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Extrait ajouté par CeriseCastle 2015-09-05T16:32:27+02:00

Cet enfoiré (Simon) avait fait croire à la moitié du lycée que j'étais une fille facile.Je reportai mon attention sur le livre ouvert devant lui.

Le lourd manuel d'anglais se souleva du bureau et alla frappé Simon en plein visage.

Bouche bée, je me rassis correctement. Et merde...

Se levant d'un bon, Simon observait le livre tombé à terre comme s'il s'agissait d'une créature inconnue. Notre professeur plissa les yeux en cherchant la source du raffut.

- Monsieur Cutters, voulez vous partager quelque chose avec la classe? demanda-t-il d'une voix lasse et agacée.

- Hein? bafouilla Simon. (il regarda frénétiquement autour de lui avant de reporter son attention vers le manuel.) Non j'ai fait tombé mon livre. Désolé.

Le professeur soupira lourdement.

-Alors, ramassez-le.

Plusieurs élèves ricanèrent. Rouge comme une tomate, Simon récupéra son manuel. Il le plaça au milieu de son bureau et continua à l'observer. Un fois la classe calmée et l'attention du professeur focalisée sur le tableau, Daemon me donna un coup de stylo dans le dos. Je me tournai vers lui.

- Et alors? murmura-t-il, les yeux plissés.(ses lèvres retroussées trahissaient sont amusement) Méchante Kitty.

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Extrait ajouté par Rayathea 2015-11-19T19:04:07+01:00

Matthew vivait encore plus dans la cambrousse que nous et la neige ne cessait de tomber. J’ignorais comment j’allais reconduire la voiture de ma mère jusque chez nous. Sa maison était un grand chalet construit à flanc de montagne. Je gravis son allée pentue en gravier à pied, car je n’osais pas l’emprunter avec la Prius de ma mère.

— Si tu tombes et que tu te casses quelque chose, je me mets en colère, dit Daemon en m’attrapant par le bras alors que je glissais.

— Désolée. On ne peut pas tous être aussi exceptionnels que…

Je laissai échapper un cri de surprise quand il passa un bras autour de ma taille pour me soulever. Daemon nous fit alors aller à la vitesse de la lumière, le vent et la neige me fouettant le visage tout le long. Lorsqu’il me reposa, je chancelai, désorientée.

— La prochaine fois, préviens-moi !

Il frappa à la porte en souriant.

— Pour rater cette expression sur ton visage ? Hors de question.

Parfois, j’avais vraiment envie de lui flanquer mon poing dans la figure, mais entrapercevoir ce côté de sa personnalité me réchauffait également le coeur.

— Tu es insupportable.

— Peut-être, mais tu aimes ça.

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Extrait ajouté par Rayathea 2015-11-19T15:11:40+01:00

— Le pire, c’est que je n’aime pas ça. T’embrasser.

Daemon se redressa de toute sa hauteur.

— J’ai du mal à y croire. Et cet ordinateur aussi.

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Extrait ajouté par Jazzounette 2015-09-26T20:09:32+02:00

— Un biscuit ? me proposa-t-il en me tendant un cookie aux pépites de chocolat.

Mal au ventre ou non, il y avait des choses que je ne pouvais pas refuser. — Avec plaisir.

Le sourire en coin, il se se pencha vers moi. Sa bouche n'était plus qu'à quelques centimètres de la mienne— Alors, iens le chercher.Viens le... ? Daemon plaça la moitié du biscuit entre ses lèvres pulpeuses qui appelaient le baiser.

Oh, pour l'amour de tous les bébés extraterrestres de l'univers...

Bouche bée, je le dévisageai. À notre table, plusieurs filles émirent des gargouillis. On aurait dit qu'elles étaient en train de fondre sous la table. J'étais incapable de regarder dans leur direction.

Ce cookie, ces lèvres, accaparaient toute mon attention.

La chaleur me monta aux joues. Je sentais tous les yeux rivés sur moi. Et Daemon... Mon Dieu. Daemon avait haussé un sourcil pour me mettre au défi de refuser.

Dee fit semblant de vomir.— Je crois que je vais gerber.

Je me sentais humiliée. J'avais envie de me cacher dans un trou. Comment pensait-il que j'allais réagir ? Lui prendre le biscuit de la bouche, comme dans une version de La Belle et le Clochard interdite aux mineurs ? Le pire, c'était que j'étais à deux doigts de le faire. Ça en disait long sur moi.

Daemon reprit le biscuit à la main. Ses yeux étincelaient, comme s'il venait de gagner une bataille.— Le temps est écoulé, Kitten.

Je le dévisageai.

Il brisa le cookie en deux et me tendit le plus gros morceau. Je le lui arrachai des mains, tentée de le lui jeter à la figure, mais... c'était un cookie aux pépites de chocolat ! Alors, je le mangeai et en savourai la moindre miette.

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Extrait ajouté par clary-bouquineuse 2015-09-25T17:44:34+02:00

— Peut-être qu’un jour je pourrai être aussi paresseuse que toi et éteindre la lumière sans lever le petit doigt.

— J’en doute, mais qui sait ? Avec un peu d’entraînement.

Je me détendis légèrement et souris.

— Ta modestie te perdra.

— La modestie, c’est pour les saints et les perdants. Je ne suis aucun des deux.

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— Tu n’aurais jamais dû t’inquiéter de ma sécurité. (Il se leva et se passa les deux mains dans les cheveux.) Tu sais très bien que je suis capable de me défendre. Je peux me débrouiller seul.

— Je le sais, lui dis-je. Mais je ne pouvais pas te mettre sciemment en danger. Tu comptes beaucoup trop pour moi.

Il se tourna vers moi, le regard soudain intense.

— Et qu’est-ce que ça signifie, au juste ?

— Je… (Je secouai la tête.) Ça n’a plus aucune importance.

— Pardon ? s’exclama-t-il.

http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/

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Extrait ajouté par Blue44 2015-09-15T22:58:22+02:00

« Les mots étaient le plus puissant des instruments. Simple et souvent sous-estimé. Ils avaient la capacité de guérir. De détruire. Il fallait que je m’en serve. »

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Extrait ajouté par romanedc 2015-11-21T11:21:23+01:00

- J'ai une idée.

- Oh, non. (Je secouai la tête.) Je n'aime pas du tout tes idées.

Il m'adressa un sourire par-dessus son épaule tout en sortant ses clés de voiture de sa poche.

- Tu as dit que tu me ferais confiance, non ?

- Oui, mais c'était avant que tu me jettes un couteau dessus et que tu enflammes mes doigts.

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Extrait ajouté par Rayathea 2015-11-19T18:56:09+01:00

— Blake. (Je soupirai et m’éloignai de lui en boitant.) J’ai beaucoup de choses en commun avec lui. Il aime beaucoup lire…

— Moi aussi, contra Daemon.

— Et il a un blog.

Pourquoi avais-je l’impression de me raccrocher à des détails ? Daemon attrapa une mèche de mes cheveux et l’enroula autour de son doigt.

— Je n’ai rien contre Internet.

Je repoussai sa main.

— Et lui, il ne m’aime pas à cause d’une vulgaire connexion extraterrestre ou parce qu’un autre mec me tourne autour.

— Moi non plus. (Ses yeux étincelèrent.) Tu ne peux pas continuer de te mentir. C’est mal. Tu finiras par briser le pauvre petit coeur humain de ce garçon.

— Pas du tout.

— Si, pour la simple et bonne raison que tu me désires autant que je te désire.

Tout au fond de moi, je voulais réellement être avec lui. Mais j’avais envie qu’il me désire pour ce que j’étais, pas parce qu’on était un atome coupé en deux ou parce que quelqu’un d’autre m’appréciait. Secouant la tête, je me dirigeai vers la porte.

— Tu n’arrêtes pas de répéter ça…

— Qu’est-ce que tu veux dire par là ? demanda-t-il.

Je fermai brièvement les yeux.

— Tu n’arrêtes pas de répéter que tu me désires, mais ce n’est pas suffisant.

— Je te le montre aussi.

Je me retournai en haussant un sourcil.

— Non.

— Alors, qu’est-ce que c’était ? (Daemon désigna la table. Je rougis. Des gens mangeaient sur ce meuble…) Je croyais t’avoir fait comprendre que je t’aimais beaucoup. Je peux recommencer si ça ne t’a pas convaincue. Et au lycée, je t’ai offert un smoothie et un cookie.

— Le cookie, tu l’as mis dans ta bouche !

Je levai les mains au ciel.

Il sourit comme s’il s’agissait d’un bon souvenir.

— La table…

— Te frotter à ma jambe comme un chien en chaleur à chaque occasion ne prouve pas que tu as des sentiments pour moi, Daemon.

Il ferma la bouche. Je savais qu’il se retenait d’éclater de rire.

— Si, c’est exactement de cette façon que je montre aux gens que je les apprécie.

— Mais oui, si tu le dis. Ça n’a aucune importance de toute façon.

— Je n’irai nulle part, Kat. Je ne baisserai pas les bras.

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Extrait ajouté par Rayathea 2015-11-19T15:09:28+01:00

— Qu’est-ce que tu fabriques, Kitten ? me demanda Daemon.

Il était trouble. Daemon n’était jamais trouble. Ça lui arrivait de bouger trop vite pour mes yeux, mais il n’était jamais trouble.

— Je… il faut que je me rafraîchisse.

Il parut comprendre la situation.

— Tu n’as pas intérêt à entrer dans ce lac.

Je m’y engageai à reculons. L’eau glacée me lapa les mollets, puis les genoux.

— Pourquoi ?

— Pourquoi ? répéta-t-il en s’approchant. Il fait trop froid. Ne m’oblige pas à venir te chercher, Kitten.

J’avais mal à la tête. Mes neurones étaient sans doute en train de fondre. Je m’enfonçai un peu plus dans le lac. L’eau froide apaisa ma peau brûlante. Lorsqu’elle me recouvrit la tête, elle me coupa le souffle. La douleur s’estompa, jusqu’à quasiment disparaître. J’aurais pu rester ainsi une éternité. Et ce n’était peut-être pas une mauvaise idée.

Tout à coup, des bras puissants se refermèrent sur moi et me ramenèrent à la surface. Un air glacial s’engouffra dans ma gorge, mais mes poumons étaient déjà calcinés. J’avalai d’énormes bouffées d’oxygène pour tenter d’éteindre les flammes.

Daemon me sortit de mon eau bien-aimée. Il bougea si vite que je me retrouvai sur la berge en l’espace d’une seconde.

— Ça ne va pas ?! s’exclama-t-il en posant les mains sur mes épaules pour me secouer. Tu as perdu la tête ?

— Arrête ! (Je le repoussai sans conviction.) J’ai trop chaud !

Son regard intense me détailla jusqu’aux pieds.

— Je vois ça. La chemise de nuit blanche mouillée… C’est très sexy, Kitten. Mais, franchement : un bain de minuit en novembre, c’est un peu osé, tu ne crois pas ?

Ce qu’il me racontait n’avait aucun sens. Mon instant de répit était terminé. Ma peau recommençait à me brûler. Je repoussai ses mains et me dirigeai de nouveau vers le lac.

Il me rattrapa avant que j’aie pu faire deux pas et m’obligea à me retourner.

— Kat, tu ne peux pas aller là-dedans. C’est trop froid. Tu vas tomber malade. (Il repoussa les mèches de cheveux collées à mon front.) Encore plus que tu ne l’es déjà. Tu es brûlante.

Ses paroles dissipèrent légèrement le brouillard dans mon esprit. Je me laissai aller contre lui, la joue contre son torse. Son odeur était merveilleuse. Un mélange d’épices et de musc.

— Je ne veux pas être avec toi.

— Euh, ce n’est pas le meilleur moment pour avoir cette conversation.

Ce n’était qu’un rêve. Soupirant, je posai les mains sur sa taille fine.

— Mais je te veux quand même.

Les bras de Daemon se resserrèrent autour de moi.

— Je sais, Kitten. Tu ne trompes personne. Allez viens.

Je le lâchai. Mes bras retombèrent mollement sur mes flancs.

— Je… Je ne me sens pas très bien.

— Kat. (Il recula et me prit la tête entre les mains.) Kat, regarde-moi.

N’était-ce pas ce que j’étais en train de faire ? Mes jambes ployèrent sous mon poids, puis ce fut le trou noir. Daemon, mes pensées, le feu, Katy… tout disparut.

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