- Oh non ! Il se met à bouger… je vais attirer son attention si je bouge, pas vrai ? Je dois dissimuler ma présence… je vais prétendre être un objet inanimé. Je suis un mur, je suis un mur. Va t’en. Je suis un mur.

- qu’est ce que tu fais ?

- j’peux pas parler, je suis un mur T_T

Moi aussi, je veux devenir prolétaire pour être aussi forte que toi Anya ! Raconte nous les secrets des pauvres !

— Mon capitaine ! » s’écria Numéro Deux (car c’était lui leur chef). « Patrouille au rapport !

— Oui, très bien, Numéro Deux, bienvenue parmi nous et tout ça. Alors, pas trouvé de source chaude ? dit le capitaine, accablé.

— Non, mon capitaine.

— Je m’en doutais.

Numéro Deux fendit la foule et vint présenter les armes devant la baignoire.

— Mais nous avons découvert un continent !

— Quand ça ?

— Il s’étend de l’autre côté de la mer…» précisa Numéro Deux en plissant les yeux d’un air entendu. « À l’est !

— Ah !

Numéro Deux se tourna vers la foule. Il brandit son arme au-dessus de la tête. Ça va déménager, se dit l’assistance.

— Et nous y avons déclaré la guerre !

— Voilà précisément le genre de chose que nous avons besoin de savoir, insista la fille. Les gens veulent-ils adopter le feu par voie rectale ?

— Et vous ? demanda Ford à la foule.

— Oui ! s’écrièrent les uns.

— Non ! rétorquèrent joyeusement les autres. Ils n’en savaient fichtre rien, ils trouvaient juste ça extra. 

— La réponse est inscrite dans l’encéphalogramme du Terrien, poursuivit Marvin, mais je doute que cela vous intéresse beaucoup.

— Vous voulez dire, intervint l’intéressé, vous voulez dire que vous pouvez lire dans mon esprit ?

— Oui, dit Marvin.

Arthur était baba.

— Et… ? reprit-il.

— Et je me demande bien comment on peut vivre dans un truc aussi petit.

— Ah ça y est, dit Arthur : des injures.

— Oui, confirma Marvin.

— Allons, ignorez-le, dit Zaphod. Vous voyez bien qu’il en rajoute.

— Comment ça, en rajouter ?

Marvin dodelina du chef en une parodie d’étonnement.

— Pourquoi diantre voudrais-je en rajouter ? La vie est déjà bien assez moche sans qu’il soit besoin d’en rajouter ! 

George exprima son scepticisme en émettant un bruit qui ressemblait à des flatulences de rhinocéros. 

Il vous est déjà arrivé de faire tomber une banane sous un canapé et de l’oublier ? Si oui, vous savez qu’elle noircit rapidement, puis elle devient visqueuse, avant de se ratatiner. Eh bien, ce type inhumé dans sa caisse en fer ressemblait à une banane entre le deuxième et le troisième stade. 

Je remarquai également un groupe d’adolescentes dont les robes amples et informes, les yeux charbon noir, les bracelets démesurés et les longs cheveux raides indiquaient à coup sûr qu’il s’agissait de Sensibles. Les Sensibles effectuent un travail psychique mais refusent de combattre physiquement les fantômes, au nom de principes pacifiques. Elles sont généralement cucul la praline et aussi exaspérantes qu’une crise d’urticaire. On ne s’entend pas très bien.

(Ivano, à Wolf, pour lui montrer qu'il est un homme d'honneur et de confiance)

Vous préférez plutôt la poitrine ou les hanches ?

(Wolf) Pardon ?

(Ivano) Moi je suis plutôt poitrine ! Ma femme respecte tous mes critères, petite avec une belle poitrine ! Ce qui n'est pas le cas de Dahliya donc aucune crainte !

(Plus tard... -> Wolf dit qu'il préfère les hanches, puis lui et Ivano tombent nez à nez avec Dahliya qui a tout entendu)

(Dahliya) Mon père semblait préférer les jambes et un jour où il était saouls, il a insisté sur le charme des miennes... Je ne lui ai plus parlé pendant une semaine. Wolf, ce genre de conversation doit rester entre homme (sourire gêné)

(Wolf en chibi tétanisé, se tapant la tête contre le mur) Je me punis d'avoir de tels désir...

J'ai vu des mages bien supérieurs à moi se faire renverser et persécuter par les foules.

Un grand pouvoir effraie.

Et une autorité effrayante ne dure pas.