_Alors c'est où, chez toi ?
Toute ma vie j'avais eus une maison. Quatre murs, un toit : un îllt de sécurité.
_Je vois les choses différemment. Certains affirment que chez soi, c'est là d'où on vient. Moi, je pense que c'est un endroit qu'il faut trouver, qu'il faut se fabriquer, même.
Je secouai la tête.
_Quoi ? Me demanda-t-il avec interêt.
_J'ai du mal à imaginer une vie pareille.
_Tu as grandis en pensant que l'amour avait pour unique but d'assurer ta sécurité. Mais c'est comme vivre dans une bulle. C'est une autre forme de domination. Moi, j'ai grandi en pensant qu'aimer les gens c'étais leur faire suffisamment confiance pour les laisser partir. Ça permet d'emporter cet amour avec soi, de créer d'autres liens.

Extrait de la page 124
Enjoy❤

L'amour est une force qui nous dépasse se joue de nous, provoque des crises et observe tranquillement les consequences

—Tu ne mourra pas ! Tu as toujours cru en moi, et j'ai essayer d'être à la hauteur. Sans toi, j'ai peur que se qu'il y a de bon en moi disparaisse, et que je choisisse l'obscurité. Et puis, j'ai encore de chose à te dire. Des choses importantes.

—Vous êtes avec moi ?
Aphrodite leva les yeux au ciel, mais elle fut la première à posé sa mains sur les miennes.
—Oui dit-elle.
—Moi aussi, s'écrièrent tous les autres en limitant.
—Très bien ! Alors montrons-leur de quoi nous sommes capables ! m'exclamai-je.
Et, tandis qu'ils se mettaient tous à crier, je sentis un picotement familier dans mes paumes et je sus que, lorsque je retirerais mes mains, de nouveaux tatouages y auraient apparut, comme si j'étais une prêtresse exotique marqué au henné pas sa déesse. Et soudain, au milieu de cette folie, de se chaos, je fus envahie par un sentiment de paix, et j'eus la certitude de marcher sur me chemin que la déesse avait tracé pour moi.
Ce chemin n'étais pas facile ; il était semé d'embûches. Mais c'était ld mien et, comme moi, il était unique.

-Un jour ou l'autre, nous partons tous. Et d'autres viennent nous remplacer. Je ne suis qu'une feuille, Peter. Une feuille tombée d'un arbre pour l'aisser place à un bourgeon. Protège ses bourgeons, d'accord ? Et veillez les uns sur les autres.

Peter faisait partie d'elle. C'était pour lui qu'elle respirait, pour lui qu'elle se levait chaque matin, et grâce à lui que se monde étrange et dur lui inspirait plus souvent de l'espoir qu'un découragement total. Du mois jusqu'à présent.

Chère Napoléonienne
Je suis à Berlin depuis un mois et c'est vraiment cool .
Est-ce que ça te dirait de m'y rejoindre pour me moi d'août ?
Une guerrière se doit de conquérir de nouveau territoires.
Allez viens.
Don Juan