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Commentaires de livres faits par MichelleD

Extraits de livres par MichelleD

Commentaires de livres appréciés par MichelleD

Extraits de livres appréciés par MichelleD

Il tourna franchement la tête pour l'observer en train d'écrire, à moitié penché sur son bureau, tellement plongé dans son texte que son visage reflétait les émotions qu'il déversait dans les mots. Le soleil éclaboussait d'or ses cheveux bruns. Il était beau. Holmes connaissait par coeur la moindre parcelle de son corps, de la texture de sa peau aux variations de ses expressions, mais ne se lassait jamais de l'observer. John Watson. Son John Watson.
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p. 297:

- Vous savez aussi bien que moi comment ils (les elfes) nous recevraient si nous allions les convier en personne. Alors qu'ils paient pour leur arrogance.
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PostFace, les deux derniers paragraphes:

The Power of the Dark Crystal EST UNE SUITE AU FILM ORIGINEL. IL S'AGIT BIEN DU LONG MÉTRAGE QUE NOUS AVIONS PRÉVU DE RÉALISER ET AVONS PASSÉ DES ANNÉES À DÉVELOPPER. Le concept original du film était une idée dont David Odell avait discuté avec Jim Henson, mais qu'il n'avait couchée sur le papier que bien des années plus tard: Jen et Kira règnent paisiblement sur Thra dans le Château du Cristal depuis de nombreuses années. Dans cette histoire, ils sont devenus très âgés et vivent dans la brume de leur souvenirs et des rituels, et l'autosatisfaction paisible de la cours masque la négligence et le manque d'engagement avec le Cristal et Thra elle-même. Dans cette ambiance, une jeune Feufling venue du centre de la planète vient leur demander une faveur importante: un éclat du Cristal afin de sauver sa civilisation. En lui refusant cette faveur afin de préserver leur propre confort, Jen et Kira mettent en branle un terrible défi pour Thra. Même s'ils ignorent tout des Feuflings et de leur monde souterrain, ces derniers sont essentiels à la survie de Thra et des Gelflings.

"Comme la fin de Dark Crystal, au cours de laquelle LA DUALITÉ ENTRE LE BIEN ET LE MAL S'EFFONDRE ET SE RÉCONCILIE, l'histoire de The power of the Dark Crystal est celle de LA RÉCONCILIATION ENTRE LE MONDE INTÉRIEUR ET LE MONDE EXTÉRIEUR (PEUT-ÊTRE MÊME ENTRE L'INCONSCIENT ET LE CONSCIENT). Il s'agit d'un thème EXTRAORDINAIRE ET ORIGINAL. La CRÉATIVITÉ à l'oeuvre dans l'écriture et le design de CE LONG MÉTRAGE AVORTÉ est telle que nous souhaitions que nos fans puissent LA VOIR ET L'APPRÉCIER À TRAVERS CETTE BANDE DESSINÉE. Nous sommes TRÈS FIERS de l'histoire que les scénaristes David Odell, Annette Odell et Craig Pearce ont écrite. Nos partenaires d'Archaia et BOOM! Studios sont les seuls à qui nous pouvions accorder notre confiance pour développer et illustrer cette histoire, et nous sommes ravis qu'elle voir le jour!
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date : 03-03
p. 166

Seward had committed suicide. Van Helsing was in an asylum, not as a doctor, not to diagnose or deliberate on moral insanity. He was here as a patient. The world was closing in.
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p. 27, 28.

Aujourd'hui, on considère que l'accès à un avortement libre et gratuit est une question sociale et politique, et que l'interdire serait une entrave fondamentale à la liberté des femmes de maîtriser leur capacité à donner la vie.

Des travaux scientifiques ont montré qu'interdire l'avortement, loin de le faire disparaître, le rendait clandestin et dangereux. Plus de 47 000 femmes meurent chaque années de complications liées à un avortement pratiqué dans de très mauvaises conditions, en particulier en Afrique subsaharienne, en Asie du Sud, au Moyen-Orient et en Afrique du Nord. Elles peuvent aussi garder des séquelles, notamment sur leur fertilité.

Et sans surprise, ce sont les femmes les plus pauvres qui payent le plus lourd tribut lorsque l'IVG est interdite, car elles ne peuvent se rendre dans les pays où elles pourraient avorter dans un environnement sûr et médicalisé.

Aux USA, le nombre de grossesses adolescentes est 3 fois plus élevé qu'en Europe et le nombre de morts liées à la grossesses est 2,8 fois plus élevé que la moyenne en France, en Allemagne et en Angleterre. Une étude de l'université du Colorado montre que mettre fin à l'avortement aboutirait à une augmentation de 21% du nombre de décès chez les femmes Américaines (et de 33% chez les Américaines noires).

L'obsession du contrôle revient, en dépit de tous les arguments de santé publique. Plus de cinquante ans après la promulgation de la loi Veil, le droit à l'avortement reste fragile, et il nous semble que ce combat ne sera jamais définitivement terminé.
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date : 16-02
p. 84

Edward pushed his glasses further up his nose. "If it is a battle, perhaps you should treat it as such."

"Edward!" said Helen. "You're a pacifist."

"When it comes to state-sponsored war, yes. But not in class struggles, not in struggles of justice." He scratched his stubbles, deep in thought.
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date : 16-02
p. 82

"No," said Edward, "quite". When we resort to facts and figures, to political arguments" -- Edward's invisible form had twitched into life again, it seemed -- "it's as tough we're searching for permission to excuse what cannot be excused. It lets in ideology." His eyes were suddenly wide with surprise as though his form had not only come back to life but also performed a double somersault before them all. "And the worst kind of ideology is nationalism. That's the modern disease. Ideology forgets everything -- the blood it spills, the guns it fires, the widows and orphans it makes. It forgets everything except itself. King and country. Kill or be killed..."

Professor Florescu nodded in approval and took a sip of tea. "You are right. Mr. McFarlane. My own brief experience of war was as a medic in a hospital in France where slogans soon lost their potency. We need a mass rebellion against ideology."
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date : 13-02
P. 45, 46, 47.

Again, feeling an unhealthy lightness in his chest, he had pulled the ribbon free and laid it inside the safe.

The note was in John Seward's handwriting, slanted and precise, not at all the scrawl physicians were supposed to use. Arthur had glanced through the words

How these papers have been placed in sequence will be made manifest in the reading of them. All needless matters have been eliminated, so that a history almost at variance with the possibilities of latter day belief may stand forth as simple fact. There is throughout no statement of past things wherein memory may err, for the records chosen are exactly contemporary, given from the standpoint and within the range of knowledge of those who made them.

This note was a committee effort. Seward authored the first draft. Mina Harker improved it, of course, she always did. Her husband might have chipped in, as had Arthur. It was on its way to being a work of collaborative genius. What better way of giving verity to an unlikely series of events than by drawing attention to its impplausibility? And what better way of defending oneself in advance of any charges than by having multiple contemporary accounts all giving witness as one voice?

Arthur's hands had ceased to tremble as he leafed through the contents of the bundle. He had felt suddenly suddenly proprietorial about it all, almost proud in fact. He had thought of the many, many hours of work behind the series of diaries, journals, medical memorandums, and letters. Between the first concept and this final collected version was almost eight years of work, planning, and meetings, disparately scattered.

He had looked at the first page after the introductory note: Jonathan Harker's Journal.

Poor Harker. Such an unimaginative man, so out of his depth. And yet he'd managed this task well enough with the "journal". He'd remained true to the sole verifiable details -- his eastward journey to the Balkans to facilitate the sale of a house to one Count Dracula. And then he'd convincingly penned details of the mounting terror, his imprisonment in the castle, the voluptuous women, then his escape and return. Harker's task, which he accomplished remarkably well, was to make his pages look like a diary, not a recollection after the fact. He'd also had to create crimes for the count and his companions that were so loathsome, so outrageous, that they would block any thought and therefore any doubt in the reader. Arthur had been impressed at how such a dull man had plundged the depths of nightmarish imagination to achieve this.

Arthur had leafed through Harker's pages. The writing had faded to a lighter blue but this helped make them seem like true exhibits. His eyes had settled upon the grieving mother in the courtyard of Dracula's castle. "Monster, give me my child!" she'd screamed.

Why she should have screamed in English was a puzzle, but she was a vivid enough creation as she tore at her hair and beat her chest, and the reader, by this time, already knew what had happened to her child. Dracula had given the women -- his daughters from their descriptions -- a "wriggling bag". Harker had outdone himself.

He had continued to sift through. Harker's journal with its hardened pages, interpersed with letters written at corresponding dates, gave way to John Seward's diary, with latters and medical memoranda from Van Helsing, saved from 1889 and 1890, the years in which they were written. Finally, Mina Harker's journal had begun to take up more and more space in the collection of paper. Harker's wife had neat, slightly right-sloping handwriting. Everything about itcommanded respect and attention, even the addition, which they had all opposed at the time, that she should declare the count "the saddest soul of all". In the end, this had appeared not in Mina Harker's narrative but as a quote in one of the others. It was more powerful that way.

Harker had added a note at the end about the fact that he had named his own son in honour of Quincey Morris. The detail had given given Arthur a twinge of guilt and sympathy for Harker. His hand had trembled slightly as he let the papers run in reverse through his fingers. And there was something worse than Harker's loss. He had caught sight of it in the looped handwriting of some of the letters.

He'd forgotten, or half-forgotten perhaps, that the bundle included letters from Lucy. These had been placed, like Van Helsing's notes, in chronological order, little material ghosts among a series of documents penned by the living. He remembered how they had dealt with the problem of Lucy. They had merely altered the setting. In Seward's version, she had met her end in the crypt rather than her own bedchamber.

Arthur took another puff of his cigar. His Son's eyes were on his gladd. He'd given up his silent accusations for now. The doorbell, though muffled by distance, had disturbed him. It had come two, then three times. What manner of emergency would justify this at such late an hour?

Even John noticed, and hos brow furrowed slightly.

Arthur coughed and waited, unsure how to conceal his growing trepidation. He knew nothing, after all, of the caller. But he'd opened that safe; everything from that decision onwards had been off kilter. Even the midsummer garden had become a place of unpredictable menace. He'd opened his Pandora's box. His superstitious side saw no reason why life would slip back into the same pattern as before.

In a moment, Oxborough entered. "Mr. Jonathan Harker to see you, sir."
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date : 18-01
Pages 25-26:

...Nicolae Ceausescu célébra le 500ème anniversaire de la mort de (Vlad III) en 1976 et bon nombre de publications le présentèrent alors comme un grand réformateur, commandant militaire hors pair, prince sévère mais juste. Les atrocités prêtées au héros furent balayées comme autant de calomnies et d'exagérations des ennemis du peuple roumain...

... Bien entendu, on n'oubliera pas le "tyran" Dracula tel qu'il fut dépeint par les récits latins, allemands, russes et balkaniques qui, tous, ont instrumentalisé et manipulé son image selon des intérêts politiques et idéologiques que nous nous efforceront de déceler...
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Récapitulons. Pour partir à l'aventure sur les traces de ce personnage historique controversé, à la fois célèbre et inconnu, aimé et détesté, admiré et craint, nous parcourrons le trajet en sens inverse. À l'origine de la légende noire, il y a donc ce prince valaque malchanceux: mal-aimé de ses contemporains, mal-aimé des femmes, mal-aimé de l'histoire. Mais, tout comme en mathématiques, le moins est plus fort que le plus: ce qui fait de notre Dracula un grand-aimé de la fiction!

Et puisqu'il faut bien commencer quelque part, nous allons poursuivre le fil rouge de ce chemin qui, de la fiction, remonte vers l'histoire, sans nous interdire quelques arrêts stratégiques dans des "gares" aux nom incitateurs: Superstition, propagande, manipulation, trahison... Que des choses d'un autre temps, me direz-vous! Méfiez-vous toutefois car, à certains moments, elles pourraient vous sembler plus familières...
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Allez... Tu peux y arriver. Fais comme Willow: réfléchis.

Doyle filait Terri et Angel filait Doyle. Le demi-démon avait certainement suivi Terri. Il était donc passé par la grande porte. Angel... Tel qu'elle le connaissait, il avait dû s'infiltrer par la porte de derrière.
Et voilà! pensa Cordy, très fière.

Pour retrouver le vampire, elle savait ce qu'il lui restait à faire.
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- Peut-être s'est-elle servie d'un truc de fille...
- Ça n'est pas son genre, répondit Doyle en secouant la tête. Elle est plutôt... gentille.
Angel s'arrêta et se tourna vers lui.
- Gentille..., répéta-t-il, sceptique. (Il avait du mal à le croire.) Cette adepte de Feutoch a marqué Cordélia!
- Je sais. Je ne prétend pas qu'elle soit innocente. Mais...
- ... tu l'aimes bien.
Et alors, Buffy a bien réussi à t'aimer, non?
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- Tu es sûr de n'avoir rien oublié?
- Pratiquement sûr..., marmonna Doyle entre deux mastications.

- Dans ce cas, nous somme paumés! Cette vision n'a pas le moindre sens! Pour sauver quelqu'un, il faut pouvoir intervenir. Alors, pourquoi nous envoyer la vision d'une personne déjà morte? Et pourquoi nous impliquer dans cette affaire seulement maintenant?
- Bonne question. À moins que... Que nous ne devions sauver la prochaine victime... dont nous ignorons tout, bien sûr.
Un court silence suivit.
- Parfois, je déteste ce boulot, fit Doyle.
- Et mois donc!
Un bruit de pas, dans l'escalier, annonça l'arrivée de Cordélia. Une nouvelle journée commençait pour Angel Investigations. Qu'apporterait-elle?
Cordy entra en brandissant un sachet de pâtisserie.
- Un amateur pour de la crème brûlée?
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Angel referma le livre. Ça ne le menait nulle part. À son arrivée à L.A., Il s'était promis de ne plus regarder en arrière. Il ne perdrait plus son temps à déplorer l'absence des amis laissés à Sunnydale... C'était trop douloureux, en plus d'être inutile. Mais parfois, il ne pouvait s'empêcher de penser à eux. Comme en cet instant. Giles ou Willow auraient pu l'aider. Les recherches n'avaient jamais été le fort du vampire. Il était beaucoup plus à l'aise dans l'action.
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They're bribes, I reminded myself. You don't owe her anything. This is just a fraction of what she stole from you.
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J'ai mal à mon coeur. J'ai mal à mon âme. Je me sens tellement perdu dans ce monde. Je ne suis pas à ma place... J'ai l'impression de n'avoir aucun contrôle sur ma vie. Je ne suis qu'un pantin manipulé par les autres. Manipulé par tous ceux et celles à qui je veux plaire. Je ne suis que l'image de ce qu'on espère de moi. Mais si je me sens comme une simple image...

Qui suis-je vraiment?
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Avec mon père qui enseigne la littérature `l'Université de Montréal, il était inévitable que lire soit l'un de mes passe-temps préférés. Petit, j'avais toujours un livre entre les mains. Tout comme la nature, la lecture m'a longtemps aidé à m'évader. À oublier que je vis dans un monde où je suis différend parce que je suis moi-même.

Mais au secondaire, un gars qui lit des romans d'Aldous Huxley... ce n'est pas winner. Alors je me suis inscrit dans les Cobras, l'équipe de soccer de l'école. Et, puisque j'ai de très bons réflexes, ils m'ont désigné comme gardien de but. Pourtant, je déteste le sport. Peu importe lequel: football, basket, baseball, soccer. Mais je n'avais pas le choix de me joindre à eux. Je devais me faire des amis. Je devais être comme les autres.

Je devais tout faire pour ne plus être le freak.

Même si, dans le fond, je le suis probablement.
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All my life, she had made sure I was afraid, and I hadn't realized it until now. But I wasn't afraid anymore.
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"Don't believe all the stories about your sisters. The queen exaggerated everything. She took normal sibling rivalry and painted it as evil so she could get away with what she did to them. Dame Yaffa will tell you, she'll explain. Once we get to the village --"

"We're not going to the village", I said.

"What?" Aden almost dropped the key. "Tirza, I know you're upset, but you can't stay here. King Ciaran has publicly announced that he will try you for treason. He can't take that back, no matter how much the queen begs him to."

"I'm not staying here either", I said.

He rubbed the back of his neck. "There's nowhere else for you to go."

"Isn't there?" I felt a wash of something like relief. Aden was right about one thing: Everything I knew about my sisters, everything anyone knew, I had heard from the queen. She had done it on purpose, to make me feel all alone, like she was the only one I could depend on. But it had never been true. My sisters had been watching me all along. And even if I didn't exactly approve of their methods...

They're your family.
You are not alone.

"Take me to the harbor", I said. "I'm going to Larosia to rejoin my family."
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"Even though we weren't related by blood, I was your favorite sister."

"Maybe you were" I said, "before you took my family away from me."
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Garfield - "J'aime cette période de l'année. Chocolats, cadeaux, chocolats, famille, chocolats. Encore chocolats."

Jon - "Qui a mangé tous les chocolats?!"
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Garfield - "Voyons voir. Il y a le sapin, les guirlandes, les cadeaux. Mais il manque quelque chose pour que ce soit vraiment Noël."

Jon, ses parents et son frère - "Mémé!!"

Garfield - "Maintenant c'est bien Noël."

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C'est la grand-mère qu'on voit dans l'épisode télé spécial Noël, "Le Noël de Garfield" sortit en 1987 et dont la première diffusion à Ciné-Cadeau a eu lieu le 24 Décembre 1990. Je regarde tous les épisodes de Noël de Garfield à chaque année à l'approche des fêtes de Noël, incluant "Le Noël de Garfield", "Chahut de Noël", "Chaleur du foyer", "Hibernation" et "Chat glagla".
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Garfield - "Noël à la ferme, ça a quelque chose de spécial. Quelque chose d'unique qu'on ne trouve nulle part ailleurs. Par exemple, les petits gâteaux en forme de machines agricoles."

Spoiler(cliquez pour révéler)
Ils sont mignons ces petits gâteaux en forme de machines agricoles. :)
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Garfield - "Oh! Oh! Ho!"

Jon regarde arriver les souris.

Garfield - "Les elfes."
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Jon - "Une tasse de chocolat?"

Garfield prend sa tasse de chocolat chaud avec une grosse guimauve dedans.

Garfield - "C'est pour des gestes comme ça que j'ai décidé de le garder."
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Jon - "Bonjour maman, c'est Jon. Je t'appelle pour te demander ta recette top secrète de bûche de Noël. Nan, maman, je ne suis pas sur écoute."

Garfield - "Tu es sûr?"
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