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Ce roman, j'ai eu énormément de mal à rentrer dedans. De bizarreries en bizarreries, j'ai décidé de ne pas le subir et de le prendre à la rigolade! Ça n'a malheureusement pas suffit. Mis à part dénoncer les «Hommes objets», les personnes perdant toute personnalités juste pour la beauté, ce roman n'apporte pas grand chose. L'auteur était-il drogué lors de l'écriture? ?
Afficher en entierInlassablement à la recherche de livres d'Éric-Emmanuel Schmitt, j'ai finis par trouver mon bonheur dans un recoin de la bibliothèque de mon père.
Un roman nous portant à réfléchir sur l'importance qu'ont les apparences dans ce monde.
Car si, il est certain, elles occupent beaucoup de place, j'ignorais jusque là à quel point cette place qu'elle prennent était disproportionnée.
Au fur et à mesure de l'histoire, on se rend compte de l'absurdité de ce rôle démesuré qui est attribué tous les jours à l'apparence, à la façade. Un roman finement écrit pour parvenir à faire d'autant plus ressortir la grossièreté.
Le premier coup d’œil qu'on porte sur vous est celui qu'on retient. Celui sur lequel on se base.
On suit des modèles, on tente l'originalité, on se fond dans la masse, on se maquille; tout est bon pour tenter de tromper ce premier coup d'oeil hâtif.
Sommes-nous tous de simples images, de simples façades ?
Afficher en entierLu pour les cours, je n'ai au début pas été très emballée. Une fois commencé je ne pouvais plus m'arrêter, ça questionne forcément sur l'étique et sur l'art. Je me suis sentie un peu mal à l'aise quand j'ai découvert Spoiler(cliquez pour révéler)ce que qu'il était en train d'advenir du personnage principal lors de l'opération forcément vu que sa questionne l'humain/l'inhumain. Vraiment un bon livre, j'ai adoré le personnage de Carlos Hannibal, sa vision du monde et de l'art.
Afficher en entierUn roman particulièrement étonnant, à l'histoire pour le moins originale, qui pousse à réfléchir sur la société de consommation dans laquelle nous vivons.
Dès la première phrase "j'ai toujours raté mes suicides", j'ai su que j'allais aimer ce livre, et je ne me suis pas trompée.
Afficher en entierUn conte moderne, cruel et dérangeant, qui nous ramène vers cette question bien moderne: pourquoi sommes-nous presque tous capables de signer un pacte à la Faust pour susciter reconnaissance et admiration ?
Afficher en entierComment dire... Juste horrible
Afficher en entierUn livre complètement déroutant qui fait réfléchir sur l'être humain
Afficher en entierJ'avais très envie de découvrir ce roman original et son univers quelque peu particulier.
Autant dire que je ne suis jamais entrée dans l'histoire, bien qu'elle soit surprenante et qu'elle ouvre la voie à la réflexion, mais je me suis ennuyée. J'ai trouvé les dialogues plats, et d'une grande banalité.
Je ne me suis pas attachée aux personnages que j'ai trouvé au final assez fade.
Afficher en entierUn roman contemporain peu commun qui fait cependant beaucoup réfléchir sur la société. Adam n'est pas un personnage captivant, et il faut un moment avant que le passage de sa rencontre avec Fiona arrive. Le personnage le plus touchant doit être Hannibal, le père de Fiona, un peintre devenu aveugle qui peint l'invisible. Zeus-Peter Lama, le Bienfaiteur de Adam, se vante sans cesse en disant que "Sans lui, l'humanité ne serait pas ce qu'elle est." Effectivement, car sans ses "oeuvres d'art" vivantes qu'il dépouille de toute humanité, Adam ne se serait jamais rendu compte de l'importance de la vie.
Cela est égalemment un peu effrayant, mais pas de la manière dont dans Les larmes du crocodile (tome 8 d'Alex Rider, de A.Horowitz), le MI6 fait pression sur le journaliste en lui montrant qu'uniquement par leurs ordres, ils peuvent effacer son existence entière, le condamner pour meurtre, etc. Ici, c'est le héros lui-même qui décide de ne plus être humain, qui renie lui-même ses droits en tant qu'humain. Schmitt nous montre donc ici la fragilité de l'existence humaine et surtout la dangerosité du système que représente un Etat si celui-ci décide de se liguer contre un individu (volotairement ou involontairement.)
Afficher en entierJ'ai du lire ce livre pour l'école et je dois dire qu'à par quelque passage attachant. Et des moments de réflexion, c'est un livre assez commun.
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