depuis longtemps, vers des lieux aseptiques et ils n’ont plus de nom [...]. C’est un beau livre, le livre admirable où l’on joue le grand jeu, mais ce n’est pas un livre drôle, un livre de tout repos: il se situe un peu au-delà du tragique. », Jacques Ferron.
Afficher en entier