Commentaires de livres faits par Ploudillon
Extraits de livres par Ploudillon
Commentaires de livres appréciés par Ploudillon
Extraits de livres appréciés par Ploudillon
– C'est pas un peu léger, comme réaction ?! Je ne sais pas encore combien de temps j'ai passé dans ma pêche, mais quand même ! Après tout ce temps, ça ne te fait rien de me revoir ?!
– Si, mais il y a urgence, là... Et puis, vous êtes un poussin. Je n'ai pas encore intégré la nouvelle.
– Moi non plus, je n'ai pas encore digéré le fait d'être un poussin !
– Pardonnez-moi, maître... Mais je... Je...
– Cela a dû être difficile pour vous, douloureux même... Mais vous ne devez pas abandonner.
– Vous vous trompez !
– Sûrement pas ! Tout le monde s'empresse d'éloigner un noble lorsqu’il est déchu... Il n'est pas rare d'être trahi par un ami.
– Si elles s'intéressent à moi maintenant, c'est juste pour mon statut social ! Jamais je ne me marierai avec l'une d'elles !
– Ouais... Pas faux...
– Mais je suis bête... Il n'y a que des harpies ici...
– Ne fais pas comme si tu venais de le comprendre !!
– Quoi ?! Ma décoration est absolument mimi !!
– Hein ? Mais tu as des pieds pour globes oculaires ?
– "Wilma" tout court c'est bien.
– Wilma... Tu as quel âge ?
– 13 ans. J'ai faim.
– Ah ! C'est un livre que j'ai emprunté au marquis. Il est assez ancien. Les créatures des territoires gobelins... ainsi que les plantes comestibles y sont présentées avec des dessins.
Une bonne partie... décrit des créatures et des fruits comme personne n'en a jamais vus. On pensait donc qu'il s'agissait d'une encyclopédie semi-fictive.
Mais... La plante que Mademoiselle Ina dit n'avoir jamais vue y est listée comme "fougère du sud".
– Ah bon ? Mais alors... Ça voudrait dire que le livre n'est pas fictif du tout ?
– Oui... Le vent sur mon visage. Je sens l'odeur de l'herbe, enfin je crois. Mais... Il y a autre chose, maintenant. Une vache ?
– Une vache ?!
– Shiromatsu.
– Et quel âge avez-vous ?
– 400 ans environ.
– Quelle longévité ! Vous venez d'où ?!
– Pas loin d'Édo, je crois. Je ne me souviens plus trop...
– Oh ! La planète Paloindédo, c'est bien ça ? Ne vous en faites pas, je garderai le secret sur vos origines.
– Pourquoi est-ce que tu te soucies de ce que les gens racontent ?
– Idiots d'humains ! Tellement facile à berner ! Hu hu hu...
– Oui ! Il s'agit peut-être d'un démon, mais... elle reste toujours la petite Mei dont je suis tombé éperdument amoureux.
Alors... Qu'est-ce qui a mal tourné dans ma vie ?
Oui, bon... O.K. ! Je sais très bien ce qui a mal tourné !
– Pas besoin !!
– Pardon ?!
– J'ai accepté de vous recevoir parce que la sécurité publique me l'a demandé, rien de plus ! Mon style, c'est de bosser en solo, comme je le sens !
– Attendez...
–Enfin, je ne vous empêche pas de me suivre, si vous en êtes capables !
Mais sachez qu'un justicier est en permanence plongé dans les abysses... Le commun des mortels le vénère, et parfois le craint... Est-il dieu ou démon ? Nul ne le sait !
Les humains cachent de noirs secrets au tréfonds de leur âme... Lorsque ceux-ci sont sur le point de vous dominer, êtes-vous capables de résister ? Avez-vous ce qu'il faut pour être des héros ?!
– Non... C'est juste que... On ignore tout de notre adversaire. Par conséquent, a-t-on raison de suivre le raisonnement tactique habituel ?
– N'y pense même pas ! Hors de question qu'on attaque tant que vous n'êtes pas en lieu sûr ! Les torpilles vont frapper ce côté du bateau... c'est trop dangereux !
Mais cette terrible catastrophe n'était que le début d'une série de calamités à venir.
– ...
– Hmm... Donc, si je comprends bien... Tu aurais laissé ce binôme se faire dévorer par ce requin... plutôt que d'enfreindre les règles, c'est bien ça ?
– Hmm... Je vois... Et vous croyez vraiment... que nous pourrons arrêter Garden de cette façon ?
– J'ai identifié le monde psychique dans lequel se trouvent les élèves en ce moment. Je vais faire une invocation dimensionnelle de cet autre monde dans mon esprit... ce qui me permettra de connecter ma conscience à cet univers parallèle.
Hachi... Je ne te demande pas de devenir aussi docile que Maruru... Je comprendrais que tu continues à te méfier de nous, surtout après ce que tu as dû vivre dans la rue... Mais si seulement tu pouvais nous laisser t'approcher... et t’habituer à notre présence... Cela te faciliterait beaucoup la vie, tu sais !